Proverbes 29/15: "Un enfant livré à lui-même fait la honte de sa mère."
Vers 5 ans, il doit savoir se laver et se laver les dents seul.
A cet âge, il prend conscience des parties de son corps et s'intéresse à leurs fonctions et à leurs noms.
Vous pouvez lire avec lui : "Ton prodigieux départ dans la vie" de Matt et Lisa Jacobson.
Si votre enfant vous demande d'où viennent les bébés, expliquez-lui simplement d'une manière compréhensible. Votre
enfant doit comprendre que la sexualité n'est pas un sujet tabou ou honteux mais un thème de la vie comme le s autres.
En répondant en temps voulu et d'une manière naturelle à la curiosité légitime de votre enfant, vous le mettrez à
l'abri des informations de la rue grivoises et obscènes.
Votre enfant doit comprendre la différence entre ce que Dieu a créé et ce que les hommes pervers ont fait de
l'amour.
Dieu vous a confié votre enfant pour que vous l'éduquiez et lui appreniez à mener une vie responsable dans une
relation étroite avec Dieu.
Vous ne devez pas suivre le monde ambiant mais marcher à contre-courant.
Ne confiez pas vos enfants à des personnes qui risquent de leur communiquer des valeurs morales et des idéaux
contraires aux vôtres.
Pour vaincre l'ennui,
participez aux jeux de
vos enfants et faites-les participer à vos occupations, parlez avec
eux, chantez… Faites-leur découvrir la nature qui les entoure...
A cet âge, l'enfant doit aussi apprendre à manger sans faire d'histoire.
Vers l’âge de deux ans, un enfant commence à devenir sélectif vis-à-vis de certains aliments, en particulier les
légumes et, parfois, les fruits.
Entre deux et sept ans, les enfants ont souvent une attitude de refus face à tout aliment nouveau. Il est possible
de contourner, voire d’effacer ces attitudes de rejet.
Pour cela, on veillera à multiplier le nombre de contacts entre l’enfant et les aliments qu’il n’apprécie pas ou
qu’il ne connaît pas.
Dans tous les cas, il est préférable de dédramatiser ces rejets, et de faire preuve d’humour et de patience.
Associez-le à la préparation du repas, expliquez-lui la culture et la cueillette des fruits et des légumes.
Associez-le à la préparation du repas, expliquez-lui la culture et la cueillette des fruits et des légumes.
Profitez de vos jours de congé pour l’emmener au marché et faites-lui choisir de nouveaux produits.
Pendant le repas, parlez avec lui de ce qu’il est en train de manger et demandez-lui de décrire les sensations que lui procure la nourriture.
Pendant le repas, parlez avec lui de ce qu’il est en train de manger et demandez-lui de décrire les sensations que lui procure la nourriture.
Éduquer ses sens est plus efficace que lui prodiguer des conseils nutritionnels, difficiles à intégrer ou
moralisateurs.
Consommez un nouvel aliment plusieurs fois en peu de temps : le plaisir de déguster un aliment augmente
avec le nombre de fois auquel il est proposé, dans une limite raisonnable pour éviter de lasser.
Ce sentiment peut être renforcé par le contexte affectif.
Les aliments consommés dans un contexte chaleureux et familier, ou présentés comme une récompense sont
significativement plus appréciés.
Attention, cet effet est à double tranchant et l’utilisation systématique des confiseries comme récompense ou
consolation n’est pas judicieuse.
La présence d’autres enfants influence également les préférences d’un enfant.
Profitez des vacances et des repas avec les copains pour proposer une deuxième fois un aliment jusque-là peu
apprécié.
De nombreux petits réfractaires aux légumes se sont découvert de nouveaux goûts face à des camarades gourmands de
tomates ou de carottes !
Que lui proposer en cas de refus ?Si malgré tous vos efforts, votre enfant ne veut
toujours pas manger certains aliments, ne le forcez pas, au risque de le bloquer définitivement.
Il vous faut trouver des produits de remplacement qui permettent de pallier ce manque.
En effet, l’aversion pour certaines familles d’aliments peut avoir des conséquences sur la santé, car les exclure de
son alimentation peut provoquer un déséquilibre nutritionnel.
Si votre enfant n’aime pas certains légumes, la variété de l’offre est tellement vaste que vous pouvez facilement en trouver à son goût ou les remplacer par des fruits. Et inversement, s’il n’aime pas certains fruits.
S’il n’aime ni le lait ni le fromage, pensez aux multiples produits laitiers (yaourts, fromage blanc, etc.), aux préparations lactées (riz ou semoule au lait, flan). Certaines eaux minérales sont également très riches en calcium.
Si votre enfant n’aime pas certains légumes, la variété de l’offre est tellement vaste que vous pouvez facilement en trouver à son goût ou les remplacer par des fruits. Et inversement, s’il n’aime pas certains fruits.
S’il n’aime ni le lait ni le fromage, pensez aux multiples produits laitiers (yaourts, fromage blanc, etc.), aux préparations lactées (riz ou semoule au lait, flan). Certaines eaux minérales sont également très riches en calcium.
S’il n’aime pas la viande rouge, remplacez-la par une viande blanche (veau, porc), de la volaille, des œufs,
du poisson ou du fromage allégé. Tous fournissent des protéines de bonne qualité.
Le mode de préparation peut également aider à élargir la palette de ses goûts : cru ou cuit, au four, à la vapeur, en papillote ou au gril, vous trouverez certainement son bonheur et le vôtre.
Le mode de préparation peut également aider à élargir la palette de ses goûts : cru ou cuit, au four, à la vapeur, en papillote ou au gril, vous trouverez certainement son bonheur et le vôtre.
De nombreux enfants supportent mal le goût des légumes, en particulier le goût fort des légumes verts (haricots
verts, épinards), sans parler de l’aspect.
Cette aversion est largement répandue chez les enfants, voire chez les adultes.
Pourtant, les légumes sont essentiels à notre alimentation, au même titre que les fruits, car ils nous apportent les
fibres, les vitamines et les minéraux dont nous avons besoin.
Si votre enfant n’aime pas les légumes, amenez-le à les considérer différemment.
Avec lui, faites la liste des légumes qu’il n’aime pas et proposez-lui d’en goûter d’autres. Associez votre enfant à
la cueillette (si possible), à l’achat et à la préparation des légumes, pour éveiller sa curiosité.
Essayez de lui faire manger les légumes qu’il n’aime pas en les préparant différemment : en les associant avec
des féculents, en salades composées, en gratins, en potages ou en purées.
Dernier conseil et non des moindres, montrez l’exemple en consommant vous-même des légumes à chaque
repas !
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