Auteur: Patricia Berthalon
Un changement de vie, une
mutation et tout devient bouleversement. Je n’aime changer qu’une chose dans ma
vie : les meubles ! Pour refaire la déco de notre petit univers. Quant à
changer de vie, de lieux, d’habitudes… S’éloigner de tous ceux que l’on aime…
Retrouver de nouveaux repères… Pas facile, je l’avoue. Face à la ...réalité des
circonstances que je traverse, je suis toujours face à un choix. Comment
vais-je réagir ? Quelle attitude choisirais-je ?
De mes nombreuses lectures, j’ai
retenu cette phrase qui est devenue pour moi un leitmotiv, une devise :
« De
mon attitude dépend mon altitude ! »
J’ai toujours le choix. C’est toujours moi qui fais le choix de mon attitude.
Certes, je ne peux rien faire aux aléas que je rencontre, aux difficultés qui tombent, sans prévenir ! L’épreuve nous assomme, la maladie nous surprend, le deuil s’impose sans nous donner le choix de prendre ou de laisser.
Cependant, une chose reste à ma portée, et je peux encore décider : quand je fais face à une circonstance qui m’accable, je peux choisir mon attitude, ma réaction.
Personne ne peut influencer ce que je choisis d’être. C’est mon choix.
Ces dernières semaines, voire mois, en préparant notre déménagement, j’ai beaucoup réfléchi à tout cela. Bouger sa vie, ce n’est pas simplement déménager d’endroit. Pour nous, avec mon époux, dans le ministère cela prend une toute autre notion. Certes un lieu de vie différent, mais surtout de nouveaux défis, de nouvelles perspectives. Bien des pensées, des appréhensions peuvent se bousculer dans nos cœurs ou nous bousculer !
L’inquiétude est alors au rendez-vous, mais aussi la tristesse. Comment penser que l’on peut tout quitter sans regret, sans émotion ? Il faudrait être fait de pierre. On ne peut servir Dieu au sein d’une communauté sans aimer ceux et celles que l’on côtoie au quotidien. Oui, on s’attache. Et se détacher fait mal.
Mais encore une fois, il en va de mon attitude, que vais-je choisir d’être pour demain ? Vivre de nostalgie, de regret, voire de remord ? C’est un choix.
Considérer que seul Dieu maitrise le gouvernail de nos vies, qu’Il est assez grand pour nous faire traverser la tempête, qu’Il sait quoi dire au vent et à la mer qui se déchainent autour de nous. Bien plus encore Il sait bien mieux que moi, ce qui me convient, ce dont il me faut.
Il voit ce que je suis bien incapable de discerner : l’avenir !
Alors pourquoi ne pas choisir de devenir (comme Jésus nous y invite) ce petit enfant, qui donnant la main à son papa, sifflote le long du chemin, heureux de marcher en compagnie de Celui qui connaît l’itinéraire du voyage.
Je choisis de faire confiance, je détermine mon attitude et j’avance tranquille en chantant :
« Jésus, tu es ma vie et ma joie
Tout ce qui est bon me vient de toi.
Tu es la source de mon bonheur,
L’espérance de ma vie,
Jésus, tu es ma vie et ma joie !»
Quelle circonstance de ta vie traverses-tu aujourd’hui ?
Rappelle toi l’essentiel, l’essence même de ta vie et ose fredonner ce refrain avec moi : « Jésus, tu es ma vie et ma joie… »
J’ai toujours le choix. C’est toujours moi qui fais le choix de mon attitude.
Certes, je ne peux rien faire aux aléas que je rencontre, aux difficultés qui tombent, sans prévenir ! L’épreuve nous assomme, la maladie nous surprend, le deuil s’impose sans nous donner le choix de prendre ou de laisser.
Cependant, une chose reste à ma portée, et je peux encore décider : quand je fais face à une circonstance qui m’accable, je peux choisir mon attitude, ma réaction.
Personne ne peut influencer ce que je choisis d’être. C’est mon choix.
Ces dernières semaines, voire mois, en préparant notre déménagement, j’ai beaucoup réfléchi à tout cela. Bouger sa vie, ce n’est pas simplement déménager d’endroit. Pour nous, avec mon époux, dans le ministère cela prend une toute autre notion. Certes un lieu de vie différent, mais surtout de nouveaux défis, de nouvelles perspectives. Bien des pensées, des appréhensions peuvent se bousculer dans nos cœurs ou nous bousculer !
L’inquiétude est alors au rendez-vous, mais aussi la tristesse. Comment penser que l’on peut tout quitter sans regret, sans émotion ? Il faudrait être fait de pierre. On ne peut servir Dieu au sein d’une communauté sans aimer ceux et celles que l’on côtoie au quotidien. Oui, on s’attache. Et se détacher fait mal.
Mais encore une fois, il en va de mon attitude, que vais-je choisir d’être pour demain ? Vivre de nostalgie, de regret, voire de remord ? C’est un choix.
Considérer que seul Dieu maitrise le gouvernail de nos vies, qu’Il est assez grand pour nous faire traverser la tempête, qu’Il sait quoi dire au vent et à la mer qui se déchainent autour de nous. Bien plus encore Il sait bien mieux que moi, ce qui me convient, ce dont il me faut.
Il voit ce que je suis bien incapable de discerner : l’avenir !
Alors pourquoi ne pas choisir de devenir (comme Jésus nous y invite) ce petit enfant, qui donnant la main à son papa, sifflote le long du chemin, heureux de marcher en compagnie de Celui qui connaît l’itinéraire du voyage.
Je choisis de faire confiance, je détermine mon attitude et j’avance tranquille en chantant :
« Jésus, tu es ma vie et ma joie
Tout ce qui est bon me vient de toi.
Tu es la source de mon bonheur,
L’espérance de ma vie,
Jésus, tu es ma vie et ma joie !»
Quelle circonstance de ta vie traverses-tu aujourd’hui ?
Rappelle toi l’essentiel, l’essence même de ta vie et ose fredonner ce refrain avec moi : « Jésus, tu es ma vie et ma joie… »
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