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lundi 17 juillet 2023

Citations

 

 

« Nous devons trouver comment demeurer dans une méditation permanente, sous peine de perdre notre puissance. » Charles Spurgeon

"Frères, méfiez-vous des substituts sacrés ! Adonnez-vous à la prière et au ministère de la Parole. Peu de choses m'effraient plus que les prémices d'une stérilité résultant d'une activité frénétique caractérisée par une carence en nourriture et en méditation spirituelles." John Piper

Acquisition vs consommation effrénée : "Il est de bon ton, après avoir lu un nouveau livre, de ne pas se permettre d'en ouvrir un second avant d'avoir lu un ouvrage ancien entre les deux." C.S Lewis

"Lorsque nous dépendons des organisations, nous obtenons ce que les organisations peuvent faire ; quand nous dépendons de l'éducation, nous obtenons ce que l'éducation peut faire ; quand nous dépendons de l'homme, nous obtenons ce que l'homme peut faire ; mais quand nous dépendons de la prière, nous obtenons ce que Dieu peut faire."  A C Dixon

"Le découragement grandit lorsque nous réduisons Dieu à notre taille." Jason Meyer

"Les semences de la foi sont toujours en nous ; parfois il faut une crise pour les nourrir et encourager leur croissance." Susan Taylor

« Ne juge pas le Seigneur par tes faibles sens. Mais fais-lui confiance à cause de sa grâce. Derrière une providence incommodante, il cache un visage souriant. Ses desseins mûrissent rapidement se déroulant à toute heure ; le bourgeon peut avoir un goût amer, mais douce sera la fleur. » William Cowper

« Celui dont le cœur est bon au-delà de toute mesure donne chaque jour ce qu’il juge être le meilleur : avec tendresse, y insérant sa part de douleur et de plaisir, jumelant le labeur à la paix et au repos. » Karolina Wilhelmina Sandell-Berg


« Quand les sentiers passeront par les épreuves du feu, ma grâce, toute suffisante, sera ta réserve. Les flammes ne te feront pas de mal, je m’en sers pour consumer tes scories et affiner ton or. » Extrait du chant « How firm a foundation »


« Même si Satan intervient parfois comme la cause immédiate de nos calamités, ce n’est pas pécher que de voir Dieu comme la cause lointaine, première et ultime. Satan vise la destruction de la foi, mais le but ultime de Dieu est de purifier notre âme en profondeur. » John Piper

« Le tissu de la vie d’un pasteur comporte de sombres fils de souffrance ; mais toute affliction qui le frappe n’a pas seulement pour but son propre bien, mais aussi celui du troupeau. Ses souffrances ne sont pas vaines. Dieu ne dilapide pas de don de la douleur. Il le donne à ses serviteurs selon ce qu’il juge être le meilleur, avec pour but la consolation et le salut de ses brebis. Aucune souffrance pastorale n’est insensée. Aucune n’est inutile. Aucune adversité n’est absurde ou sans but. Dans tout chagrin Dieu vise la consolation des saints.» John Piper


« Les circonstances conspirent pour abattre le courage et l’ardeur des serviteurs de Dieu, afin qu’ils ne placent pas leur confiance en eux-mêmes mais en Dieu seul. Dans leurs difficultés, Dieu a pour objectif premier de les détacher de leur confiance en eux-mêmes. Au moment où ils le font, ils ont tout d’abord l’impression de tomber, mais par la foi en la miséricorde de Dieu, ils atterrissent, infiniment mieux gardés, dans les bras de leur Père. Le second objectif de ces afflictions, c’est de détacher les fidèles d’eux-mêmes pour qu’ils s’attachent au Père pleinement suffisant. C’est en effet en lui seul que résident la consolation et le salut.» John Piper

« Nous sommes faibles afin que la puissance de Dieu se manifeste à travers nos vies. Tout comme Christ, nous devons apporter la vie à l’Eglise au moyen de notre faiblesse et de notre affliction. La seule force qui doit agir en nous et à travers nous, c’est celle de Dieu ! »

« Dans la grâce efficace, nous ne sommes pas simplement passifs, et Dieu ne fait pas une partie du travail, et nous le reste. Dieu fait tout et nous faisons tout. Dieu produit tout, et nous exécutons tout. Car ce qu’il produit, ce sont nos propres actes. Dieu est le seul auteur et la seule source appropriée ; et nous sommes les seuls acteurs appropriés. A bien des égards, nous sommes totalement passifs et totalement actifs. » Jonathan Edwards

« L’égoïsme est pratiquement synonyme d’orgueil ; c’est la corruption profonde et vaste qui est la base de tout le reste : L’égoïsme est le réflexe (non prémédité) de m’attendre à être servi, celui de croire qu’on me doit quelque chose, celui de vouloir recevoir des louanges, de m’attendre à ce que les choses aillent selon mes plans, de penser que je suis en droit de réagir négativement à une contrariété. » John Piper

« Lorsque notre égoïsme est contrarié : 1) nous sommes en colère : c’est une forte opposition émotionnelle à l’obstacle qui se dresse sur mon chemin. 2) Nous nous apitoyons sur notre sort : nous voulons que les autres voient et ressentent nos blessures et nous admirent pour les mauvais traitements que nous avons subi, qu’ils nous témoignent un peu de sympathie. 3) Nous blâmons facilement les autres : nous attribuons aux autres la cause de la situation frustrante dans laquelle nous nous retrouvons. 4) Nous sommes maussades (boudeurs, chagrinés) : nous sombrons dans un découragement destructif, dans la mauvaise humeur, le désespoir… à cause de toutes ces mauvaises réactions nos relations sont étiolées, l’espoir s’amenuise et la force de persévérer dans les difficultés s’évanouit. C’est pourquoi l’égoïsme et tout ce qui en découle sont des péchés qui doivent être vaincus. »

« Christ brise le pouvoir du péché annulé. » John Wesley. « Cette citation exprime la vérité fondamentale concernant le lien entre le péché et la croix. La croix annule le péché de tous ceux qui sont nés de nouveau. Compte tenu de cette annulation de nos péchés, le pouvoir de notre penchant pour le péché est brisé. Ce n'est pas l’inverse. Parce que notre péché a été annulé, nous pouvons en vaincre le pouvoir. La croix est efficace pour vaincre le péché annulé en donnant à notre volonté le pouvoir de s’opposer au péché dans notre vie. » John Piper

« Plan d’attaque contre le péché :

1. Eviter la tentation

2. Dire non dans les 5 secondes.

3. Rediriger mes pensées vers Christ crucifié.

4. Garder mon attention sur Christ jusqu’à ce que la tentation soit passée.

5. Trouver une satisfaction dans les plaisirs supérieurs acquis au prix de son sang.

6. Passer à autre chose et faire une activité intéressante qui exalte Christ. » John Piper

« Contre le lion qui rôde et rugit autour de moi, je ne m’allonge pas en attendant qu’un miracle se produise, mais je fais un effort continu, soutenu et ardu contre tous les péchés qui menacent ma vie et sont autant de brèches dans lesquelles l’ennemi de mon âme veut s’infiltrer et triompher. »


« Nous devons travailler à notre salut avec crainte et tremblement, parce que le Dieu Tout-Puissant est en nous. Dieu est celui qui agit dans notre volonté et nos capacités. Dieu est celui qui agit en nous ; nous n’accomplissons pas d’efforts soutenus, continus et ardus an sa présence ! non ! C’est lui qui produit ces efforts. Dieu est la cause décisive, mais notre volonté en est l’agent. Et elle le devient par l’obéissance à ses commandements. Mettons en œuvre notre salut car dans notre mise en œuvre c’est Dieu qui œuvre. » D’après Jonathan Edwards, Peter T Obrien et John Piper

samedi 18 juillet 2020

Citations sur la souffrance



"C'est pour que nous puissions le trouver que Dieu fait semblant de nous abandonner." André Gozier



"Dieu veut que nous allions nous mettre à part pour nous attendre tranquillement à Lui, jusqu'à ce qu'Il creuse dans les profondeurs de notre être et nous montre notre folie, nos échecs, notre besoin. Il n'y a rien de plus sage et de mieux à faire à la veille d'une saison de bénédiction que de faire un inventaire, non pas de notre richesse, mais de notre pauvreté : compter tous les vides et les endroits d'insuffisance ; examiner la vallée pleine de fossés et ensuite apporter à Dieu les profondeurs de notre besoin de Lui pour Le laisser nous remplir." A.B. Simpson



"L'homme est un apprenti, la douleur est son maître, et nul ne se connaît tant qu'il n'a pas souffert." Alfred de Musset



"Dieu est déterminé à nous transformer à l’image de Jésus-Christ. Il peut utiliser n’importe quoi, comme un cou brisé, un cœur brisé ou un foyer brisé. La souffrance a une façon de nous révéler de manière déplaisante ce qui doit être transformé en nous. Quand je ne souffre pas, je crois être une personne très aimable. Mais quand la douleur me presse, c’est comme si on pressait un citron. Voilà que se manifeste une attitude amère, une anxiété pessimiste, une crainte de l’avenir. C’est alors que je dois comprendre que c’est ce que Dieu veut changer en moi." Joni EarecksonTada



"L’âme humble cherche davantage à glorifier Dieu dans l’affliction plutôt que de chercher à en sortir." Stephen Charnock



"Tout ce qui se passe dans une communauté spirituelle est à l’inverse de l’ordre qui règne dans le monde. Ce qui touche les autres, c’est notre faiblesse et non notre compétence. Ce sont nos malheurs et non nos bonheurs qui renversent les barrières de la peur et de la honte qui nous séparent. Ce sont nos échecs avoués et non nos succès montés en épingle qui nous unissent dans l’espérance. " Larry Crabb



"De la même façon que vous devez profiter des bénédictions que Dieu vous donne, vous devez aussi profiter des épreuves parce qu'elles vous offrent l'opportunité de mieux connaitre Dieu par expérience. Être libre de toute chaine, c'est savoir dire comme l'apôtre Paul aux Philippiens 4.12 "Je sais vivre dans l’humiliation, et je sais vivre dans l’abondance. En tout et partout j’ai appris à être rassasié et à avoir faim, à être dans l’abondance et à être dans la disette." C'est ressentir de la joie dans l'abondance et ne pas maugréer dans la disette. C'est concevoir que la disette est là pour vous rapprocher de Dieu et faire des expériences de foi et d'amour avec lui. Votre désir pour Dieu doit être bien plus grand que votre désir d'abondance. Votre amour pour Dieu doit vous permettre de rejeter les attraits du monde, les suggestions du diable et les raisonnements tordus de votre chair. Les épreuves doivent briser votre arrogance à croire que le bonheur terrestre vous est dû." Larry Crabb 



"A notre époque où le christianisme de l'épanouissement personnel et de la prospérité est à la mode, nous avons développé une conception erronée de la marche spirituelle. Nous considérons la souffrance comme une expérience anormale, comme la preuve que nous manquons de foi. Nous nous donnons tant de mal pour éviter la souffrance que cela nous empêche de comprendre que de bonnes choses pourraient en résulter. Nous sommes dans l'erreur, car une telle perspective sur la souffrance reflète les valeurs du bouddhisme plutôt que celles du christianisme. Notre chair tend à croire que Dieu nous a créés pour que nous jouissions du bonheur, alors quand nous ne nous sentons pas heureux, nous déployons toutes nos ressources personnelles pour trouver un pseudo bonheur. Parfois même les bénédictions peuvent confirmer une telle conviction erronée, car lorsque tout va bien pour nous, nous sommes portés à croire que le bonheur nous est dû. Seules les épreuves ont le pouvoir de briser la force de cet argument. Seule la douleur est capable d'exposer notre aspiration au bonheur à tout prix, c’est-à-dire à notre arrogance qui prive Dieu de sa place de souverain. Se sentir bien n'est pas le but de notre vie, car c'est quand nous nous sentons mal que nous avons l'occasion de lutter contre un ennemi tapi en nous qui nous empêche d'entrer pleinement dans la présence de Dieu, sans autre désir que celle de le glorifier. Le parcours vers Dieu nous amènera immanquablement à traverser des moments difficiles où la vie perd son sens, car en réalité, la vie n'est pas facile ; elle est même souvent difficile et parfois insupportable, même pour des chrétiens qui ont été fidèles à Christ toute leur vie (comme l'apôtre Paul 2 Corinthiens 11.23-28). La douleur peut devenir si intense que le mieux que nous puissions faire est de simplement nous accrocher. Notre âme peut connaitre une telle solitude, une telle angoisse, se sentir si peu aimée, que ce qui semble le plus honnête à faire alors est de fondre en larmes. L'autre option serait la colère, mais celle-ci est destructrice et alimente un esprit de vengeance. La douleur engendrée par les difficultés que nous rencontrons dirige notre attention vers l'intérieur de notre être, là où tout tourne autour de nos intérêts personnels, où nous n'avons d'amour pour personne d'autre que nous-mêmes, où nous nous prenons en pitié et que nous nourrissons de forts sentiments de déception à l'égard d'autrui. C'est là aussi que nous sommes fermement convaincus que Dieu nous a abandonnés, et qu'il ne nous épargne rien. Pourtant, l'absence de Dieu, que l'on ressent alors, est un cadeau qui doit être reçu avec reconnaissance, et c'est durant les moments difficiles que Dieu opère son plus grand travail en nous. Tant que nous n'aurons pas saisi combien nous sommes près d'abandonner Dieu, nous demeurerons ignorants de ce que veut dire nous abandonner pleinement à lui. La douleur de nos idéaux et de nos rêves brisés nous aide à reconnaitre ce que nous sommes vraiment, et quelles sont nos véritables aspirations envers Dieu. Face à ces vérités, nous ne devons pas faire un déni et enfouir au plus vite ce qui nous fait horreur, ni les confesser trop rapidement pour nous en débarrasser et ne plus y penser. Nous devons au contraire les examiner à la lumière divine, pour en trouver les racines profondes et les éradiquer. Nous devons être conscients de notre laideur intérieure et voir l'Esprit de Dieu comme un scalpel venant extirper avec notre consentement et sans anesthésie, notre égo érigé en un petit dieu bien impuissant ! Nous devons prendre conscience que nous nous sommes depuis bien trop longtemps assis sur un petit trône imaginaire, nous berçant d'illusions, et ne portant que la couronne du roi des idiots ! Terrifiés face à ce constat grotesque, nous constatons que nos idéaux, nos fausses croyances et notre arrogance nous ont privés de la présence de Dieu et que nous avons aussi tenus les autres à distance du haut de notre piédestal. Notre culpabilité et notre honte devraient nous accabler et nous obnubiler, car soudain, nous comprenons pourquoi Dieu nous a châtiés ; alors, au lieu de gémir et de nous apitoyer sur nous-mêmes, nous commençons à le remercier pour son amour et son infinie sagesse à notre égard.

Sa colère semble désormais légitime, nous nous attendons même à ce qu'elle nous consume sur place ; mais cela n'arrive pas. Levant les yeux au-delà de notre petite personne, nous apercevons soudain Jésus sur la croix ; c'est sur lui que la colère de Dieu s'est abattue autrefois.

Le voile qui couvrait sa gloire à cause de nos inconséquences se déchire tout à nouveau.

Ésaïe 59.2 "Ce sont vos crimes qui mettent une séparation entre vous et votre Dieu ; ce sont vos péchés qui vous cachent sa face et l’empêchent de vous écouter."

Nous pouvons contempler Christ qui a tout accompli et qui vit à jamais dans la gloire, là où il intercède pour nous. En tournant vers lui nos regards, nous sommes tout à nouveau remplis de joie, car nous comprenons l'étendue de sa grâce ! Nous comprenons que notre besoin le plus profond, notre désir le plus intense, ce n'est pas de trouver le soulagement dans nos difficultés présentes et retrouver un bonheur idéal et factice sur cette terre. De toutes façons, nous prenons conscience que nous en sommes bien indignes, qu'avons-nous à revendiquer ? Ce que nous désirons par-dessus toutes choses, c'est vivre de Dieu, avec Dieu et pour Dieu ! Il faut que certains de nos idéaux sur nous-mêmes et les autres, de nos fausses croyances sur Dieu, de nos paradigmes erronés soient brisés pour que nous soyons pleinement conscients de notre héritage divin. La douleur doit nous conduire vers l'intérieur de notre être, vers ces parties de notre cœur qui sont affreusement laides, afin que nous prenions vraiment conscience de tout ce qui est tapi au fond de notre cœur dans le noir… Mais l'Esprit ne s'arrête pas là, il veut nous conduire au-delà, jusqu'au fondement même de notre vie spirituelle, là où il réside. Il veut faire le ménage dans notre cœur pour s'y sentir plus à l'aise ; il veut faire de la place pour que nous puissions servir Dieu par sa puissance libérée. La souffrance est nécessaire, si nous voulons découvrir en nous un désir pour Dieu qui soit suffisamment fort pour nous permettre de rejeter l'invitation du monde à participer à ses plaisirs immédiats, de résister à la suggestion du diable que toute bonté ne se trouve pas en Dieu, et de demeurer insensibles au raisonnement tordu de la chair. Au cœur des souffrances, Dieu nettoie notre cœur en profondeur et nous libère des sentiments de détresse intérieure engendrés par les mauvaises nouvelles, il nous amène à plus de maturité et à plus de vérité, non pas que nous n'étions pas authentiques autrefois, mais nous nous abusions nous-mêmes sincèrement par de faux raisonnements.Maintenant notre désir pour Dieu est plus réel et plus profondément enraciné au fond de notre cœur que ce besoin irrationnel de n'attendre que des bonnes nouvelles et de vivre d'idéaux. Lorsque nous nous sentons misérables, lorsque nos idéaux s'écroulent et même qu'ils disparaissent, c'est alors que nous pouvons :

Gouter réellement à la présence de Dieu dans toutes les sphères de nos vies, dans chacune de nos circonstances bonnes ou mauvaises, d'une manière profonde et plus riche qu'auparavant. Connaitre une transformation personnelle qui nous rende semblables à Christ. Vivre une communion profonde et non de surface avec nos frères et sœurs." Larry Crabb



"Les transitions sont difficiles - toujours. Il y a une mort, un entre-deux déroutant qui peut durer longtemps, et puis enfin un nouveau départ. Un ami m'a récemment rappelé : ′′Il n'y a rien de plus triste que les gens dans la 2ème moitié de la vie qui vivent comme s'ils étaient dans la 1 ère moitié." Peter Scazzero

Creuser d’anciens puits

  Genèse 26.1-4 « Il y eut une famine dans le pays, outre la première famine qui eut lieu du temps d’Abraham ; et Isaac alla vers Abimé...