samedi 18 août 2018

Prendre le temps de s'ennuyer !


L’ennui, à la différence de l’apathie, ce n’est pas le fait d’être blasé de la vie et de n’avoir plus envie de rien. 
Contrairement à ce qu’on pourrait penser, l’ennui n’est pas un mal contemporain, né avec l’augmentation du temps libre et du divertissement. 
Selon Peter Toohey, historien spécialisé dans l’époque gréco-romaine, « l’ennui a en fait une très longue histoire. Sur les murs de Pompéi, il y a des graffitis latins sur l’ennui qui datent du Ier siècle. » 
Mais la différence, entre l’Antiquité et maintenant, c’est qu’aujourd’hui, on ne sait plus s’embêter comme il faut. 
L’ennui est devenu une chose terrifiante à laquelle il nous faut remédier par n’importe quel moyen, dès qu’elle pointe le bout de son nez. Essayez de vous souvenir…
C’est quand la dernière fois que vous n’avez rien –mais vraiment rien– fait, au point de vous ennuyer à mourir ? 
Dans le métro, dans la file d’attente du supermarché ou même pendant une réunion de travail bien barbante, on a toujours nos smartphones ou nos tablettes à la main. 
Dès qu’une demie seconde d’inactivité nous est offerte, on saute sur l’occasion pour aller vérifier notre compte Facebook ou pour jouer à Angry Birds. 
Au quotidien, les nouvelles technologies, la télé, la radio, le travail et les loisirs nous stimulent en permanence à tel point que lorsque l’on n’a plus rien à faire, la panique prend le dessus. 

Résultat : on cherche constamment à tuer cet ennui qui nous fait tellement flipper. 
Le problème c’est qu’à force, on finit par passer à côté des bienfaits de l’ennui, car oui il y en a. 
Se poser seul, chez soi, sans aucune occupation ou distraction, oui c’est parfois angoissant. 
Pourtant ces instants sont très importants pour reposer notre cerveau et laisser libre cours à nos pensées et à notre imagination. 

Une étude réalisée en 2013 par deux chercheurs britanniques a d’ailleurs démontré l’importance de l’ennui dans le développement de la créativité.
Selon les résultats de ces recherches, les personnes qui accomplissent un travail ennuyeux avant de passer à une activité créative, réussissent bien mieux cette deuxième tâche que les gens qui se lancent directement dans un exercice d’imagination. Pourquoi ? Parce que quand on est occupé à faire un boulot purement automatique, on laisse notre esprit vagabonder et réexaminer par exemple des difficultés qu’on a rencontrées. 
C’est pour cette raison que de nombreux experts sont d’avis qu’il faut permettre aux enfants de s’ennuyer de temps en temps plutôt que de les occuper constamment en les mettant devant une télévision ou un ordinateur.

Ce n’est pas parce qu’on ne sait pas quoi faire qu’on va devenir une véritable loque. 
C’est même plutôt l’inverse, plus on s’ennuie, plus on va chercher à aller vers les autres, à être altruiste et à développer un comportement prosocial. 
S’ennuyer peut aussi nous permettre de développer de nouveaux hobbies, de rencontrer de nouvelles têtes. Dans tous les cas, ça signifie sortir de sa bulle.
Oubliez les préjugés comme quoi l’ennui mène à la dépression. 
Ne rien avoir à faire présente en fait beaucoup d’avantages pour notre santé physique et mentale. Surtout parce que lâcher son téléphone et son PC de temps en temps permet d’éviter de devenir accro aux technologies. 
Des chercheurs ont ainsi découvert que l’impossibilité de vérifier son smartphone régulièrement peut d'abord être une source de stress et d’anxiété, mais se débarrasser de cette stimulation constante provenant de nos gadgets high-tech, permet de mieux dormir, d’être plus reposés et sereins.
L’ennui sain (car il existe un ennui pathologique propre à certaines dépressions à l’adolescence par exemple) redonne de l’espace à notre monde intérieur, et le désamorce si nécessaire.
Il faut apprendre à l'apprivoiser en douceur, sans le rechercher,  mais juste de ne pas le fuir lorsqu’il s’invite dans notre vie.

Comment faire de l’ennui, un temps pour soi, une parenthèse dans ce monde agité, un moment de connexion avec son moi profond ?
En éteignant la télévision (ou l’ordinateur), en laissant loin de soi tout ce qui est susceptible de nous distraire (téléphone portable, grignotage, lecture en diagonale…), en s’asseyant dans un fauteuil et en attendant.

L’ennui est nécessaire, tout comme la musique n’a de sens que parce qu’il y a des silences entre les notes.
Ainsi, nous ne pouvons trouver le sens de notre vie qu’en laissant des moments de vide, de creux, entre des instants d’actions.

« J’ai découvert que tout le malheur des hommes vient d’une seule chose, qui est de ne savoir pas demeurer en repos dans une chambre. » Pascal


mardi 14 août 2018

Merci


Comment terminer une journée en beauté en utilisant la gratitude ?
Depuis 1990, de nombreuses études scientifiques ont prouvées l'efficacité de la gratitude sur notre santé et notre bonheur. 
Selon un article de la Harvard Mental Health Letter, « la gratitude est étroitement et systématiquement associée à un plus grand bonheur. La gratitude aide les gens à éprouver plus de sentiments positifs, à apprécier les bons moments, à être en meilleure santé, à surmonter les épreuves et à nouer des relations solides ».

Le mot gratitude tire son origine du mot latin “gratitudinem”, qui signifie reconnaissance, ou encore de “gratus”, qui signifie agréable. 

Nous pourrions dire que la gratitude, c’est reconnaître ce qui est agréable dans nos vies.
Dire merci, rendre grâce, avoir de la gratitude,... est excellent et Dieu nous y encourage aussi au travers de la Bible :
1 Thessaloniciens 5.18 "Exprimez votre reconnaissance en toute circonstance, car c’est la volonté de Dieu pour vous en Jésus-Christ."

Malheureusement, la gratitude n’est pas automatique chez l’être humain. 

Cependant, vous pouvez la développer et en faire un geste quotidien.
Il y a des dizaines de raisons de dire merci dans une journée, à vous de trouver vos petites ou grandes reconnaissances et à les partager en famille.
Je vous invite donc à jouer au jeu des 3 MERCI (ou plus ;p), chaque jour avec vos enfants.
Dans l'idéal, choisissez un moment en fin de journée, pendant le repas, au cours du rituel du coucher...

Pour vous aider voici une liste (non exhaustive) :

MERCI POUR ...
- ce moment que j'ai préféré dans la journée
- Cette chose qui m'a donné de la joie
- Ce qui s'est bien passé
- Ce que j'ai aimé voir
- Cette personne à qui j'ai aimé parler
- Ce que je suis fier d'avoir accompli
- Souhaites-tu dire merci à quelqu'un en particulier? .....
Exprimer sa gratitude envers Dieu et envers notre entourage est une excellente habitude qui peut vraiment changer votre vie.

Blog Havah

samedi 11 août 2018

Bâton de parole


Vos enfants se disputent souvent ?
Vous êtes parfois en conflit avec l’un d’eux ?
Testez le bâton de parole pour faciliter la discussion et la résolution des problèmes.
De quoi s’agit-il ?
Si vous souhaitez avoir une bonne idée de ce qu’est le bâton de parole, je vous invite à regarder cet extrait du livre d’Aurore Gauthier « Et si on discutait comme Arthur et Mila ? » :

Ce bâton de parole à fabriquer préalablement est un relai qui invite celui qui le possède à parler sans être interrompu puis à être donné à l’autre personne qui s’exprimera à son tour. Et ainsi de suite.
L’idée est de suivre un certain protocole dans l’expression :
  • décrire les évènements
  • exprimer les émotions ressenties (« je suis tristes/ en colère/…)
  • proposer des solutions
  • réparer le lien (demander pardon)
  • passer à l’action selon les solutions choisies
En Mélanésie, ce bâton de parole, tel un sablier, chronomètre et autorise le temps de parole de chaque orateur durant l'écoulement des grains qu'il contient. 
Dans l’album d’Arthur et Mila, Arthur renverse involontairement la construction de sa soeur.
Une dispute éclate mais la discussion va pouvoir s’établir grâce au bâton de parole.
Mila accuse son frère de l’avoir fait exprès pour l’embêter mais Arthur lui assure qu’il voulait seulement lui montrer quelque chose.
À ce moment-là, la maman intervient en verbalisant le ressenti des enfants : « Vous êtes tous les deux tristes. Comment arranger les choses ? »
Arthur propose d’aider à refaire la tour de Mila qui est d’accord.
Les deux enfants sont calmés et en plus ils ont trouvé une solution pour collaborer et s’amuser ensemble. Le lien est réparé.
Dans cette scène, la maman est intervenue mais avec de la pratique, les enfants pourront avoir recours au bâton de parole en autonomie.

Le bâton de parole est précieux car :
  • il apprend à écouter
  • il développe l’empathie et l’intelligence sociale
  • il facilite la recherche de solutions commune (collaboration)
  • il augmente l’autonomie
Un article de "PapaPositive"

À lire :
« Et si on discutait comme Arthur et Mila ? » (4-7 ans) d’Aurore Gauthier.

samedi 4 août 2018

Petit guide de l'éducation bienveillante


Le magazine « Pomme d’api » a mis en ligne un petit guide de l’éducation bienveillante qui mérite d’être lu et partagé. On y retrouve les meilleurs conseils dans ce domaine :

- Parents bienveillants, oui, mais… maladroits aussi !

Lors d’un dîner, un des invités renverse son verre.
Qui d’entre nous oserait s’emporter contre lui en disant : “T’es vraiment maladroit ! C’est pas croyable !”
De la même façon, à un collègue qui vient de prendre un nouveau poste, personne ne songerait à dire : “Attends, t’as fait la même erreur qu’hier, tu n’y arriveras jamais !”
Or c’est souvent sur ce mode que nous nous adressons à nos enfants, alors que chez eux, tout n’est qu’apprentissage, tout n’est que premières fois.
Bienveillants vis-à-vis de nos enfants, pourtant, nous le sommes tous.
Bienveillants, oui, mais… maladroits aussi !
Maladroits, lorsque nous disons par exemple : “Allez, allez, arrête de pleurer, c’est fini, t’as pas mal!” Ou lorsque nous parlons de notre petit de 3 ans en disant : “Il est terrible !” ou encore lorsque nous le secouons par le bras en criant : “Dis donc, qui c’est qui commande ici ?”

- Voici les 6 règles d’or et 6 formulations à bannir de notre vocabulaire pour une éducation bienveillante :
Les recherches les plus récentes sur le cerveau humain ont prouvé qu’une éducation empathique et respectueuse permet au cerveau de se développer de façon optimale.
À l’opposé, le stress, les humiliations, les violences verbales ou physiques peuvent modifier en profondeur un cerveau en construction et entraîner des troubles cognitifs.
Heureusement, nos maladresses quotidiennes peuvent se corriger avec un peu d’entraînement.
Car l’éducation bienveillante est avant tout une histoire d’attitude.
Et s’il y a parfois des rechutes, ce n’est pas grave !

Avec Nadège Larcher, psychologue et formatrice à “L’Atelier des parents”, Pomme d’Api a retenu 6 règles d’or… et 6 formulations à bannir de notre vocabulaire, pour s’entraîner à être des parents encore plus bienveillants.

1 – Distinguer l’enfant de ses actes. Pour ne plus dire : “Tu es infernal !”
Jean a 4 ans. Lors d’un repas de famille, il verse le contenu de la salière dans son verre.
Son grand-père réagit : “Tu ne fais vraiment que des bêtises ! Quel idiot !”
Jean se fait tout petit sur sa chaise.
Ce qu’il entend, c’est “Je suis nul.”
Or, ce qui est incriminé, ce n’est pas lui, mais ce qu’il a fait.
Il faut avoir la vigilance de distinguer les deux : “Ah, tu observes le sel se dissoudre dans l’eau ? C’est intéressant, hein ! Par contre, manger trop de sel n’est pas bon pour la santé, et je t’ai expliqué qu’il faut attendre la fin du repas pour jouer. Va jeter ton eau dans l’évier.”
Détail de langage ? Les conséquences sur l’estime de soi sont cruciales.
Jean se sent respecté, car l’adulte considère sa curiosité naturelle et son aptitude à réparer ce qu’il a fait.
À l’inverse, en utilisant sans nuances le verbe être (“Ma fille est capricieuse, mon fils est égoïste…”), on enferme les enfants dans une fausse vision d’eux-mêmes, qu’ils vont ensuite s’ingénier à confirmer. Pour faire court, un enfant “terrible” fera tout pour le rester.

2 – Fixer les règles à l’avance. Pour ne plus dire : “Combien de fois faut-il le répéter ?”
Alice et Marina ont 3 ans. Leurs parents sont invités avec elles à un apéritif.
Arrivées chez leurs hôtes, les deux sœurs entament une course-poursuite autour de la table basse et escaladent les fauteuils.
Leur papa se fâche très fort.
Mais à bien y réfléchir, avait-il pris le temps, à l’avance, d’exprimer ce qu’il attendait de ses filles dans ce type de situation ?
Elles ne pouvaient pas forcément le deviner.
Ce qui paraît évident aux adultes ne l’est pas toujours pour les petits.
Et plutôt que de réagir alors que la “bêtise” a déjà été faite, il faut essayer de l’anticiper, en fixant les règles à l’avance : “Nous allons au supermarché. À l’intérieur, on marche tranquillement à côté du Caddie. Et quand vous insistez pour acheter des choses, cela me gêne.” Ou encore : “Pour te servir des jouets de ton frère, tu dois d’abord le lui demander.”

Vous avez l’impression de répéter toujours les mêmes consignes ?
Normal ! Avant 6-7 ans, les enfants ne sont pas capables d’intégrer les règles définitivement !!

3 – Exprimer les interdits de façon positive. Pour ne plus dire : “Ne crie pas !”

Faites le test. Au lieu de crier : “Ne cours pas !”, dites plutôt : “Marche !”
Vous verrez, ça… marche !
Car dans l’injonction “Ne cours pas !”, un cerveau tout jeune entend avant tout le verbe courir : “cours !”
Mieux vaut s’entraîner à dire ce que l’on a le droit de faire, plutôt que souligner ce que l’on n’a pas le droit de faire.

4 – Reconnaître les émotions de l’enfant. Pour ne pas dire : “Ce n’est rien !”

Elena a 3 ans. Depuis le retour de la garderie, elle est irritable.
Et quand elle tombe dans le couloir, c’est la crise.
Elle tempête, elle hurle, et tend les bras vers sa maman.
En quoi le classique : “Ce n’est pas grave, t’as pas mal !” serait-il consolateur ?
Bien sûr que c’est grave, bien sûr qu’elle se sent mal ! Pourquoi nier son ressenti ?
La prendre dans ses bras en constatant simplement : “Tu es tombée. Tu as mal. Tu pleures. Tu es en colère” lui prouve qu’elle est écoutée, comprise, respectée.
Et… ses larmes sèchent beaucoup plus vite.
Cela vaut aussi pour nous : plutôt que d’exploser et jeter sa colère à la tête de l’enfant en hurlant : “Tu es impossible !”, parlons à la première personne, en nous contentant de constats et en rappelant les règles : “Je suis énervé de voir que tu continues de sauter sur le canapé. Le canapé est fait pour s’asseoir.”

5 – Ne pas voir d’intention là où il n’y en a pas. Pour ne plus dire : “Il me fait un caprice !”
Quand un de ses enfants se roule par terre, Gaëlle ne se demande plus s’il “fait un caprice” mais se pose d’autres questions : “Lequel de ses besoins n’est pas rempli ? Son besoin d’affection ? De repos ? Les règles n’étaient pas claires… ?”
Peu à peu, l’enfant apprendra à reconnaître et exprimer ses émotions et ses besoins.

6 – Être souple en maintenant le cadre. Pour ne plus dire : “C’est comme ça et pas autrement !”
«Quand un de mes fils ne voulait pas aller au bain, relate Lucie, avant, je disais : “Tu y vas tout de suite ou tu files dans ta chambre.”
Maintenant, je dis : “Tu peux encore jouer, mais quand la grande aiguille sera sur le 3, tu vas dans le bain.»
Cette alternative est acceptable pour tout le monde et elle a l’avantage de mettre l’enfant dans une position active.
Un point de vue que partage Gaëlle, mère de trois enfants. “Avant, quand j’avais dit non, je ne revenais pas dessus, pour ne pas perdre la face. Mais en fait, on ne perd rien à revenir sur quelque chose. Mes enfants savent très bien distinguer les choses sur lesquelles je ne transige pas : on donne la main pour traverser la rue, etc.”
Cela vaut parfois la peine de se demander pourquoi on impose notre volonté à nos enfants.
Pull orange ou pull rouge, quelle importance, finalement ?

Blog Havah 

vendredi 3 août 2018

Se remettre en question

 Chacun a sa façon de se remettre ou pas en question

Pour simplifier, on dira qu’il y a trois catégories de personnes :
  • Celles qui se remettent en question et progressent dans la vie.
  • Celles qui se remettent trop en question, qui s’interrogent en permanence et se sentent souvent responsables et/ou coupables de tout.
  • Celles qui ne se remettent jamais en question parce qu’elles n’en voient pas l’utilité ou qu’elles ne veulent ou ne peuvent pas prendre le temps de le faire.
Si pour certains, la remise en question est chose facile, pour d’autres, cela peut s’avérer plus compliqué.
Se remettre en question demande une grande force intérieure car elle peut entraîner des peurs, des angoisses, des doutes qui peuvent être difficiles à vivre, à supporter.
En effet, se remettre en question, c’est accepter que l’on puisse commettre des erreurs de jugements, de comportements, de pensées, d’interprétation etc… et cela reste une démarche difficile en règle générale.
Celui qui ne se remet pas en question peut avoir peur de reconnaitre sa propre responsabilité dans un évènement, et le sentiment de culpabilité qui en suit peut du coup l’amener à fuir certaines réalités.
Il peut alors à l’extrême adopter un comportement de « victime » et rejeter systématiquement la faute sur l’Autre.
D’où le fameux adage : « il est plus facile de juger les autres que de se juger soi-même ».

Des raisons qui expliquent la difficulté de se remettre en question

  • -  Une difficulté d’empathie : en effet, il faut pouvoir se mettre à la place de l’autre pour comprendre pourquoi et comment on aurait pu adopter un meilleur comportement quand on a commis une erreur.
  • -  Une difficulté à accepter le changement ou une forte résistance au changement par exemple : se rendre compte qu’on a pris une mauvaise décision et être capable d’en changer
  • -  Une difficulté à lâcher prise : c’est-à-dire accepter de ne pas tout contrôler, tout maitriser dans la vie.
  • -  Accepter les difficultés et donc la réalité telle qu’elle est, et non pas telle qu’on voudrait qu’elle soit.
  • -  Accepter ses défauts, ses faiblesses : « Personne n’est parfait » et pourtant, certaines personnes pensent que cela reviendrait à se dévaloriser.
  • En conclusion, on peut dire que la remise en question demande un vrai travail sur soi, une bonne connaissance de soi et une bonne estime de soi.

Lily Bellule et Hippo-Tamtam

  Lily Bellule et Hippo-Tamtam Un conte poétique sur l'hypersensibilité émotionnelle Sophie Lavie (auteure et illustratrice)   Ja...