jeudi 25 mai 2017
Citations
"Ce ne sont pas des observances extérieures qui peuvent entretenir la vie intérieure. C’est par la grâce seule que le cœur doit être affermi, par le Christ qui opère en nous par le saint Esprit." Andrew Murray
"Ce que Dieu a fait pour nous est un gage de ce qu’il fera en nous. Après nous avoir révélé Dieu en Christ, il nous renvoie dans la vie, avec l’assurance que l’œuvre que Dieu se propose d’accomplir en nous, par Christ, au moyen de son Esprit, sera aussi merveilleuse, aussi puissante, aussi parfaite, que celle qu’il a accomplie en Christ, pour nous. En nous ouvrant le lieu très saint, Dieu nous a donné la preuve que nous pouvions entrer dans son repos et croire qu’il rendra parfaite son œuvre en nous.
La paix de Dieu, qui surpasse toute intelligence, peut maintenant garder nos cœurs et nos esprits en Jésus Christ. La paix, c’est-à-dire la fin de toute anxiété, de toute crainte, de toute séparation, a été proclamée. Le Dieu de paix attend de pouvoir faire son œuvre en nous." Andrew Murray
"Prenons garde ! Si nous nous contentons de nos premières expériences chrétiennes, si nous négligeons de nous consacrer entièrement à Dieu, si nous ne recherchons pas une conformité parfaite avec Jésus, si nous désirons égoïstement posséder le salut et le ciel, sans posséder l’esprit même du Christ et du ciel, nous nous séduisons nous-mêmes, et nous perdrons, comme Israël, à mi-chemin entre l’Égypte et Canaan." Andrew Murray
"Considérez Jésus ! Considérez le comme Dieu, comme le fils de l’homme, considérez sa sympathie, son obéissance, ses souffrances, son sang, sa gloire souveraine. Considérez le vous ouvrant le ciel e vous amenant à Dieu, vous insufflant la loi divine et l’esprit du ciel dans votre cœur, pour que cet esprit soit votre vie même. La plénitude de la foi voilà la clé de tout. Par la foi nous héritons de toutes les promesses." Andrew Murray
"Le contentement est une sauvegarde contre les soucis et l’amour de l’argent. Pour vivre la vie de la foi, il faut que la présence de Dieu soit devenue notre bien suprême et permanent. Il y a des rapports plus étroits que nous le pensons entre notre vie terrestre et notre vie céleste. Un intérêt trop vif, un attachement trop grand pour les choses d’ici-bas, affaiblissent inévitablement le lien qui nous unit à Dieu. D’autre part, une véritable communion avec Dieu nous met d’emblée dans une attitude normale à l’égard des choses de la terre." Andrew Murray
"Quels que soient les changements qui se produisent dans l’Église ou dans notre vie spirituelle, Dieu, lui, ne change pas et demeure toujours le même. Si notre foi s’empare de cette vérité et se repose sur Jésus, elle participera à ce caractère d’immutabilité de Jésus Christ ; comme lui, elle ne changera plus. Tout ce qui a été dans ce grand hier de l’éternité, où Jésus faisait les délices de son père, apportant et dispensant la vie et l’amour du père, il l’est aujourd’hui. Tout ce qu’il était hier, aux jours de sa chair, avec son cœur humble et doux, débordant de sympathie et de bonté, il l’est aujourd’hui.
Tout ce qu’il est, il peut l’être pour nous aujourd’hui. Jésus Christ est éternellement le même et il agit en nous en tous temps avec la même puissance qu’il a déployée lorsqu’il a donné son sang, lorsqu’il est ressuscité et qu’il est entré au ciel. Si nous n’en faisons pas l’expérience, c’est tout simplement à cause de notre incrédulité. Ouvrons nos cœurs et notre vie intérieure afin d’adorer ce Jésus, de le recevoir et de faire l’expérience de sa puissance permanente." Andrew Murray
Il y a deux choses qui doivent nous pousser très fort à prier : d’abord l’ordre de Dieu qui nous commande de prier ; ensuite la promesse par laquelle il nous assure que nous recevrons ce que nous lui demanderons." Jean Calvin
"La figure de ce monde passe. Si tu te nourris de ses vanités, tu passeras comme elle. Mais la vérité de Dieu demeure éternellement; si tu t’en nourris, tu seras permanent comme elle…"
André-Marie Ampère (1775-1836) Physicien et mathématicien français, édifia la théorie de l’électromagnétisme. Le plus grand scientifique du XIXe siècle, botaniste distingué, minéralogiste éminent, mathématicien de génie.
"Après des années de vie sans Dieu, nous devons apprendre à vivre avec une conscience renouvelée par l'Esprit Saint et alimentée par la Parole de Dieu. Cette conscience qui est originellement le produit de la perte de la relation avec Dieu, au moment où l'être humain a préféré de s'attacher aux règles en abandonnant la relation d'amour pour le légalisme, agit bien souvent au dedans de nous comme un juge accusateur et non comme un arbitre nous permettant d'effectuer au mieux nos choix. Les différents états de conscience du croyants qui sont stipulés dans la Bible (faible, endurcie et mature) nous permettent de comprendre qu'elle n'est pas infaillible et ne doit pas devenir un dieu en nous car sous le règne de la conscience agissant tel un juge, le croyant vit sous la culpabilité qui le pousse à l'auto-justification en tentant de se défaire des sentiments désagréables que le coupable éprouve. Par opposition, quand Dieu règne en nous, la conscience nous conduit aux remords selon Dieu en vue d'obtenir la réconciliation et de rétablir la relation brisée. Lorsque votre conscience vous accuse cherchez-vous, en finalité, à soulager ce sentiment dérangeant en accomplissant une liste de démarches à effectuer pour espérer retrouver un état de paix intérieure ou venez-vous simplement au Seigneur dans le but d'être restauré dans la relation afin de continuer à recevoir son amour inconditionnel, son pardon, ses consolations, ses encouragements, ses directions et son aide afin que la tristesse qui est en nous soit pleinement guérie? N'oublions pas que notre conscience fait partie de la condition de vie dans un monde déchu, sous le jugement de Dieu. Ainsi, la maturité de la conscience dans la dynamique spirituelle de son renouvellement entraîne les croyants dans une plus grande conformité aux valeurs bibliques en les aidants à déterminer avec la plus grande exactitude qu'elle est la position biblique sur leurs actions. Mais attention, tout cela ne rend pas la conscience infaillible et ne remplacera jamais la communion avec Dieu et notre écoute de sa Parole révélée par le Saint Esprit. Si notre conscience renouvelée émet des avis mais elle ne doit pas être un guide suprême au dedans de nous. Car quand la conscience règne c'est en réalité encore nous qui régnons...! Il y a donc un véritable danger à vivre sous le règne de la conscience en abandonnant ainsi celui du Seigneur et de sa Parole." Xavier LAVIE
La vie secrète des arbres
Esaïe 55.12 "Oui, vous sortirez avec joie, Et vous serez conduits en paix; Les montagnes et les collines éclateront d’allégresse devant vous, Et tous les arbres de la campagne battront des mains."
Le 6 février 2017, alors que nous étions en prière, j'ai reçu la vision souterraine d'une forêt. Je voyais les racines des arbres plonger profondément dans la terre pour s'enraciner solidement et se nourrir des nutriments les meilleurs.
D'autre part, dès que les racines de deux arbres entraient en contact, elles se greffaient les unes aux autres et se soudaient solidement les unes aux autres. Elles n'étaient pas seulement accolées, mais il y avait carrément fusion de vies juste sous l’écorce, là où circulaient l’eau et les nutriments.
Ainsi, si un arbre avait accès à un plan d’eau, il devenait en quelque sorte le fournisseur de l’arbre voisin qui n’y avait pas accès. Les arbres n'étaient pas des entités individuelles ou en compétition,mais ils étaient connectés et se répartissaient leurs ressources ainsi que leurs nutriments. Cette forme de solidarité entre végétaux était si forte que les arbres se fortifiaient même au sein de l'hiver sous les rafales de vent et malgré le gel.
Sophie Lavie
Au mois de mai 2017, j'ai entendu au journal télévisé une interview de Peter Wohlleben rapportant les propos suivants :
Vous donnez aux arbres plus qu’une âme : une intelligence, comme dans
les contes. Sauf que vous ne vous appuyez pas sur l’imaginaire, mais sur
la science. Par exemple, vous expliquez qu’ils apprennent…
Peter Wohlleben : En effet, les arbres ont un cerveau. Pas au
sens classique, bien sûr, mais ils ont une mémoire et sont capables
d’apprendre. Ainsi, pour ressentir l’entrée dans le printemps et, donc,
le moment opportun de faire pousser leurs feuilles, ils comptent les
jours de chaleur printanière. Sans quoi, ils fleuriraient parfois très
tôt, juste sous l’effet de quelques jours de beau temps avant le retour
du gel, qui détruirait leur feuillage. De même, après une période de
sécheresse estivale exceptionnelle, on a observé que des arbres
changeaient leur mode de stockage d’eau avant l’été suivant, afin de se
préparer à une éventuelle sécheresse : ils avaient gardé la mémoire de
leur expérience passée. Mais où se trouve cette mémoire ? Cela, nous ne
le savons pas…
Plus surprenant, peut-être, vous affirmez que ce sont des êtres sociaux qui communiquent entre eux, s’entraident, coopèrent. Comment est-ce possible ?
Peter Wohlleben : Dans une forêt, la survie de chaque arbre
dépend de ses voisins. Car, quand l’un d’eux meurt, cela crée un vide
dans lequel le vent ou la pluie peuvent s’engouffrer et nuire aux
autres. Conscients de cette interdépendance, tous sont prêts à offrir
leur soutien. Pour cela, ils communiquent via leurs racines. Des
scientifiques parlent de wood wide web [« grand réseau de
bois »] : le système de racines peut connecter des arbres entre eux sur
des centaines de kilomètres. Par exemple, si l’un d’eux est attaqué par
une espèce d’insectes, il informe les autres, qui se préparent à se
défendre, mais aussi à lui venir en aide en développant des substances
empoisonnées.
Y a-t-il des relations privilégiées entre des arbres ?
Peter Wohlleben : Oui. Notamment entre les mères et leurs
enfants, parmi lesquels elles ont souvent un favori : elles les
alimentent via les racines… comme un mammifère pratique l’allaitement !
On constate aussi des amitiés qui traversent plusieurs centaines
d’années. Ainsi, je suis tombé un jour sur un caillou recouvert de
mousse, avant de découvrir qu’il s’agissait de la racine d’un arbre
abattu quatre cents ou cinq cents ans auparavant. Elle n’avait plus de
tronc ni de feuille, et pourtant elle vivait toujours. Comment ? Grâce à
la nourriture fournie par des arbres voisins. Cela nous montre à quel
point il est faux de croire que seuls les plus forts survivent. La forêt
nous apprend au contraire que, dans la nature, on se bat les uns
« pour » les autres.
Vous parlez d’amitié, de liens maternels… Mais ne serait-il pas plus juste de parler de liens « nécessaires » plutôt qu’affectifs ?
Peter Wohlleben : Ni plus ni moins que la politesse, le
respect et l’entraide dans nos sociétés, ces comportements sont
indispensables à la survie des populations. Mais les arbres vont plus
loin : les plus riches en sucre partagent leur réserve afin que tous en
aient à peu près autant. Cela garantit le bon vieillissement de la forêt
dans sa globalité.
Est-ce si sûr ? Certains sont plus imposants, donc plus avides que d’autres en lumière et en eau, non ?
Peter Wohlleben : Oui, il en existe de plus ambitieux que
d’autres. Mais même les plus petits, les plus faibles sont soutenus.
Simplement, il leur faudra davantage de temps pour se développer. La
lenteur est le temps de la forêt. Pensez que chaque nœud que vous voyez
sur une branche correspond à une année de développement !
À l’inverse, y a-t-il des inimitiés entre des arbres ?
Peter Wohlleben : Tout à fait, des espèces en attaquent
d’autres. Vous penserez : mais alors les arbres sont racistes ! Ce
serait oublier que l’écart entre deux espèces est aussi vaste qu’entre
un être humain et un poisson. Par ailleurs, des études montrent que, au
sein d’une même espèce, tous ne bénéficient pas de la même aide. C’est
cela qui m’incite à parler d’amitié : ce sont des relations choisies.
ils peuvent avertir leurs congénères d’une attaque d’insectes, appeler à la rescousse les prédateurs des parasites. Les ormes se débarrassent des chenilles en émettant des substances attirant des petites guêpes qui pondent dans celles-ci. Les arbres sont capables d’identifier la salive des chenilles en la distinguant de celle d’un cervidé et ainsi adopter la stratégie de défense adaptée. Si c’est une biche qui les croque, ils envoient dans leurs rameaux des substances toxiques ou amères. Ce qui prouve qu’ils ont le sens du goût. Ils peuvent aussi «voir» la longueur des jours, «sentir» des messages olfactifs ou la température de l’air. Ils sont peut-être même dotés de l’ouïe : il a été prouvé que les racines de céréales émettent un son et que celles des plantes alentour se dirigent alors dans cette direction.
Ce qui me fascine aussi c'est que plus la croissance des jeunes arbres est lente, plus ils ont de chances de vivre longtemps, jusqu’à des milliers d’années. Nous savons que le surmenage réduit notre espérance de vie, que ralentir est meilleur pour notre santé.
Le temps des humains ne correspond pas à celui des arbres. On veut des résultats rapides, d’où toutes ces plantations où les arbres grandissent vite mais sont fragiles. Restaurer une forêt primaire prend cinq cents ans. Cela paraît énorme, mais c’est la longévité normale d’un arbre.
Quelles facultés des arbres vous fascinent le plus ?
Peter Wohlleben : Il y en a tant ! On sait qu’ils sont connectés les uns aux autres via les racines et nourrissent ainsi les plus faibles. Une étude de l’université de Vancouver a même montré qu’une «mère-arbre» peut détecter ses jeunes plants avec ses racines. On a mesuré qu’elle soutient davantage ces derniers. Les arbres décident bel et bien avec qui ils se connectent. Et ils ont une mémoire. En cas de sécheresse, le bois se déshydrate, se fissure. L’arbre blessé s’en souvient toute sa vie et change de stratégie dès le printemps suivant en réduisant sa consommation d’eau. Les vieux seraient même capables de partager cette information avec les plus jeunes, de les «éduquer».ils peuvent avertir leurs congénères d’une attaque d’insectes, appeler à la rescousse les prédateurs des parasites. Les ormes se débarrassent des chenilles en émettant des substances attirant des petites guêpes qui pondent dans celles-ci. Les arbres sont capables d’identifier la salive des chenilles en la distinguant de celle d’un cervidé et ainsi adopter la stratégie de défense adaptée. Si c’est une biche qui les croque, ils envoient dans leurs rameaux des substances toxiques ou amères. Ce qui prouve qu’ils ont le sens du goût. Ils peuvent aussi «voir» la longueur des jours, «sentir» des messages olfactifs ou la température de l’air. Ils sont peut-être même dotés de l’ouïe : il a été prouvé que les racines de céréales émettent un son et que celles des plantes alentour se dirigent alors dans cette direction.
Ce qui me fascine aussi c'est que plus la croissance des jeunes arbres est lente, plus ils ont de chances de vivre longtemps, jusqu’à des milliers d’années. Nous savons que le surmenage réduit notre espérance de vie, que ralentir est meilleur pour notre santé.
Le temps des humains ne correspond pas à celui des arbres. On veut des résultats rapides, d’où toutes ces plantations où les arbres grandissent vite mais sont fragiles. Restaurer une forêt primaire prend cinq cents ans. Cela paraît énorme, mais c’est la longévité normale d’un arbre.
Quelles sont les pièces manquantes qui vous intéressent ?
En premier lieu, où les arbres stockent-ils leur mémoire ? Ils n’ont pas de cerveau tel que le nôtre. Mais nous savons qu’ils stockent les connaissances acquises. Par exemple, ils comptent les journées chaudes au printemps pour éviter de fleurir trop tôt. Ils savent que trois jours chauds ne suffisent pas, qu’il faut encore attendre. Sans mémoire, chaque jour serait compté comme étant le premier. Ensuite, j’aimerais savoir s’ils communiquent sur d’autres sujets que les dangers détectés. Je rêve d’un dictionnaire chimique permettant d’analyser leurs messages olfactifs. Peut-être parlent-ils de la météo, de ce qu’ils ressentent. Notre nez peut déjà déceler certains signaux. Une odeur aromatique, l’été, dans les forêts de conifères signifie qu’ils s’avertissent : il fait trop sec, trop chaud, des insectes attaquent… Ces forêts sont le plus souvent plantées, donc vulnérables. Malgré la senteur agréable et même si nous n’en avons pas conscience, notre corps perçoit l’appel à l’aide. Des recherches ont montré que notre pression artérielle augmente dans ce type de forêts et baisse dans celles de feuillus intacts, qui échangent sans doute des signaux de bien-être."Toutes vies sur la terre ont été soumises à des règles de fonctionnement, d'harmonie et de cohabitation. Cependant le péché introduit dans le monde par la désobéissance de l'homme a bouleversé tout cet équilibre divin. Néanmoins, il reste encore dans cette création des traces évidentes de la grande sagesse du créateur et ces découvertes au sein du monde végétal devrait non seulement nous amener à reconnaître la grandeur de Dieu mais aussi à nous questionner sur nos relations les uns vis à vis des autres. En Christ, Dieu travaille à rétablir toutes choses." Xavier Lavie
Peter Wohlleben a écrit "La vie secrète des arbres"
vendredi 19 mai 2017
Citations
"Jésus n'a jamais rencontré une maladie qu'il ne pouvait guérir, un défaut de naissance qu'il ne pouvait changer, un démon qu'il ne pouvait pas exorciser. Mais il a rencontré des sceptiques et des pécheurs qu'il n'a pas pu convertir. Le pardon des péchés demande un acte de volonté de la part de celui qui le reçoit et certains de ceux qui ont entendu les paroles fortes de Jésus à propos de la grâce et du pardon sont repartis sans se repentir." Philip Yancey
"En dépit de leurs prières et de leurs efforts, bien des chrétiens restent faibles et chancelants parce qu’ils s’efforcent d’accomplir l’œuvre que seul Dieu peut opérer. Ils ne savent pas laisser à Dieu le soin de produire en eux, par son Esprit le vouloir et le faire, ils ne se tiennent pas à ses pieds en comptant humblement sur ses promesses, pour qu’il déploie sa puissance dans leur absolue impuissance. Reconnaître et vivre sa propre impuissance est toujours une des conditions de la vraie foi. Vidé de soi-même, dépouillé de toute confiance en soi même, nous devons nous attendre à Dieu et marcher avec lui, comme n’ayant rien et n’étant rien." Andrew Murray
"Il
y a trois grandes étapes dans la vie de la foi : voir les choses
invisibles, les accueillir avec joie à tel point qu'elles influences
notre manière de vivre et les recevoir dans notre réalité terrestre."
Andrew Murray
"La foi fait de nous des étrangers et des voyageurs ici-bas ; c’est ce qu’a été Jésus Christ et ce que nous devons être." Andrew Murray
"La foi produit en nous l’affection pour les choses célestes." Andrew Murray
"La foi véritable commence par compter sur ce que Dieu a promis ; mais elle n’en reste pas là : elle conduit à la pleine possession et à la jouissance, par la puissance de Dieu, de ce qu’elle avait d’abord salué de loin et accueilli comme devant lui appartenir. Elle compte sur la fidélité de Dieu : ce qu’il a dit, sa main l’exécutera. " Andrew Murray
"La foi ne s’arrête pas à la personne qui croit, elle englobe sa maison et ses enfants.
Comment des parents chrétiens peuvent ils assurer à leurs enfants la bénédiction attendue ?
Par la foi. Il faut que leur vie soit réellement une vie de foi ; il faut que les choses invisibles, ou plutôt que le Dieu invisible soit leur vie." Andrew Murray
"C’est dans la mesure où Dieu aura sa place dans notre vie de famille que son influence secrète s’exercera sur nos enfants, ce qui est déjà beaucoup ; le plus important, c’est la place qu’on donne à Dieu dans la vie de tous les jours." Andrew Murray
"Ceux qui se fient et se livrent aux choses visibles et passagères mènent une vie terrestre et charnelle. Ceux qui recherchent les choses invisibles et éternelles et s’y adonnent vivent une vie divine et céleste. La foi est donc constamment appelée à faire son choix. Plus elle se prononcera délibérément et énergiquement pour l’invisible, plus grandes seront sa force et sa récompense. La principale difficulté de ce choix provient de ce que, en conséquence de la chute, nos yeux ont été aveuglés au point que nous attachons une valeur et une importance extrêmes aux choses qui passent, tout en sachant que les choses éternelles sont infiniment plus précieuses." Andrew Murray
"La foi considère tout à la lumière de l’éternité ; elle juge de tout comme on le fera lorsque le jour du jugement sera passé et que la gloire aura commencé ; elle apprécie tout selon sa véritable valeur ; sacrifices, souffrances, pertes, épreuves sont accueillis par elle, comme le moyen de parvenir à la décision joyeuse, à la volonté ferme et forte, et à la victoire de la foi. Si de nos jours, la foi est faible, c’est qu’il n’y a pas de séparation avec le monde." Andrew Murray
"Toute épreuve a un double but : nous donner l’occasion de glorifier Dieu par notre confiance en lui et fournir à Dieu l’occasion de montrer sa fidèle sollicitude pour les siens. Sans les épreuves, il n’y aurait ni école de foi ni croissance spirituelle ni force de volonté se soumettant à Dieu et s’attachant à lui. Une autre leçon qui ressort de cette série d’exploits de la foi, c’est l’utilité générale ou collective de la foi individuelle ; tous ces héros de la foi vivaient pour la cause de Dieu et pour le bien de tous. L’égoïsme tue la foi. Qui dit foi dit obstacles à surmonter ; mais pas d’obstacles que la foi ne puisse surmonter." Andrew Murray
"Un des plus grands dangers qui menacent la vie chrétienne, c’est de rester stationnaire, de se contenter des premières expériences de la vie en Christ.
Ce relâchement conduit presque inévitablement au recul et au péché.
Aussi, après la foi, c’est la persévérance que cette épitre cherche à inculquer à ses lecteurs.
L’auteur recommande la persévérance, sans laquelle personne ne peut résister aux épreuves que la vie réserve, ni à la tentation de se décourager qui accompagne souvent l’épreuve.
Pour courir dans la carrière, une des premières précautions à prendre c’est de se débarrasser de tout ce qui nuit à notre course." Andrew Murray
"Les trois éléments du succès dans un parcours de coureurs sont : le renoncement à soi même qui rejette toute entrave, l’esprit résolu qui s’élance dans l’arène et la persévérance grâce à laquelle, jour après jour, on continue la course ave"Toujours et en toutes circonstances, gardons le regard fixé sur Jésus pour voir qui il est, écouter ce qu’il dit, faire ce qu’il ordonne, le suivre où qu’il nous conduise, et nous attendre à recevoir tout ce qu’il est prêt à nous donner.
Les regards sur lui et sur son amour jusqu’à ce que cet amour embrase nos cœurs, jusqu’à ce que nos yeux rencontrent les siens et que nous ayons pleinement conscience qu’il veille sur nous.
Regard de foi puisqu’en lui seul est notre salut, regard d’amour puisqu’il peut satisfaire nos cœurs, regard de désir intense dans notre soif de le connaître mieux, regard de consécration et d’obéissance n’attendent qu’un signe qui nous indique sa volonté, regard d’allégresse puisqu’il nous aime et que nous le savons, regard d’adoration et d’émerveillement puisqu’il est la splendeur de la gloire de son père, notre seigneur et notre Dieu." Andrew Murrayc un nouvel élan." Andrew Murray
"On oppose souvent la vie chrétienne pratique à la piété contemplative, comme si elles étaient incompatibles. Pourtant elles devraient être parfaitement harmonisées. Courir est un exercice violent du corps et de l’âme et avoir les regards sur Jésus est l’attitude spirituelle d’un cœur qui cherche en Jésus, dans son exemple et sa vie, la force et l’inspiration. Jésus est notre guide, le précurseur qui est entré pour nous au-delà du voile, en nous frayant un chemin pour qu’on le suive. Il est le guide de notre foi. Il nous conduit dans le chemin de la foi où il a marché lui-même. Il l’a ouvert pour nous, il nous y attire et il nous aide. Il est le consommateur de notre foi parce qu’il en a gravi la plus haute cime. Il rend aussi la foi parfaite en nous parce qu’il devient lui-même l’objet de notre foi et qu’il peut nous transformer à son image et faire de la foi en lui, le secret de la perfection chrétienne." Andrew Murray
"Regardons à Jésus et à sa souffrance, ainsi qu’à la patience avec laquelle il l’a supportée.
Si Jésus n’a pas pu être élevé à la perfection autrement que par la souffrance, combien moins le pourrions-nous ! Et si la souffrance a été pour lui une telle bénédiction, elle le sera pour nous aussi.
Contemplons l’homme de douleur et nous aurons la consolation de sa sympathie, le courage que nous inspirera sa victoire, le bonheur de connaître la conformité avec lui dans ses souffrances.
Ne pas savoir discerner la main de Dieu, ne pas accepter l’épreuve comme étant véritablement la discipline de Dieu, c’est nous priver de l’enseignement et de la bénédiction qu’elle était destinée nous apporter. Ne perdons pas courage, ne soyons pas abattus comme si le châtiment était trop lourd ou trop sévère pour que nous soyons capables de le supporter. Par-dessus toutes choses, prenons garde d’abandonner notre assurance, de devenir impatients, de perdre courage. Ce sont les épreuves, les soucis, les déceptions, l’anxiété, la persécution ou l’opprobre qui sont souvent la cause du découragement. Apprenons le secret de ne jamais permettre aux souffrances d’être une perte quelconque pour notre âme, mais faisons de nos souffrances, la source de notre plus grand bien spirituel. Ce secret, c’est de rattacher ces souffrances à Dieu et à Jésus. C’est Dieu qui les envoie.
Il les a envoyées à Jésus et par leur moyen, il l’a élevé à la perfection. Il nous les envoie avec le même amour, et il en fera pour nous le plus puissant enrichissement." Andrew Murray
"La souffrance est une messagère de Dieu chargée de nous façonner et de nous mettre en harmonie avec le lieu très saint et de nous unir intimement à Dieu qui y réside. Pour la chair qui juge d’après les sens et le moment présent, le châtiment est souvent terrible et pénible, mais la foi, qui vit dans l’avenir et l’invisible, se réjouit dans l’assurance de la délivrance et de la bénédiction céleste qui est le fruit du châtiment." Andrew Murray
Regarde au bon endroit et à la bonne personne !
Psaume 34.5 "Quand on tourne vers lui les regards, on est rayonnant de joie, et le visage ne se couvre pas de honte."
“Avant la création du monde, Dieu nous avait déjà choisis pour être siens en Christ.” Ephésiens 1. 4
"Nous devons comprendre à quel moment Dieu nous a choisis, afin d’apprécier à sa juste valeur notre position d’enfant de Dieu. Comprendre que ce choix a été fait “avant la création du monde” nous aidera à accepter certaines épreuves ou à prendre des décisions difficiles concernant notre avenir. “Bien avant que nous connaissions Christ, Dieu nous avait choisis, selon son plan…” (Ep 1. 11). Vous avez été choisi personnellement par Dieu ! Vous arrivez sur cette terre avec un rôle à y jouer, un rôle qu’Il a Lui-même décidé de vous confier. Si vous avez survécu aux orages de la vie jusqu’à aujourd’hui, c’est parce qu’Il tient à ce que vous accomplissiez votre destinée ! Voilà pourquoi vous avez survécu aux attaques de l’ennemi, qui ne cherche qu’à vous détruire, car il connaît votre importance aux yeux de Dieu. Vous devez bien comprendre cette vérité pour deux raisons : 1- Si vous vous imaginez que Dieu vous a choisi pour telle ou telle tâche en fonction de vos longues heures de prière ou de lecture de Sa Parole ou en fonction de votre caractère formidable, dès que vous flancherez, l’ennemi sera là pour essayer de vous convaincre que Dieu vous a abandonné, que vous n’êtes plus “choisi” ! N’acceptez pas ce mensonge ! 2- Connaître votre véritable statut dans la famille de Dieu vous permettra de dire, le jour venu : “Même si je Lui ai été infidèle et désobéissant, je sais que je peux toujours revenir à Lui, parce qu’Il m’a choisi malgré mes fautes.” L’ennemi fera tout son possible pour détruire cette certitude et vous faire douter de votre statut dans la famille de Dieu, car il sait que cette certitude vous permettra d’aller loin dans la vie. Le fils prodigue avait cette certitude au fond de lui-même. Il a dit : “Même si je suis dans une mauvaise passe, même si je pue comme les cochons qui m’entourent, je sais que je peux retourner dans la maison de mon père. Malgré mes mauvais choix, il est toujours mon père et il m’aime.” Vous aussi pouvez affirmer la même chose !" Bob Gass
"La foi fait de nous des étrangers et des voyageurs ici-bas ; c’est ce qu’a été Jésus Christ et ce que nous devons être." Andrew Murray
"La foi produit en nous l’affection pour les choses célestes." Andrew Murray
"La foi véritable commence par compter sur ce que Dieu a promis ; mais elle n’en reste pas là : elle conduit à la pleine possession et à la jouissance, par la puissance de Dieu, de ce qu’elle avait d’abord salué de loin et accueilli comme devant lui appartenir. Elle compte sur la fidélité de Dieu : ce qu’il a dit, sa main l’exécutera. " Andrew Murray
"La foi ne s’arrête pas à la personne qui croit, elle englobe sa maison et ses enfants.
Comment des parents chrétiens peuvent ils assurer à leurs enfants la bénédiction attendue ?
Par la foi. Il faut que leur vie soit réellement une vie de foi ; il faut que les choses invisibles, ou plutôt que le Dieu invisible soit leur vie." Andrew Murray
"C’est dans la mesure où Dieu aura sa place dans notre vie de famille que son influence secrète s’exercera sur nos enfants, ce qui est déjà beaucoup ; le plus important, c’est la place qu’on donne à Dieu dans la vie de tous les jours." Andrew Murray
"Ceux qui se fient et se livrent aux choses visibles et passagères mènent une vie terrestre et charnelle. Ceux qui recherchent les choses invisibles et éternelles et s’y adonnent vivent une vie divine et céleste. La foi est donc constamment appelée à faire son choix. Plus elle se prononcera délibérément et énergiquement pour l’invisible, plus grandes seront sa force et sa récompense. La principale difficulté de ce choix provient de ce que, en conséquence de la chute, nos yeux ont été aveuglés au point que nous attachons une valeur et une importance extrêmes aux choses qui passent, tout en sachant que les choses éternelles sont infiniment plus précieuses." Andrew Murray
"La foi considère tout à la lumière de l’éternité ; elle juge de tout comme on le fera lorsque le jour du jugement sera passé et que la gloire aura commencé ; elle apprécie tout selon sa véritable valeur ; sacrifices, souffrances, pertes, épreuves sont accueillis par elle, comme le moyen de parvenir à la décision joyeuse, à la volonté ferme et forte, et à la victoire de la foi. Si de nos jours, la foi est faible, c’est qu’il n’y a pas de séparation avec le monde." Andrew Murray
"Toute épreuve a un double but : nous donner l’occasion de glorifier Dieu par notre confiance en lui et fournir à Dieu l’occasion de montrer sa fidèle sollicitude pour les siens. Sans les épreuves, il n’y aurait ni école de foi ni croissance spirituelle ni force de volonté se soumettant à Dieu et s’attachant à lui. Une autre leçon qui ressort de cette série d’exploits de la foi, c’est l’utilité générale ou collective de la foi individuelle ; tous ces héros de la foi vivaient pour la cause de Dieu et pour le bien de tous. L’égoïsme tue la foi. Qui dit foi dit obstacles à surmonter ; mais pas d’obstacles que la foi ne puisse surmonter." Andrew Murray
"Un des plus grands dangers qui menacent la vie chrétienne, c’est de rester stationnaire, de se contenter des premières expériences de la vie en Christ.
Ce relâchement conduit presque inévitablement au recul et au péché.
Aussi, après la foi, c’est la persévérance que cette épitre cherche à inculquer à ses lecteurs.
L’auteur recommande la persévérance, sans laquelle personne ne peut résister aux épreuves que la vie réserve, ni à la tentation de se décourager qui accompagne souvent l’épreuve.
Pour courir dans la carrière, une des premières précautions à prendre c’est de se débarrasser de tout ce qui nuit à notre course." Andrew Murray
"Les trois éléments du succès dans un parcours de coureurs sont : le renoncement à soi même qui rejette toute entrave, l’esprit résolu qui s’élance dans l’arène et la persévérance grâce à laquelle, jour après jour, on continue la course ave"Toujours et en toutes circonstances, gardons le regard fixé sur Jésus pour voir qui il est, écouter ce qu’il dit, faire ce qu’il ordonne, le suivre où qu’il nous conduise, et nous attendre à recevoir tout ce qu’il est prêt à nous donner.
Les regards sur lui et sur son amour jusqu’à ce que cet amour embrase nos cœurs, jusqu’à ce que nos yeux rencontrent les siens et que nous ayons pleinement conscience qu’il veille sur nous.
Regard de foi puisqu’en lui seul est notre salut, regard d’amour puisqu’il peut satisfaire nos cœurs, regard de désir intense dans notre soif de le connaître mieux, regard de consécration et d’obéissance n’attendent qu’un signe qui nous indique sa volonté, regard d’allégresse puisqu’il nous aime et que nous le savons, regard d’adoration et d’émerveillement puisqu’il est la splendeur de la gloire de son père, notre seigneur et notre Dieu." Andrew Murrayc un nouvel élan." Andrew Murray
"On oppose souvent la vie chrétienne pratique à la piété contemplative, comme si elles étaient incompatibles. Pourtant elles devraient être parfaitement harmonisées. Courir est un exercice violent du corps et de l’âme et avoir les regards sur Jésus est l’attitude spirituelle d’un cœur qui cherche en Jésus, dans son exemple et sa vie, la force et l’inspiration. Jésus est notre guide, le précurseur qui est entré pour nous au-delà du voile, en nous frayant un chemin pour qu’on le suive. Il est le guide de notre foi. Il nous conduit dans le chemin de la foi où il a marché lui-même. Il l’a ouvert pour nous, il nous y attire et il nous aide. Il est le consommateur de notre foi parce qu’il en a gravi la plus haute cime. Il rend aussi la foi parfaite en nous parce qu’il devient lui-même l’objet de notre foi et qu’il peut nous transformer à son image et faire de la foi en lui, le secret de la perfection chrétienne." Andrew Murray
"Regardons à Jésus et à sa souffrance, ainsi qu’à la patience avec laquelle il l’a supportée.
Si Jésus n’a pas pu être élevé à la perfection autrement que par la souffrance, combien moins le pourrions-nous ! Et si la souffrance a été pour lui une telle bénédiction, elle le sera pour nous aussi.
Contemplons l’homme de douleur et nous aurons la consolation de sa sympathie, le courage que nous inspirera sa victoire, le bonheur de connaître la conformité avec lui dans ses souffrances.
Ne pas savoir discerner la main de Dieu, ne pas accepter l’épreuve comme étant véritablement la discipline de Dieu, c’est nous priver de l’enseignement et de la bénédiction qu’elle était destinée nous apporter. Ne perdons pas courage, ne soyons pas abattus comme si le châtiment était trop lourd ou trop sévère pour que nous soyons capables de le supporter. Par-dessus toutes choses, prenons garde d’abandonner notre assurance, de devenir impatients, de perdre courage. Ce sont les épreuves, les soucis, les déceptions, l’anxiété, la persécution ou l’opprobre qui sont souvent la cause du découragement. Apprenons le secret de ne jamais permettre aux souffrances d’être une perte quelconque pour notre âme, mais faisons de nos souffrances, la source de notre plus grand bien spirituel. Ce secret, c’est de rattacher ces souffrances à Dieu et à Jésus. C’est Dieu qui les envoie.
Il les a envoyées à Jésus et par leur moyen, il l’a élevé à la perfection. Il nous les envoie avec le même amour, et il en fera pour nous le plus puissant enrichissement." Andrew Murray
"La souffrance est une messagère de Dieu chargée de nous façonner et de nous mettre en harmonie avec le lieu très saint et de nous unir intimement à Dieu qui y réside. Pour la chair qui juge d’après les sens et le moment présent, le châtiment est souvent terrible et pénible, mais la foi, qui vit dans l’avenir et l’invisible, se réjouit dans l’assurance de la délivrance et de la bénédiction céleste qui est le fruit du châtiment." Andrew Murray
Regarde au bon endroit et à la bonne personne !
Psaume 34.5 "Quand on tourne vers lui les regards, on est rayonnant de joie, et le visage ne se couvre pas de honte."
Il est important de diriger ses regards au bon endroit... Beaucoup de personnes regardent aux autres et finalement vivent dans
l'envie ou la critique. Et finalement, ils se servent des autres pour se
justifier à tord dans leurs pratiques: si les autres le font alors
pourquoi pas moi? D'autres regardent à eux-même, à leurs
problèmes, leurs difficultés, leurs faiblesses et finissent dans
l'orgueil ou le découragement !
Dans les deux cas nous tournons en rond et fatalement nous stagnons. Quand nous nous ressaisissons par la foi et que nous tournons vers le Seigneur Jésus, c'est alors que nous changeons et recevons ainsi une juste perspective sur les autres et sur nous-même. De plus se tourner vers Jésus rétablit l'espoir en nous et pour les autres. Ainsi, celui qui se tourne vers Jésus est rayonnant de joie ! Vers qui es-tu tourné actuellement ? Xavier LAVIE
Dans les deux cas nous tournons en rond et fatalement nous stagnons. Quand nous nous ressaisissons par la foi et que nous tournons vers le Seigneur Jésus, c'est alors que nous changeons et recevons ainsi une juste perspective sur les autres et sur nous-même. De plus se tourner vers Jésus rétablit l'espoir en nous et pour les autres. Ainsi, celui qui se tourne vers Jésus est rayonnant de joie ! Vers qui es-tu tourné actuellement ? Xavier LAVIE
“Avant la création du monde, Dieu nous avait déjà choisis pour être siens en Christ.” Ephésiens 1. 4
"Nous devons comprendre à quel moment Dieu nous a choisis, afin d’apprécier à sa juste valeur notre position d’enfant de Dieu. Comprendre que ce choix a été fait “avant la création du monde” nous aidera à accepter certaines épreuves ou à prendre des décisions difficiles concernant notre avenir. “Bien avant que nous connaissions Christ, Dieu nous avait choisis, selon son plan…” (Ep 1. 11). Vous avez été choisi personnellement par Dieu ! Vous arrivez sur cette terre avec un rôle à y jouer, un rôle qu’Il a Lui-même décidé de vous confier. Si vous avez survécu aux orages de la vie jusqu’à aujourd’hui, c’est parce qu’Il tient à ce que vous accomplissiez votre destinée ! Voilà pourquoi vous avez survécu aux attaques de l’ennemi, qui ne cherche qu’à vous détruire, car il connaît votre importance aux yeux de Dieu. Vous devez bien comprendre cette vérité pour deux raisons : 1- Si vous vous imaginez que Dieu vous a choisi pour telle ou telle tâche en fonction de vos longues heures de prière ou de lecture de Sa Parole ou en fonction de votre caractère formidable, dès que vous flancherez, l’ennemi sera là pour essayer de vous convaincre que Dieu vous a abandonné, que vous n’êtes plus “choisi” ! N’acceptez pas ce mensonge ! 2- Connaître votre véritable statut dans la famille de Dieu vous permettra de dire, le jour venu : “Même si je Lui ai été infidèle et désobéissant, je sais que je peux toujours revenir à Lui, parce qu’Il m’a choisi malgré mes fautes.” L’ennemi fera tout son possible pour détruire cette certitude et vous faire douter de votre statut dans la famille de Dieu, car il sait que cette certitude vous permettra d’aller loin dans la vie. Le fils prodigue avait cette certitude au fond de lui-même. Il a dit : “Même si je suis dans une mauvaise passe, même si je pue comme les cochons qui m’entourent, je sais que je peux retourner dans la maison de mon père. Malgré mes mauvais choix, il est toujours mon père et il m’aime.” Vous aussi pouvez affirmer la même chose !" Bob Gass
jeudi 18 mai 2017
Dans l'épreuve
PSAUME 56.4,5
Durant les années 1990, un slogan est né chez les adeptes de la planche à roulettes et du patin à roues alignées en Californie :
« No fear! » (N’aie pas peur!).
Cette expression était en général associée à des prouesses athlétiques, mais pourrait‑elle aussi s’appliquer à la vie chrétienne?
De toute évidence, il est impossible de vivre ici‑bas sans jamais connaître l’incertitude, des doutes, la confusion ou la peur.
L’Écriture n’ignore pas ces sentiments; bien au contraire, elle reconnaît que nous traverserons tous des difficultés.
La bonne façon d’y réagir est d’admettre nos craintes au Seigneur et de croire qu’il fera concourir la situation à sa gloire et à notre bien (Psaume 56.12).
Trop de gens excluent la possibilité que Dieu soit responsable de leurs ennuis quand ils se heurtent à des problèmes apparemment insurmontables.
Ce qu’ils ne comprennent pas, c’est que le Seigneur désire se servir de ce malheur pour les transformer.
Dieu utilise les épreuves pour purifier notre foi.
Puisqu'il est le Souverain de l’univers, il veut aussi régner sur notre vie.
Si nous nous appuyons sur toute autre personne (ou chose) que lui, il nous enlève rapidement l’obstacle qui gêne notre marche avec lui.
Si vous traversez l’adversité, sollicitez du Seigneur le discernement nécessaire pour vous demander : Dieu permet‑il cette circonstance pour m’approcher de lui?
Le cas échéant, faites‑lui confiance pour qu’il réorganise votre vie et vous accorde la grâce de lui rester fidèle.
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Transcender la souffrance
Hebreux 12.1 “Nous donc aussi, puisque nous
sommes environnés d’une si grande nuée de témoins, rejetons tout fardeau, et le
péché qui nous enveloppe si facilement, et courons avec persévérance dans la
carrière qui nous est ouverte…”
Un des plus grands dangers qui
menacent la vie chrétienne, c’est de rester stationnaire, de se contenter des
premières expériences de la vie en Christ.
Ce relâchement conduit presque
inévitablement au recul et au péché.
Aussi, après la foi, c’est la
persévérance que cette épitre cherche à inculquer à ses lecteurs.
L’auteur recommande la
persévérance, sans laquelle personne ne peut résister aux épreuves que la vie
réserve, ni à la tentation de se décourager qui accompagne souvent l’épreuve.
Pour courir dans la carrière, une
des premières précautions à prendre c’est de se débarrasser de tout ce qui nuit
à notre course.
On ne peut gagner la course en
voulant tirer profit à la fois du monde et du ciel.
Courir dans l’arène implique la
poursuite d’un but unique et précis pour l’atteindre.
L’homme qui court se donne lui-même
tout entier à une seule chose.
Tant qu’il court, il oublie tout le
reste parce qu’il est saisi par le désir intense de remporter le prix.
Les trois éléments du succès dans
un parcours de coureurs sont : le renoncement à soi même qui rejette toute
entrave, l’esprit résolu qui s’élance dans l’arène et la persévérance grâce à laquelle, jour après
jour, on continue la course avec un nouvel élan.
En regardant à lui, dans la gloire,
nous voyons quelle sûre récompense on obtient en mourant avec lui, quelle
puissance et quelle gloire il nous offre pour nous inviter à mettre en lui
toute notre confiance et à lui abandonner nos âmes ; et quelle vie divine
son Esprit fera descendre dans nos cœurs !
Chaque fois que nous pensons à lui,
assis sur le trône, nous devons nous souvenir du sentier qui l’y a conduit et
qui nous y conduira.
D’autre part, chaque fois que nous
pensons à lui et à son parcours douloureux, nous devons élever nos cœurs vers
lui avec amour, car il règne pour nous communiquer sans interruption la
puissance de sa vie glorifié et de salut parfait et éternel.
Si les chrétiens voulaient
seulement comprendre qu’ils ne peuvent absolument pas avoir une vie vraiment
chrétienne sans tenir leurs yeux fixés sur Jésus et qu’aucun de leurs pas n’est
sûr s’ils ne regardent à lui, ils seraient davantage attentifs à lui.
Ce n’est pas s’imposer une tension
contre nature que de regarder toujours à Jésus, car par la foi tout est
possible. Jésus peut se révéler à nous de telle façon que nous ne pouvons pas
l’oublier, tout comme nous n’oublions pas de respirer ou d’ouvrir les yeux.
Un cœur dans lequel, par le saint
Esprit, regarder à Jésus devient un exercice spontané et des plus naturels,
reçoit des bénédictions des plus profondes.
Chapitre
12.3-5 “ Considérez, en effet, celui qui a
supporté contre sa personne une telle opposition de la part des pécheurs, afin
que vous ne vous lassiez point, l’âme découragée. Vous n’avez pas encore
résisté jusqu’au sang, en luttant contre le péché. Et vous avez oublié
l’exhortation qui vous est adressée comme à des fils: Mon fils, ne méprise pas
le châtiment du Seigneur, et ne perds pas courage lorsqu’il te reprend ;
Car le Seigneur châtie celui qu’il aime, et il frappe de la verge tous ceux
qu’il reconnaît pour ses fils.”
C’est toujours contre le
découragement et le relâchement que l’auteur de l’épître met ses lecteurs en
garde. Il rappelle l’exemple de Jésus, notre exemple et notre modèle, puis il
montre par les écritures (Proverbes 3.11) que les afflictions viennent de Dieu.
Regardons à Jésus et à sa
souffrance, ainsi qu’à la patience avec laquelle il l’a supportée.
Si Jésus n’a pas pu être élevé à la
perfection autrement que par la souffrance, combien moins le
pourrions-nous !
Et si la souffrance a été pour lui
une telle bénédiction, elle le sera pour nous aussi.
Contemplons l’homme de douleur et
nous aurons la consolation de sa sympathie, le courage que nous inspirera sa
victoire, le bonheur de connaître la conformité avec lui dans ses souffrances.
Ne pas savoir discerner la main de
Dieu, ne pas accepter l’épreuve comme étant véritablement la discipline de
Dieu, c’est nous priver de l’enseignement et de la bénédiction qu’elle était
destinée nous apporter.
Ne perdons pas courage, ne soyons
pas abattus comme si le châtiment était trop lourd ou trop sévère pour que nous
soyons capables de le supporter.
Par-dessus toutes choses, prenons
garde d’abandonner notre assurance, de devenir impatients, de perdre courage.
Ce sont les épreuves, les soucis, les déceptions, l’anxiété, la persécution ou
l’opprobre qui sont souvent la cause du découragement.
Apprenons le secret de ne jamais
permettre aux souffrances d’être une perte quelconque pour notre âme, mais
faisons de nos souffrances, la source de notre plus grand bien spirituel.
Ce secret, c’est de rattacher ces
souffrances à Dieu et à Jésus.
C’est Dieu qui les envoie.
Il les a envoyées à Jésus et par leur
moyen, il l’a élevé à la perfection.
Il nous les envoie avec le même
amour, et il en fera pour nous le plus puissant enrichissement.
Accueillons donc les bras ouverts
toutes nos difficultés, tous nos désappointements, toutes nos souffrances,
toutes nos tentations, tous nos dépouillements, comme autant d’occasions de
mourir à nous-mêmes et d’entrer dans une communion plus parfaite avec notre
sauveur qui lui aussi a renoncé à lui-même dans la souffrance.
Toute souffrance a un but
pédagogique ; elle est une discipline.
Et la discipline est une
manifestation de l’amour de Dieu.
Quelle que soit l’épreuve grande ou
petite qui nous atteint, reconnaissons-y, la main paternelle de Dieu qui la
transformera en bénédiction.
Chapitre
12.7-10 “ Supportez le châtiment: c’est comme
des fils que Dieu vous traite; car quel est le fils qu’un père ne châtie pas ?
Mais si vous êtes exempts du châtiment auquel tous ont part, vous êtes donc des
enfants illégitimes, et non des fils. D’ailleurs, puisque nos pères selon la
chair nous ont châtiés, et que nous les avons respectés, ne devons-nous pas à
bien plus forte raison nous soumettre au Père des esprits, pour avoir la vie ?
Nos pères nous châtiaient pour peu de jours, comme ils le trouvaient bon; mais
Dieu nous châtie pour notre bien, afin que nous participions à sa sainteté.”
Si l’Évangile peut vraiment nous
rendre capables de nous réjouir dans l’épreuve, de traversé la fournaise sans
être brûlés, il est ce dont l’homme a besoin dans ce monde de souffrance.
Dieu veut que chaque chrétien
possède le secret de transformer les obstacles en secours et les ennemis en
serviteurs.
En Jésus, Dieu nous a montré le
rapport étroit entre la souffrance et son amour, entre la souffrance et la
victoire sur le péché, entre la souffrance et la perfection, entre la
souffrance et la gloire.
Plus encore, il nous donne en même
temps quelqu’un qui peut sympathiser avec ceux qui souffrent et qui peut leur
apprendre à souffrir. Quelqu’un qui, après avoir triomphé du péché par la
souffrance, peut nous communiquer sa propre vie et sa propre force.
Dieu vient donc à nous, comme notre
père, éclairant nos afflictions d’une clarté céleste, afin de nous enseigner
les leçons qu’il a préparées, pour chacun de nous, dans la part de souffrance
que nous avons à endurer.
Le châtiment fait partie de
l’éducation paternelle ; il est une preuve d’authenticité des relations
filiales.
De même, la soumission au châtiment
contribue à former aussi bien qu’à prouver le véritable esprit filial et à nous
rende participants de la sainteté.
La souffrance est une messagère de
Dieu chargée de nous façonner et de nous mettre en harmonie avec le lieu très
saint et de nous unir intimement à Dieu qui y réside.
Pour la chair qui juge d’après les
sens et le moment présent, le châtiment est souvent terrible et pénible, mais
la foi, qui vit dans l’avenir et l’invisible, se réjouit dans l’assurance de la
délivrance et de la bénédiction céleste qui est le fruit du châtiment.
Fortifiés donc vos mains épuisées
qui se relâchent et vos genoux chancelants car il vous faut courir. Prenez
courage, devinez vos reins pour la course, sinon le prix va vous échapper.
Rassemblez toutes vos forces et
allez de l’avant les yeux fixés sur Jésus.
Voyez quelle erreur vous avez
commise en pensant que vos épreuves étaient une excuse pour céder au
découragement.
Acceptez le message de Dieu, à
savoir qu’elles sont la preuve même de son amour, le moyen par excellence dont
il se sert pour vous communiquer sa grâce ; le sceau apposé sur son propre
fils. Acceptez les épreuves comme inhérentes à votre maturité et à votre
perfection.
Si les hébreux persistaient dans
leur état de découragement, ce qui était boiteux irait de mal en pis et se
remettrait même complétement.
En fortifiant leurs mains et leurs
genoux, ils allaient se redresser vaillamment pour entrer dans le droit chemin.
La foi donne du courage, une force nouvelle et une santé parfaite.
Andrew Murray
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