2 ROIS 6.15‑17
Si quelqu'un cherchait à savoir si vous êtes conscient de la présence de Dieu, vous lui répondriez que oui, car vous fréquentez l’église, lisez la Bible et priez régulièrement.
Cependant, s’il vous demandait si vous êtes conscient de la présence et
de l’intervention de Dieu dans votre quotidien, que lui diriez‑vous?
Voilà que la question devient plus personnelle.
Dans mon quotidien, ici, toujours?
Nous aimerions être sans cesse conscients de la présence divine, mais ce n’est habituellement pas le cas.
Quand nous sommes tout à coup mis à rude épreuve, nous nous sentons souvent perdus et nous nous demandons pourquoi le Seigneur nous a abandonnés.
Dans ces conditions, il est possible que nous priions encore plus et plus longtemps.
Nous implorons l’aide du Tout‑Puissant, mais sans résultats.
Nous nous écrions : « Aide‑moi! », « Donne‑moi ta force! » ou « Je crois tes promesses! » Or, toutes ces invocations ont un facteur commun : moi.
Même en priant, il arrive que nous ne soyons conscients que de nous‑mêmes et que nous laissions le Seigneur à l’écart de toute la situation.
Nous découvrons alors que nous ne parlons pas au Père, mais à nous. Peut‑être nous concentrons‑nous sur le problème et souhaitons‑nous être en mesure de le régler.
Nous pouvons devenir complètement aveuglés et ne pas discerner l’intervention de Dieu.
Nous voyons en 2 Rois 6.15‑17 une belle image de ce qui peut se passer quand nous enlevons nos œillères pour considérer l’œuvre de Dieu.
Ouvrez les yeux. Comme le serviteur d’Élisée, vous serez étonné de découvrir ce que Dieu a déjà fait pour vous.
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Voilà que la question devient plus personnelle.
Dans mon quotidien, ici, toujours?
Nous aimerions être sans cesse conscients de la présence divine, mais ce n’est habituellement pas le cas.
Quand nous sommes tout à coup mis à rude épreuve, nous nous sentons souvent perdus et nous nous demandons pourquoi le Seigneur nous a abandonnés.
Dans ces conditions, il est possible que nous priions encore plus et plus longtemps.
Nous implorons l’aide du Tout‑Puissant, mais sans résultats.
Nous nous écrions : « Aide‑moi! », « Donne‑moi ta force! » ou « Je crois tes promesses! » Or, toutes ces invocations ont un facteur commun : moi.
Même en priant, il arrive que nous ne soyons conscients que de nous‑mêmes et que nous laissions le Seigneur à l’écart de toute la situation.
Nous découvrons alors que nous ne parlons pas au Père, mais à nous. Peut‑être nous concentrons‑nous sur le problème et souhaitons‑nous être en mesure de le régler.
Nous pouvons devenir complètement aveuglés et ne pas discerner l’intervention de Dieu.
Nous voyons en 2 Rois 6.15‑17 une belle image de ce qui peut se passer quand nous enlevons nos œillères pour considérer l’œuvre de Dieu.
Ouvrez les yeux. Comme le serviteur d’Élisée, vous serez étonné de découvrir ce que Dieu a déjà fait pour vous.
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