"Le contentement vient quand la volonté de Dieu est plus importante que nos désirs."
Auteur inconnu
"L’épreuve est le pinceau dont Dieu se sert pour tracer l’image de Christ plus distinctement en nous. Il est bon qu’il y ait une cohérence entre la tête et les membres ; afin d’être membre du corps de Christ, nous devons être semblable à lui, ‘homme de douleur, habitué à la souffrance’. Par conséquent, il est bon d’être rendu semblable à Christ, bien que cela se produise dans la souffrance." Thomas Watson
"Dans tout bateau, il y a un point imaginaire qu’on appelle le centre de gravité. Il reste stable quels que soient les mouvements du bateau, qu’il y ait du tangage ou du roulis. Pour réduire les risques d’attraper le mal de mer, on a intérêt à s’approcher le plus possible de ce point, qui suit le bateau dans sa course tout en restant immobile par rapport au bateau lui-même. Il en est de même dans le domaine spirituel. Si tu veux échapper à l’agitation qui trouble ton âme et la rend malade, cherche le centre, là où tu trouveras le repos de Dieu ! Ce centre, tu le trouves en toi-même, dans la communion avec Jésus-Christ. De même que le navire roule et tangue sous l’effet des vagues, nous aussi, nous sommes soumis au roulis et au tangage de la vie et de toutes les circonstances par lesquelles nous passons. Mais le centre de gravité repose tranquillement, même si le bateau est secoué par les vagues.
Quel
magnifique centre ! On y trouve la sagesse et la force de Dieu. Heureux
celui qui accède au repos de cette loi de gravitation, celui qui a
toutes ses sources en Dieu ! Tout le reste lui sera donné par-dessus. Notre centre de gravité doit être au même endroit que celui de Christ.
Nous connaissons alors le repos dans sa pleine mesure. Où se trouve ton
centre de gravité ?
Si tu veux échapper à l’agitation qui trouble ton âme et la rend malade, cherche le centre, là où tu trouveras le repos de Dieu !
Extrait de l'article «Le centre de gravité spirituel» qui fut publié dans l’édition de «Trésors cachés», en janvier 1924
"La foi n'est pas seulement une adhésion intellectuelle. Elle est l'abandon de celui qui se sait perdu et qui fait entière confiance à son Sauveur. La foi ne brille jamais d'un éclat aussi vif que lorsque tout est ténèbres autour d'elle. Quand l'horizon est chargé des nuages de l'épreuve, la foi porte ses regards plus loin, là où rayonnent sans ombre la grâce et la fidélité divine. La foi n'est pas une compensation, c'est une plénitude. La foi est un oiseau qui sent la lumière et qui chante quand le jour n'est pas encore levé." Inconnu
"Qui d’entre nous n’a pas pensé de cette manière à un moment donné? Quand nous nous sentons dépassés par nos circonstances ou que la pression du quotidien nous semble insupportable, nous souhaitons fuir.
Que le stress soit causé par notre emploi, une relation ou une autre situation difficile à gérer, nous voulons en être soulagés. C’est alors que nous décidons de partir.
D'aller ailleurs ; n’importe où, sauf ici.
Si tu veux échapper à l’agitation qui trouble ton âme et la rend malade, cherche le centre, là où tu trouveras le repos de Dieu !
Extrait de l'article «Le centre de gravité spirituel» qui fut publié dans l’édition de «Trésors cachés», en janvier 1924
"La foi n'est pas seulement une adhésion intellectuelle. Elle est l'abandon de celui qui se sait perdu et qui fait entière confiance à son Sauveur. La foi ne brille jamais d'un éclat aussi vif que lorsque tout est ténèbres autour d'elle. Quand l'horizon est chargé des nuages de l'épreuve, la foi porte ses regards plus loin, là où rayonnent sans ombre la grâce et la fidélité divine. La foi n'est pas une compensation, c'est une plénitude. La foi est un oiseau qui sent la lumière et qui chante quand le jour n'est pas encore levé." Inconnu
"Qui d’entre nous n’a pas pensé de cette manière à un moment donné? Quand nous nous sentons dépassés par nos circonstances ou que la pression du quotidien nous semble insupportable, nous souhaitons fuir.
Que le stress soit causé par notre emploi, une relation ou une autre situation difficile à gérer, nous voulons en être soulagés. C’est alors que nous décidons de partir.
D'aller ailleurs ; n’importe où, sauf ici.
Notre Père désire cependant nous enseigner une grande vérité. Si l’on
veut bien affronter les situations stressantes, il faut cesser de les
combattre et être en paix.
Pour le psalmiste, cela signifiait s’arrêter et savoir que Dieu est Dieu (Psaumes 46.11).
Quand nous lui remettons nos problèmes, Jésus nous promet de nous accorder sa paix (Matthieu 11.28‑30; Jean 16.33).
Par conséquent, si notre nature cherche à éviter la pression, Dieu nous appelle à nous approcher de lui. C’est en absorbant les vérités de la Parole que nous trouvons la quiétude.
Surtout, le Seigneur veut que nous le connaissions. Si nous croyons qu’il est souverain (1 Chroniques 29.11), que ses projets sont bons (Jérémie 29.11) et qu’il nous aime immensément (Éphésiens 3.17‑19), nous lui ferons de plus en plus confiance. Nous découvrirons qu’il est alors plus facile de s’arrêter et de savoir qu’il est Dieu.
Notre stress n’a pas à se transformer en détresse. Mieux nous connaîtrons notre Père, plus nous garderons notre calme et serons confiants en toute situation (Philémon 4.7; Jérémie 17.7). Voilà l’apanage des enfants de Dieu."
Magazine en Contact
Pour le psalmiste, cela signifiait s’arrêter et savoir que Dieu est Dieu (Psaumes 46.11).
Quand nous lui remettons nos problèmes, Jésus nous promet de nous accorder sa paix (Matthieu 11.28‑30; Jean 16.33).
Par conséquent, si notre nature cherche à éviter la pression, Dieu nous appelle à nous approcher de lui. C’est en absorbant les vérités de la Parole que nous trouvons la quiétude.
Surtout, le Seigneur veut que nous le connaissions. Si nous croyons qu’il est souverain (1 Chroniques 29.11), que ses projets sont bons (Jérémie 29.11) et qu’il nous aime immensément (Éphésiens 3.17‑19), nous lui ferons de plus en plus confiance. Nous découvrirons qu’il est alors plus facile de s’arrêter et de savoir qu’il est Dieu.
Notre stress n’a pas à se transformer en détresse. Mieux nous connaîtrons notre Père, plus nous garderons notre calme et serons confiants en toute situation (Philémon 4.7; Jérémie 17.7). Voilà l’apanage des enfants de Dieu."
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