PHILIPPIENS 4.11-13
Dieu nous a procuré beaucoup de choses dont jouir (1 Tite 6.17), mais nous sommes souvent agités plutôt que satisfaits.
Voici quatre habitudes qui créent l’insatisfaction.
1. L’affairement.
Nous vivons dans une société fébrile, où nous nous précipitons d’une activité à l’autre. Jésus ne s’est jamais hâté; pourtant, il a accompli tout ce que Dieu lui avait donné à faire. Il a loué Marie de s’être arrêtée pour passer du temps avec lui (Luc 10.39, 42).
2. Une perspective terrestre.
Nous nous concentrons trop souvent sur nos circonstances.
Notre esprit est rempli d’événements passés et futurs.
Pas étonnant que le contentement nous échappe.
La solution : entretenir une perspective éternelle, selon laquelle Dieu est aux commandes et nous vivons pour lui plaire.
3. Des pressions que l’on s’impose.
Nous avons tous connu les pressions inévitables de l’école, du travail et des relations.
Nous nous infligeons toutefois un stress inutile quand nous en rajoutons.
Le remède consiste à nous tourner vers Dieu, à reconnaître ses droits sur nous et à lui demander de nous révéler sa volonté.
4. Des attitudes malsaines.
Le perfectionnisme, la fausse culpabilité et l’apathie peuvent tous nous empêcher de jouir de la vie.
Nous trouverons la satisfaction en respectant les priorités divines; d’ailleurs, le temps passé avec Dieu doit venir en premier.
En lisant sa Parole, nous devenons conscients de son grand amour, apprenons ce qui lui importe et goûtons la joie de lui appartenir.
Quand le contentement nous échappe, examinons nos priorités.
Magazine en Contact
Nous vivons dans une société fébrile, où nous nous précipitons d’une activité à l’autre. Jésus ne s’est jamais hâté; pourtant, il a accompli tout ce que Dieu lui avait donné à faire. Il a loué Marie de s’être arrêtée pour passer du temps avec lui (Luc 10.39, 42).
2. Une perspective terrestre.
Nous nous concentrons trop souvent sur nos circonstances.
Notre esprit est rempli d’événements passés et futurs.
Pas étonnant que le contentement nous échappe.
La solution : entretenir une perspective éternelle, selon laquelle Dieu est aux commandes et nous vivons pour lui plaire.
3. Des pressions que l’on s’impose.
Nous avons tous connu les pressions inévitables de l’école, du travail et des relations.
Nous nous infligeons toutefois un stress inutile quand nous en rajoutons.
Le remède consiste à nous tourner vers Dieu, à reconnaître ses droits sur nous et à lui demander de nous révéler sa volonté.
4. Des attitudes malsaines.
Le perfectionnisme, la fausse culpabilité et l’apathie peuvent tous nous empêcher de jouir de la vie.
Nous trouverons la satisfaction en respectant les priorités divines; d’ailleurs, le temps passé avec Dieu doit venir en premier.
En lisant sa Parole, nous devenons conscients de son grand amour, apprenons ce qui lui importe et goûtons la joie de lui appartenir.
Quand le contentement nous échappe, examinons nos priorités.
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