Romains 8.2-4
Quand, pour la dernière fois,
avez-vous entendu une prédication sur l’obéissance? Ce sujet n’attire
généralement pas les foules, puisqu'il donne l’impression aux gens de
devoir obéir à des ordres et de se soumettre à des commandements. Jésus ne nous a-t-il pas libérés de tout cela? En fait, non.
Comme Romains 8.2-4 le dit, le Seigneur est venu sur terre « afin que
la justice de la loi soit accomplie en nous ». Autrement dit, il nous a
libérés de la désobéissance. La liberté chrétienne nous affranchit, de
sorte que nous pouvons obéir aux commandements de notre Père.
Oswald Chambers dit que : «La liberté véritable, c’est la capacité
acquise par la répétition de faire la bonne chose.» Or, faire la bonne
chose, c’est obéir. Hébreux 5.8 affirme : « [Jésus] a appris, bien qu’il soit Fils, l’obéissance par les choses qu’il a souffertes. » Nous devons nous inscrire à la même école de pensée et de pratique que lui.
Au départ, les leçons semblent faciles; nous n’avons qu’à suivre les
directives de nos enseignants. À la longue, nous apprenons à discerner
par nous-mêmes la voix du Berger qui nous dit que nous devons vivre de
toute parole qui sort de la bouche de Dieu (Matthieu 4.4). Nous étudions
la Bible à la lumière divine et découvrons, à notre surprise, que
certains passages s’appliquent à nous. Nous sommes perplexes, ayant
toujours pensé que ces versets étaient écrits pour Israël ou l’Église,
ou qu’ils décrivaient la fin des temps. Nous résistons, mais l’Esprit fait pression jusqu'à ce que nous abdiquions. Le Seigneur est patient, il nous enseigne lentement, mais sûrement, à lui obéir.
Luc 11.37-52
Il faut suivre plusieurs cours et subir de
nombreux examens à l’école de l’obéissance. Au fil des leçons, il nous
arrive souvent de passer de l’obéissance craintive ou feinte à la
soumission volontaire.
Les
Israélites ont entendu le grondement du tonnerre dans « la salle de
classe » du Sinaï, mais leur obéissance à l’Écriture a été constamment
entachée de rébellion. Des siècles plus tard, Dieu a proposé un nouveau
cours aux hommes. Quand la Parole est devenue chair et a habité parmi
nous, les gens ont commencé à comprendre qu’il était possible d’obéir du
fond du cœur (Jean 1.14; Romains 6.17).
Jésus avait beaucoup à
dire sur le sujet et ses mots étaient revêtus de puissance puisqu'ils
émanaient d’une vie sans péché et entièrement soumise à Dieu. Son
témoignage? Il était descendu du ciel pour faire la volonté de son Père
(Jean 6.38). Sachant à quel point l’abandon de soi est agréable à Dieu,
Jésus nous a exhortés à lui ressembler : « Ceux qui me disent :
Seigneur, Seigneur! n’entreront pas tous dans le royaume des cieux, mais
seulement celui qui fait la volonté de mon Père qui est dans les cieux »
(Matthieu 7.21).
Jésus a également repris vertement les docteurs
de la Loi qui refusaient de lui obéir. Il les a accusés de déposer de
lourds fardeaux sur les épaules des hommes, sans toutefois les aider à
les porter. Ils enseignaient quoi faire, sans s’y conformer. Jésus a dit
de l’obéissance qu’elle était « la clé de la science » (Luc 11.52).
L’obéissance ouvrira les yeux de notre entendement, de sorte que nous pourrons voir des choses que nous n’avions pas comprises. Magazine en Contact
1 Corinthiens 9.24-27
La vie chrétienne se
compare à une course dont l’itinéraire est prédéterminé et dont nous
franchirons la ligne d’arrivée dans l’éternité. Chaque croyant emprunte
un parcours personnalisé par Dieu. Notre but : garder le cap et courir
avec persévérance. Or, on ne peut discerner ce sentier et y persévérer
qu’en se concentrant sur Jésus. Puisqu'il a couru à la perfection et
remporté le prix, il peut nous montrer la voie à suivre.
Comme pour toute course de fond, la nôtre est jonchée d’obstacles qui
menacent de nous faire tomber ou dévier. Si les tentations nous attirent
vers ce que nous imaginons être des prés verts, l’affairement peut nous
épuiser tandis que nous dévalons des pistes qui ne mènent nulle part.
Les inquiétudes et la crainte peuvent nous obnubiler et les émotions,
nous faire dériver loin de la volonté de Dieu.
Bien que les
péchés représentent notre menace la plus évidente, il existe de
multiples écueils et détours plus subtils. Tout ce qui devient plus
important que notre relation avec le Seigneur peut nous détourner du bon
sentier. Puisque nous devons nous acquitter des tâches quotidiennes, il
est possible de laisser notre famille, notre emploi et nos plaisirs
nous distraire de la poursuite entière de Christ. Même les bénédictions
peuvent se transformer en obstacles quand nous les recherchons plus que
le Seigneur.
Rappelons-nous que nous devons fixer les yeux sur
Jésus plutôt que sur le sentier, et que nous n’avons pas à nous y
retrouver seuls. Il est non seulement notre guide, mais aussi notre
destination. Il nous accueillera à bras ouverts lorsque notre course
sera terminée et que nous franchirons la ligne d’arrivée.
Magazine en Contact
"Ce qui est remarquable c'est que, chaque jour, nous pouvons choisir l'attitude que nous aurons pendant cette journée. Nous ne pouvons pas changer notre passé. Nous ne pouvons pas changer les actes d'autrui. Nous ne pouvons pas changer l'inévitable.
La seule chose que nous pouvons modifier, c’est notre attitude face à
la vie et à ces événements. Je suis convaincu que ma vie est faite à 10%
de ce qui m'arrive et à 90% de ma réaction face à ce qui m'arrive. Et
il en va de même pour vous. Nous sommes responsables de nos attitudes." Charles R. Swindoll
"J’ai la conviction inébranlable que quand l’Écriture parle, c’est Dieu
qui parle. Il n’y a pas de bornes à la confiance et à la soumission que
nous devons aux Écritures… Si bien que quand le jour sera venu où
j’entrerai dans le monde invisible, je ne m’attends pas à y trouver les
choses autrement que la parole de Dieu ne me les a présentées." Adolphe Monod
"Peu à peu, nous nous apercevons que Dieu nous a conduits autant par nos
échecs que par nos succès, autant par nos épreuves que par nos chances,
en nous fermant des portes tout autant qu’en en ouvrant d’autres devant
nous." Paul Tournier
"Une grande foi est capable de voir le soleil à minuit, de moissonner en
plein hiver et de découvrir des rivières sur les sommets." Charles Spurgeon
"Ce n'est pas parce que ton cœur s'ouvre que le ciel s'ouvre....mais
c'est parce que le ciel est ouvert que ton cœur peut enfin
recevoir.....s'il s'y dispose. Comprenons que labourer la terre ne
provoque pas la pluie mais il est préférable que la terre soit labourée
quand la pluie tombe afin qu'elle pénètre les profondeurs du sol et
fasse son œuvre. Prière: Seigneur, sur la croix tu as ouvert le
ciel et nos cœurs sont disposés à recevoir tes grâces alors envoie la
pluie de la première et de l'arrière saison." Xavier LAVIE
"L'Écriture ne peut être lu intelligemment que par des hommes et des
femmes inspirés. La valeur que nous recevons de notre lecture est en
proportion directe de la mesure dans laquelle nous sommes remplis de
l'Esprit de Dieu." G. Campbell Morgan
"Le réveil ne peut pas être organisé, mais nous pouvons tendre nos
voiles pour attraper le vent du ciel quand Dieu choisira de souffler sur
son peuple une fois de plus." G. Campbell Morgan
Peu importe la montagne qui est devant toi. N'oublie jamais que le
découragement est ton ennemie, que le courage est ton allié et que Dieu
marche à tes cotés.
"L'émerveillement de l'homme grandit avec sa connaissance." Charles H. Spurgeon
"Les saints doivent persévérer dans la sainteté, parce que Dieu persévère dans la grâce." Charles H. Spurgeon
"Rien ne tend plus à cimenter le cœur des chrétiens que lorsqu'ils prient ensemble. Jamais ils ne s'aiment aussi bien que lorsqu'ils sont témoins de l'effusion de cœur des uns et des autres dans la prière." Charles Grandison Finney
"Pouvons-nous penser à la liberté, non pas comme le droit de faire ce
qui nous plaît, mais comme l'occasion de faire ce qui est juste." Peter Marshall
"La première étape vers la connaissance est de savoir que nous sommes ignorants." Richard Cecil
"La plupart d'entre nous savent parfaitement ce que nous devons faire; notre problème est que nous ne voulons pas le faire." Peter Marshall
"L'heure qui précède l'aurore est la plus sombre de la nuit". Pascal
Proverbes 23.7"Car il est comme les pensées de son âme."
Ce verset du livre des Proverbes est très significatif pour ceux et
celles qui luttent dans le domaine des pensées. Il nous permet de
réaliser et de comprendre que telles sont nos pensées, tels seront nos
actes et finalement tel nous sommes.
Aussi, j'aimerais partager avec vous au sujet de la syllogomanie spirituelle.
Savez-vous ce qu'est la syllogomanie...et surtout la syllogomanie spirituelle....?
Peut-être êtes-vous concerné ou atteint par ce trouble de l'âme...?
La syllogomanie, ou accumulation compulsive est le fait d'accumuler de
manière excessive des objets (sans les utiliser), indépendamment de leur
utilité et de leur valeur, parfois sans tenir compte de leur
dangerosité ou de leur insalubrité.
Les personnes atteintes accumulent parfois des objets et des détritus
dans toutes les pièces de leur logement, au point de ne plus pouvoir y
accéder, ou au point d'attirer toutes sortes de vermines et de bactéries
menaçant leur santé physique.
La syllogomanie est identifiée chez 2 à 6 % de la population adulte.
En France, on estime qu’environ deux millions de personnes souffrent de
troubles d’accumulation compulsive. Ces syllogomanes entassent des
objets, parfois par milliers, dans leur appartement ou leur maison. Ils
ne s’y retrouvent plus dans ce désordre, cet amoncellement, et risquent
littéralement d’étouffer.
La syllogomanie commence très simplement...on se dit pourquoi jeter cet
objet, il pourrait me resservir plus tard. Je vais le conserver.....et
des années plus tard....après des milliers et des milliers de
questionnements et de choix de ce type, vous vous retrouvez dans un état
de saturation inimaginable qui vous met en danger ainsi que ceux qui
vivent à vos côtés.
C'est à la fois fascinant et très peinant de voir les proportions que
prend parfois ce trouble psychologique pour les personnes atteintes mais
aussi pour leur famille et leurs amis.
Les syllogomanes sont incapables de se débarrasser d’objets la plupart
du temps inutiles, sans valeur. Des animaux peuvent eux aussi devenir
l’objet de cette possession maladive (on parle alors de syndrome de Noé:
une femme vivant au milieu de 200 cochons...).
Un trouble du comportement qui conduit fréquemment à la séparation d’avec le conjoint, à une perte d’emploi, voir au suicide!
La syllogomanie est défini par:
•une
accumulation volontaire ou une incapacité à jeter un grand nombre de
possessions qui semblent à toute autre personne inutiles ou d’un intérêt
très limité
•un lieu de vie encombré au point de limiter les mouvements
•un inconfort et des souffrances causés par l’amoncellement des objets
•La
syllogomanie, dans ses pires formes, peut être à l'origine d'incendies,
de conditions insalubres (infestations de rats et d’insectes), de
blessures causées par le désordre et d’autres dangers pour la santé et
la sécurité des individus vivant dans ces conditions. Elle a un impact
sur les relations avec autrui, en particulier avec la famille proche.
Le syllogomane peut soit croire à tort que les biens accumulés ont une
grande valeur, soit attacher une forte valeur sentimentale aux objets
dont il reconnaît le peu de valeur aux yeux des autres. Toutefois, comme
il existe aussi un marché de l'occasion à cours élevé pour beaucoup de
ces objets, on peut voir dans le syllogomane une version particulière du
collectionneur.
Et vous, ressemblez-vous à un collectionneur...?
Quelle est donc votre collection...?
Lors des nombreux entretiens pastoraux que j'ai effectués, j'ai pu
constater que beaucoup de personnes sont atteintes de cas de
syllogomanie en version spirituelle.
Dans ces cas, le phénomène d'accumulation n'est pas matériel mais spirituel.
En effet, combien de personnes conservent des pensées inutiles qui
s'entassent dans leur âme et dans leur mémoire parce qu'elles ont
décidé non seulement de les y déposer mais aussi de les conserver...?
Inquiétudes, peurs, angoisses, amertume, rancune, colère, illusions,
mensonges... la liste est longue! Surtout si on y ajoute nos mauvais
souvenirs ou d'anciennes habitudes pécheresses qui reviennent nous
hanter et accaparer nos pensées.
Dans quel état est notre âme...?
Ressemble-t-elle à la maison de cette famille...?
C'est une réalité que beaucoup travaillent à la conservation et vivent
attachés compulsivement à leurs souvenirs étant plus en relation avec le
passé qu'en phase avec leur présent ou plein d'espoir quant à leur
avenir.
Dans toutes ces pensées accumulées, combien de pensées
accusatrices, combien d'actes manqués, de choses cassées pour lesquelles
on se dit qu'un jour, on pourra peut-être parvenir à les réparer?
Toutes ces accumulations, non seulement encombrent l'âme, mais elles
favorisent aussi le développement de toutes sortes de vermines,
répandent la contamination, déclenchent des risques allergiques et
infectent toutes les personnes qui viennent au contact.
Lors d'un entretien, une personne me faisait l'inventaire de toutes les
poubelles de souvenirs qui se trouvaient dans ses pensées. Cette
personne me dressait une liste précise et sans fin des souvenirs de son
passé comme s'ils se trouvaient encore devant ses yeux.
Je visualisais dans mon bureau un grand étalage d'immondices résultant
d'une vie entière qui n'avait jamais fait le tri et avait tout gardé
comme un trésor de guerre.
Que diriez-vous d'une personne qui jamais ne jette ses poubelles mais conserve chaque déchet dans sa maison...?
Mais pasteur, vous savez que je n'ai pas tout gardé...! J'ai juste un
sac poubelle de 1968 (mes années folles), un autre qui date de 1982
(date de mon divorce), un autre de 1995 (trahison de mon meilleur ami)
et le dernier de 2013 dans lequel j'ai encore le souvenir tout frais de
ma chute spirituelle....!
Sans doute, certains pourraient me dire: "Mais je n'en suis rendu pas à ce point..!"
Mais n'y a-t-il pas quelques sacs poubelles déposés par-ci
par-là....quelques amertumes, quelques manques de pardon, quelques
mensonges ou pratiques honteuses...?
L'apôtre Jacques écrivait dans son épître à Jacques 1.21"C’est
pourquoi, rejetant toute souillure et tout excès de malice, recevez
avec douceur la parole qui a été plantée en vous, et qui peut sauver vos
âmes."
La vie spirituelle nous commande de faire du tri dans nos vies.
Ezéchiel 20.7 "Rejetez chacun les abominations qui attirent
vos regards, et ne vous souillez pas par les idoles de l’Egypte ! Je
suis l’Eternel, votre Dieu."
Avec Christ nous recevons le pardon qui évite la pratique de la longue
conservation des pensées résultantes des blessures ou des offenses, nous
reconnaissons ce qui est bien et ce qui est mal et selon les critères
énoncés dans la Bible, nous ne conservons que les choses utiles et
édifiantes et nous repoussons et rejetons tout ce qui souille et empêche
le bon développement de la Parole qui a été plantée en nous...et nuit à
notre équilibre dans la foi...!
En effet, comment le Saint Esprit peut-il cohabiter avec toutes ces pensées inutiles et parfois même coupables?
Comment peut-on s'épanouir en Christ et entendre sa voix dans un tel chaos de pensées?
Ne serait-il pas le temps de faire un grand ménage et de faire le tri dans nos âmes?
Ne serait-il pas temps d'assainir notre être intérieur afin que le
Seigneur y règne en maître et puisse y déposer toutes "ses affaires"?
Philippiens 4.8"Que tout ce qui est vrai, tout ce qui est
honorable, tout ce qui est juste, tout ce qui est pur, tout ce qui est
aimable, tout ce qui mérite l’approbation, ce qui est vertueux et digne
de louange, soit l’objet de vos pensées."
Voilà la liste de ce qui peut et doit être conservé dans votre vie...!
Tout le reste, défaites-vous en avec l'aide du Seigneur dans la prière
de repentance qui est comme l'appel que nous passons au service des
encombrants de la mairie de notre ville.
Votre pasteur, vos frères et sœurs sont là aussi pour vous aider à vider votre cœur et vivre le véritable soulagement.
Ressentez-vous le poids pesant des accumulations de votre vie...?
Aspirez-vous à retrouver une vie simple, saine et accueillante...?
Alors il va falloir faire du ménage...!
Ne pensez pas que vous pourrez vivre la vie chrétienne avec un cœur encombré...!
Il y a des choses que nous pouvons faire dès maintenant pour non
seulement préserver notre santé physique et spirituelle, mais aussi pour
trouver "la simplicité" et "le contentement" qui nous aideront à vivre
une vie plus "équilibrée" et pleine de sens.
Matthieu 11.28 "Venez à moi, vous tous qui êtes accablés sous le poids d’un lourd fardeau, et je vous donnerai du repos."
Ce n'est plus le moment de faire des collections, de stocker et de
s'encombrer la vie mais plutôt de lâcher du lest et de déposer nos
fardeaux,...., même ceux auxquels nous tenons fortement.
Nous devons bien gérer nos pensées afin qu’elles ne dominent pas sur
nous et nous poussent à agir émotionnellement par toutes sortes de
débordements charnels....!
Dans la vie tout nous influence, et les influences peuvent-être parfois plaisantes, neutres ou même déplaisantes.
La première chose à faire si nous désirons simplifier et assainir notre
vie, c’est déjà de se débarrasser de tout ce qui est superflu.
Pour faire cela, il suffit de se demander :
Cette activité ou possession m’offre-t-elle la joie et la paix ?
Réduit-elle la complexité de ma vie?
Sinon, il faut trouver le moyen de minimiser ces effets ou mieux encore de s’en débarrasser.
La vie spirituelle demande la pratique du tri sélectif et dans cet
exercice il est important d'avoir une conscience bien renouvelée et donc
capable de choisir le bien et de rejeter le mal.
Il faut aussi se pencher sur nos relations....le tri doit parfois aller jusque-là..!
Les relations que nous entretenons viennent-elles soutenir le style de vie que nous préconisons?
Mes relations mettent-elles en danger ma vie avec Dieu...?
1 Corinthiens 15.33 "Ne vous y trompez pas : les mauvaises compagnies corrompent les bonnes mœurs."
Pour vivre le changement, il ne faut surtout pas nous contenter de
l’état présent et du fait que nous avons toujours vécu de cette façon.
Il n'y a rien de pire que les habitudes quand elles sont mauvaises...!
Rappelez-vous ce que je vous partageais au début de cette rencontre, les
syllogomanes finissent un jour par tout perdre....et certains perdent
même leur vie.
Ils perdent ce qui est véritablement important parce qu'ils ont continué à s'attacher aux choses qui sont sans valeur.
1 Corinthiens 6.12"Tout m’est permis, mais tout n’est pas utile ; tout m’est permis, mais je ne me laisserai asservir par quoi que ce soit."
1 Corinthiens 10.23"Tout est permis, mais tout n’est pas utile ; tout est permis, mais tout n’édifie pas."
En matière de spiritualité, il faut faire la différence entre ce qui est
interdit, déconseillé, inutile et important. Pour avoir confondu les
choses, beaucoup se retrouvent chargés par toutes sortes de mauvaises
influences, pensées ou souvenirs et vivent ainsi entravés dans leur
avancée spirituelle.
Matthieu 23.23 "Malheur à vous, scribes et pharisiens
hypocrites ! Parce que vous payez la dîme de la menthe, de l’aneth et du
cumin, et que vous laissez ce qui est plus important dans la loi, la
justice, la miséricorde et la fidélité : c’est là ce qu’il fallait
pratiquer, sans négliger les autres choses."
Concentrons-nous sur ce qui est important Christ qui est le vrai trésor dans notre vie.
Et réalisons qu'il a le pouvoir et la volonté de nous délivrer de tout ce qui nous tient lié.
Luc 4.18-19 "L’Esprit du Seigneur est sur moi, parce qu’il m’a
oint pour annoncer une bonne nouvelle aux pauvres ; il m’a envoyé pour
guérir ceux qui ont le cœur brisé, pour proclamer aux captifs la
délivrance, et aux aveugles le recouvrement de la vue, pour renvoyer
libres les opprimés, pour publier une année de grâce du Seigneur."
Choix numéro 1 :
Le chemin de la liberté Si tu as choisi ce chemin, tu es le genre de
personne qui a besoin d'espace. Tu aimes avoir la possibilité de faire
les choses à ta façon. Tu préfères un chemin que tu défriches toi-même
qu'un chemin tout tracé. Ton chemin idéal : celui qui a de multiples
voies, une infinité de possibilité, comme la mer, car tu n'aimes pas te
sentir enfermé, restreint. Tu es indépendant, un peu rebelle, mais tu
n'aimes pas la confrontation. Tu n'aimes pas être pressé, car tu veux
savourer la vie. Tu es tellement absorbé par elle que tu t'oublies un
peu toi-même.
Choix numéro 2 : Le chemin privé Si tu as
choisi ce chemin, c'est que tu es sûrement le genre de personne qui aime
voyager seule. Tu adores observer, réfléchir et résoudre plein de
petits mystères qui se présentent devant tes yeux. Ton chemin idéal est
assez étroit et et parfait pour une personne. Tu es heureux de retrouver
les autres quand tu arrives à destination, en revanche, car tu n'es pas
non plus un grand solitaire, mais tu aimes profiter de certaines
aventures seules. Tu es original et inspiré, tu regardes le monde comme
personne d'autre, et c'est pour cela que les gens aiment tes conseils.
En plus, tu es très compréhensif !
Choix numéro 3 : Le
chemin coloré Si tu as choisi ce chemin, tu es une personne qui adore se
mêler aux autres, discuter avec tout le monde, engager de grandes
discussions. Tu aimes sentir que tu fais partie du monde et en faire
l'expérience chaque jour en rencontrant des gens, en étant dans des
ambiances bruyantes et animées. Ton chemin idéal est beau, coloré,
excitant. Pour toi, le voyage compte plus que la destination. Tu aimes
la compagnie, et les autres adorent être avec toi, car tu es à la fois
intellectuel et plein d'humour. Avec toi, on ne s'ennuie pas !
Choix numéro 4 :
Le chemin du frisson Si tu as choisi ce chemin, tu es quelqu'un de très
difficile à suivre. Tu ne supportes pas la routine, et dans la vie, tu
vas toujours de l'avant. L'inconnu ne te fait pas peur, bien au
contraire. Tu y vas, et tu verras après pour les conséquences. Ton
chemin idéal est imprévisible, et même parfois un peu flippant. Tu ne
respectes pas toujours les règles, tu es même parfois imprudent. On dit
de toi que tu agis sans réfléchir mais ce n'est pas grave puisque cela
t'a toujours réussi. Tu es spontané, un vrai aventurier, et les gens
apprécient cela.. Ils savent qu'avec toi, l'aventure se profile !
Choix numéro 5 :
Le chemin de la sécurité Si tu as choisi ce chemin, tu es quelqu'un de
calme et de chaleureux qui recherche avant tout la tranquillité. Tu te
contentes de ce que tu as, et tu n'aimes pas être dérangé pour des
choses qui n'ont aucune importance. Ton chemin idéal est clair, dégagé,
et très agréable. Tu aimes profiter du voyage au maximum, donc tu
préfères savoir ce que ton voyage te réserve. Tu choisiras toujours le
chemin le plus facile et sûr si jamais un choix se présente car tu
considères que la vie est déjà suffisamment compliquée pour en rajouter
davantage. Tu es quelqu'un de très stable qui sait motiver les gens qui
t'entourent. Tu es très lucide et terre à terre et les gens adorent se
fier à toi car tu es de bon conseils.
Choix numéro 6 : Le
chemin de la tranquillité Si tu as choisi ce chemin, c'est que tu es un
solitaire, un vrai. Tu considères la solitude comme quelque chose de
très important, de précieux, et tu peux passer de longs moments de ta
vie seul sans te sentir mal. Ton chemin idéal est très calme et
immobile. Tu adores observer tout ce qui se passe autour de toi sans te
sentir dépassé par les événements. C'est pour cela que tu apprécies les
ambiances très posées. Tu cherches un sens profond dans tous les aspects
de la vie et tu es quelqu'un de très intense, tant dans tes pensées que
dans tes actions. Tu n'aimes pas les foules, mais tu apprécies les
gens. En général, tu préfères les voir en tête à tête, pour profiter
d'eux à fond. Dans tes relations, tu es authentique et très profond.
"On dit que les couleurs sont des moyens de distinction dans la vie.
Elles peuvent définir notre origine, notre gout et notre personnalité
aussi en quelque sorte. Elles peuvent aider à identifier un objet à un
autre, elles peuvent définir une idée d’appartenance, elles peuvent
marquer une saison, elles peuvent véhiculer des informations ou des
émotions. Toutefois, certaines couleurs sont plus remarquables que
d’autres, certaines couleurs sont plus appréciées que d’autres et certaines couleurs vous aspirent plus que d’autres.
Mais chaque couleur a besoin de lumière pour dégager tout son éclat et
soutenir le message qu’elle porte. De même pour notre vie… Cette image
résume les couleurs que j’aime le plus dans la vie et d’après mes
petites recherches il fallait mélanger des couleurs pour les obtenir ;
oui des couleurs que je n’aime pas vraiment… Donc, il y a des choses qui
ne sont pas vraiment agréables à nos yeux mais c’est en les rassemblant
que ça donne la couleur qu’on veut obtenir!
Ce sont les échecs,
l’espoir, les profondes déceptions, les joies, les rêves brisées, les
fou-rires, les rudes épreuves… tous ensembles qui feront dégager des
traits de valeurs inestimables en nous. Dieu utilise chaque situation,
aussi absurde soit-elle, pour donner une meilleure version de nous et
faire apparaitre des couleurs qui nous iront tellement bien.
Elle est grise ta peur, il est vert ton espoir, elles sont parfois
noires tes journées, il est jaune ton rire, elle est rouge ton
affection, il est bleu ton rêve, elle est rose ta joie … mais elle est
extraordinaire la couleur que ça donnera quand Le Seigneur se mettrait à
l’œuvre pour les utiliser pour ton bien!!! Dieu est fidèle " Enintsoa
Choisissez l'image que vous préférez et elle indiquera la personne que les autres voient en vous:
Matthieu 26.36-46
Pour connaître
la victoire au sein des conflits et des décisions difficiles,
réfléchissons à ce que Jésus a fait. Avant d’aller à la croix, il a
livré un combat ardent et déterminant dans le jardin de Gethsémané, en
considérant ce qui l’attendait.
Le
poids du péché que le Sauveur devait porter était inégalé. Jésus était
sur le point d’être entièrement séparé de son Dieu sur le plan
spirituel. Il s’est rendu dans un endroit paisible et tranquille, où il
s’est agenouillé seul devant le Père et l’a supplié. Quand il a quitté
le jardin, il était déjà vainqueur. Il boirait la coupe de douleur et de
séparation, mais il savait qu’en définitive, il en triompherait
(Hébreux 12.2).
L’exemple de Jésus nous enseigne que la clé pour
gagner les batailles de la vie réside dans le fait d’aller à Dieu,
d’être seul en sa présence et de se soumettre entièrement à sa volonté.
Les conseils pieux sont importants, mais on ne peut s’en remettre
exclusivement aux autres pour prendre ses décisions. À moins de
passer du temps dans la présence du Seigneur, en combattant par la
prière jusqu'à ce que l’on connaisse sa volonté, on ne sera jamais
assuré de faire la bonne chose.
En acquérant l’habitude de passer
du temps seul avec Dieu, on arrive à discerner sa volonté parfaite
quand on doit prendre des décisions qui peuvent avoir des répercussions
profondes ou à long terme. Dans une entière soumission, nous lui
remettons les conséquences de nos choix. Nos décisions et notre avenir
ne seront jamais aussi sûrs que lorsqu'ils reposeront entre les mains de
notre Dieu omniscient, tout-puissant et aimant. Magazine en Contact
"Si vous avez péché, ne vous couchez pas sans vous repentir, car
l’absence de repentir après que l’on ait péché rend le cœur de plus en
plus dur." John Bunyan
"Le diable a offert à l’homme un fruit, mais lui a pris le paradis. Par
conséquent, lorsque nous sommes tentés, ne considérons pas ce que nous
gagnons en péchant, mais ce que nous allons perdre." Richard Sibbes
"Le manque de foi place des obstacles entre Dieu et nous, tandis que la
foi place Dieu entre nous et les obstacles de notre chemin." anonyme
"Nous ne pouvons pas aider nos semblables à apprendre des leçons que
nous n’avons pas apprises nous-mêmes devant Dieu." Watchman Nee
Il y a longtemps de cela, un réparateur de faïence et de porcelaine
avait placé devant son échoppe une pancarte portant ces mots : "Aucune
porcelaine n'est trop brisée pour être réparée." De nombreux clients venaient lui apporter de la vaisselle et des objets d'art cassés.
Quand ils revenaient les chercher, il leur fallait observer
attentivement pour remarquer les traces de la réparation, tant l'artisan
travaillait soigneusement. Les objets semblaient neufs bien qu'ils ne l'étaient pas !
Le message de l'Évangile affirme que personne, quel que soit son état, n'a une vie trop brisée pour ne pouvoir être restaurée. Personne n'est tombé trop bas pour ne pas être relevé.
Aucune passion n'est trop forte que Dieu ne puisse en libérer sa
victime, qu'il s'agisse de rancœur, de toute forme de drogue, d'alcool,
de liaison coupable, de pornographie, de pratiques occultes ou de toute
autre chaîne. Aucune maladie n'est trop grave pour que le Seigneur ne puisse la guérir. Aucun deuil, aucun chagrin n'est trop profond qu'il ne puisse consoler l'affligé ou redonner du courage au désespéré.
Le Seigneur peut tout restaurer : des vies complètement gâchées, des
couples en ruines, des familles disloquées, des santés compromises, des
cœurs à vif, déchirés, des consciences étouffées de remords, des esprits
abattus. Quelque soient les dommages causés par votre péché ou le
péché d'autrui dans votre vie, votre cœur peut être merveilleusement
cicatrisé par le baume de son amour divin et votre vie être restaurée.
Extrait message Xavier Lavie "Une œuvre de restauration" 21 juin 2015
"Tout l’enseignement du Saint-Esprit reste lié à la parole de Jésus-Christ. C’est pourquoi le Saint-Esprit, en bon soutien de la communauté, exerce
les deux actions ; il conduit l’Église en avant et, en même temps il la
tient fermement attachée à Jésus." Dietrich Bonhoeffer
"Soyez reconnaissant pour la plus petite bénédiction et vous pourrez en
recevoir une plus grande. Valorisez autant les grands que les petits
dons tout comme les grâces simples et les faveurs spéciales. Si vous
vous rappelez la dignité de celui qui vous les a donné, aucun cadeau ne
semblera petit ou insignifiant car rien n'a plus de valeur que ce qui
vient du Dieu très haut." Thomas a Kempis
"Les émotions sont souvent comme un fleuve, parfois comme une rivière et
rarement comme un mince filé d'eau. Qui peut se vanter de pouvoir les
retenir? Comme pour un fleuve, il
est inutile de vouloir contenir nos émotions, il suffit juste de les
maintenir entre les berges. Les deux berges solides du chrétien sont la
sagesse de Dieu découlant de sa Parole agissante par son Esprit Saint et
la grâce divine entre lesquelles nos vies sont invitées à s'écouler. Alors chargées des bénédictions qu'elles retirent sur leur passages,
nos vies deviennent fertiles et dispensatrices des grâces." Xavier LAVIE
" Le prof de philosophie en venant en classe apporta de la mousse a raser,
de la pâte dentifrice et d'autres tubes contenants des gels. Il invita
ses élèves à vider tous les contenus sur leur table. Le prenant
comme un jeu, ils s’exécutèrent tous volontiers. Le professeur leur
demanda ensuite de remettre le tout dans les tubes. Stupeur ! Ils
savaient que c'était impossible de le faire. Le professeur leur rétorqua
alors ceci : "Sur le moment, vous étiez tellement concentré que
vous n'étiez même pas en train de réaliser tout le dégât que vous étiez
en train de faire. Le dégât s'est rapidement répandu et il est
impossible de remettre tout ça à l'intérieur. Souvenez-vous de cela lorsque vous devrez sortir des mots de votre bouche..."Anonyme
"A une époque où l'on ne connaissait pas la radio, un cargo naviguant
vers le Brésil, capta les signaux de détresse d'un navire qui croisait à
quelque distance. Le temps était beau et la mer était calme. De loin le navire en détresse ne présentait rien d'anormal. "Que peuvent-ils bien avoir ?" se demandait le capitaine du cargo tout en se rapprochant. Quand il ne fut plus qu'à quelques mètres, il comprit alors ce message : "De l'eau ! Nos réserves sont épuisées. Nous mourons de soif. - Puisez autour de vous, répondit le capitaine, vous êtes à l'embouchure de l'Amazone."
L'Amazone, s'il est par sa longueur le troisième fleuve du monde, est
le premier par son débit. A la saison des pluies, la masse d'eau qu'il
déverse dans l'Atlantique est si considérable que le cours du fleuve se
prolonge de plusieurs centaines de kilomètres dans l'océan, de telle
sorte qu'un navire qui vogue dans ces parages, se trouve sur une masse
d'eau douce bien avant d'apercevoir la terre. C'était le cas du
navire en détresse ; ses passagers et son équipage mouraient de soif,
alors qu'à portée de leurs mains, ils avaient des réserves d'eau potable
suffisantes pour abreuver des millions de personnes. Il y a ainsi à travers le monde des multitudes de gens dont la vie languit et dont l'âme se dessèche. Ils ont soif. Soif de justice, soif de vérité, soif de liberté, soif d'affection, soif de vie vraie. Ils ont tout essayé, du moins ils le pensent, mais rien, ni personne n'a pu étancher leur soif. Pourtant là, tout près, à portée de main, se trouve un océan immense
aux trésors infinis, capable de combler tous les hommes de toutes les
générations que la terre a portées et de toutes celles qu'elle portera
encore. Cette immensité, c'est l'héritage de Dieu qui est échu maintenant à ses héritiers.
"L'histoire nous relate que lorsque Christophe Colomb découvrit le Nouveau Monde, il ne le connut qu'en infime partie. Son immensité, ses richesses extraordinaires, les chutes du Niagara,
les rives de l'Amazone et pratiquement tout ce monde ne lui révélèrent
aucun de leurs secrets. Depuis, des générations d'hommes ont fait
toutes sortes de découvertes en Amérique, mais on ne connaît pas encore
totalement cet immense continent. De la même façon, les croyants sont en face de l'héritage qu'ils doivent recevoir, sans en connaitre toutes les parts. Ils n'en connaissent que les arrhes ou les prémices. Mais ceux qui veulent se donner la peine de les rechercher, iront de découvertes en découvertes. Là où il leur semblait n'y avoir que le désert, ils trouveront la
richesse, comme ces prospecteurs qui sillonnent le Sahara en font
presque quotidiennement l'expérience. Ici, ce sont des réserves
considérables de pétrole qu'ils découvrent, là, c'est une nappe d'eau
capable d'alimenter une ville de plus de cent mille habitants. A la
suite de forages, on a même trouvé une réserve souterraine de onze
millions de tonnes d'eau, ce qui représente le record du monde ; et cela
au cœur du Sahara ! De même l'héritage de Dieu réserve des
surprises inimaginables ; on va de ravissement en ravissement au fur et à
mesure qu'on apprend à le connaître. Éphésiens1.3"Béni soit
Dieu, le Père de notre Seigneur Jésus-Christ, qui nous a bénis de toutes
sortes de bénédictions spirituelles dans les lieux célestes, par
Christ…""
"Dieu n'a nullement besoin de nous ni du reste de la création, mais
nous et le reste de la création pouvons néanmoins le glorifier et lui
procurer de la joie. Puisqu'un amour parfait et une communication
parfaite unissaient les membres de la trinité de toute éternité, Dieu ne
nous a pas créés parce qu'il se sentait seul ou parce qu'il avait
besoin de communion avec d'autres personnes. Dieu n'avait besoin de nous, en aucune façon. Cependant, Dieu nous a créés pour sa propre gloire.
Esaïe 43.7 "Tous ceux qui s’appellent de mon nom, et que j’ai créés pour ma gloire, que j’ai formés et que j’ai faits." Éphésiens1.11-12 "En lui nous sommes aussi devenus héritiers, ayant
été prédestinés suivant la résolution de celui qui opère toutes choses
d’après le conseil de sa volonté, afin que nous servions à la louange
de sa gloire, nous qui d’avance avons espéré en Christ."
C'est pourquoi quoi que nous fassions, nous devons le faire pour la gloire de Dieu. 1 Corinthiens 10.31 "Soit donc que vous mangiez, soit que vous buviez,
soit que vous fassiez quelque autre chose, faites tout pour la gloire
de Dieu."
C'est la raison pour laquelle notre vie a de l'importance. Quand nous prenons conscience que Dieu n'avait pas besoin de nous créer
et n'a nullement besoin de nous, nous pourrons en conclure que notre
vie n'a aucune importance. Mais l'Ecriture nous dit que nous avons
été créés pour glorifier Dieu, ce qui indique que nous sommes importants
aux yeux de Dieu. C'est ce qui donne à notre vie une réelle
importance ou valeur ; si nous sommes réellement importants aux yeux de
Dieu pour toute l'éternité, alors quelle plus grande valeur
pourrions-nous espérer avoir?"
M.Bouttier a comparé notre ascension à une course en montagne. Il a dit :
"Celui qu'on croyait irrémédiablement perdu, condamné à mourir,
accroché à son piton, voilà qu'il apparait là-haut, vivant. Et il
appelle les autres à venir, par là où il est passé."
En effet,
bien que le royaume des cieux nous semble à bien des égards un sommet
inaccessible, nous devons toujours garder en mémoire que Christ nous a
ouvert la voie. Jésus est passé en tête de cordée ; ceux qu'il appelle à monter n'ont plus qu'à observer ses faits et gestes et à lire son "manuel" pour marcher dans ses traces. Ce n'est pas parce que Jésus Christ a vaincu la paroi que nous avons,
nous aussi achevé la course, ou que nous n'avons qu'à nous laisser
hisser au sommet sans effort, comme un poids mort. Non, au contraire, nous sommes vivants en lui et engagés à sa suite, comme une cordée marchant après son guide. Osée 11.4"Je les tirai avec des liens d’humanité, avec des cordages d’amour."
M. Bouttier a dit: "Les passages où nous dévisserions infailliblement,
face aux obstacles insurmontables, aux surplombs, la dernière corniche
de la mort où nous basculerions fatalement dans le vide, il les a
affrontés, il en a triomphé."
Lui seul, en tête, sans pouvoir être aidé, a assumé les risques mortels pour nous. Et maintenant, qu'il a tracé la voie il nous assure, à chaque pas, par ses cordages d'amour. Nous avançons, parce qu'il a vaincu ; et cela nous donne un grand espoir ; celui de parvenir victorieux au but final ! Car même si nous partageons les souffrances qu'il a subies, nous nous savons déjà sauvés par les siennes. Nos efforts ne sont donc pas vains ; il est là, tout proche, proclamant
notre victoire commune, afin que par la foi, nous répondions à son
appel à l'ascension !
"Une chose dont nous pouvons être sûr, cependant: pour le croyant, la
douleur a un sens, l'adversité est profitable. Il ne s'agit pas de
questionner la difficulté de l'adversité. Elle nous prend généralement
par surprise et semble nous frapper où nous sommes le plus vulnérable.
Pour nous, elle nous apparaît complètement comme sans aucun sens et
irrationnel, mais pour Dieu aucune de ces douleurs n'est ni l'un ou
l'autre. Il a un but dans chaque souffrance qu'il apporte ou autorise
dans nos vies. Nous pouvons être sûre que d'une certaine manière il a
l'intention de le faire pour notre profit et sa gloire." Jerry Bridges
"Dieu veut que nous le louions, quelles que soient les circonstances de notre vie. Peut-être avez-vous le sentiment d'être sans importance et de vivre
dans un petit coin caché. Et pourtant, Dieu attend votre louange. Il y
prête l'oreille, et la musique de l'univers tout entier se trouve
enrichie et embellie du fait que vous lui donniez le meilleur de
vous-même." Corrie Ten Boom
"La foi nous permet de rester ferme sur les valeurs spirituelles que la
Bible enseigne et que notre raison a accepté en dépit de nos humeurs et
de nos circonstances changeantes." Xavier LAVIE
"L'un des secrets merveilleux d'une vie sainte ne réside pas dans
l'imitation de Jésus, mais en laissant les perfections de Jésus se
manifester dans notre chair mortelle. La sanctification c'est "Christ en
nous." La sanctification ne tire pas de Jésus le pouvoir d'être
saint; elle puise dans la sainteté de Jésus qui a été manifesté en lui,
et il se manifeste en nous." Oswald Chambers
"Je me demande parfois si tous les plaisirs ne sont pas que des substituts de la véritable joie." CS Lewis
"Quand nous demeurons en Christ, nous nourrissant de l'amour
incommensurable de Jésus pour nous, nous sommes libres de marcher par
son esprit, agissant grâce à son amour et n'étant pas emprisonnés par
nos propres insécurités. Dans sa compagnie tellement remplie de
créativité et d'amour, comment la vie saurait-elle être terne et la
prière ennuyeuse? Si votre temps de prière vous ennuie c'est que Dieu
n'y est pas." Colin Dye
" Peu à peu, nous nous apercevons que Dieu nous a conduits autant par
nos échecs que par nos succès, autant par nos épreuves que par nos
chances, en nous fermant des portes tout autant qu’en en ouvrant
d’autres devant nous." Paul Tournier
"Deux Amours ont fait deux Cités: l'amour de Dieu poussé jusqu'au mépris
de soi à fait la Cité céleste ; l'amour de soi poussé jusqu'au mépris
de Dieu a fait la Cité terrestre " Augustin
"La formation enseigne la personne formée mais aussi le formateur. Le
meilleur moyen d'apprendre est sans aucun doute celui qui consiste à
enseigner." Xavier LAVIE
La route de la vie Chrétienne n'est pas une longue ligne droite, Il y a un virage appelé Désespoir, Un rond-point appelé Confusion, Un tunnel appelé Chute, Des dos d'âne appelés Obstacles, Des feux-rouges appelés Ennemis, Vous aurez des crevaisons appelées Découragement.
Mais, si tu as des pièces de rechange appelées Détermination, Un moteur appelé Persévérance, Un carburant appelé Prière, Une assurance appelée Foi, Un code de la route appelé Bible, Un GPS appelé Saint-Esprit, Un conducteur appelé Jésus, Cette route te fera traverser un sentier nommé Victoire.
Anonyme
"Beaucoup envient ceux qui font, mais quand ils comprennent par où ils
sont passés pour le faire, ils préfèrent rester spectateurs." Xavier LAVIE
"On ne peut pas rester indéfiniment un simple oeuf. Il nous faut éclore ou pourrir." CS Lewis
"Une grande foi est capable de voir le soleil à minuit, de moissonner en
plein hiver et de découvrir des rivières sur les sommets." Charles Spurgeon
"Nous ne suivons pas Dieu afin d'être aimé par lui ; mais nous sommes aimés par Dieu, c'est pourquoi nous le suivons." Xavier LAVIE
"Nous devons prier avec nos yeux sur Dieu et pas sur les difficultés." Oswald Chambers
"Lorsqu'un homme et une femme s'unissent dans le mariage, la nature
humaine expérimente la restauration du sentiment de complétude. Ce qui
fait la gloire de l'homme, c'est qu'il reconnaisse que la femme a été
créée pour lui. Ce qui fait la gloire de la femme, c'est qu'elle
reconnaisse que l'homme est incomplet sans elle. Ce qui fait
l'humilité de la femme, c'est qu'elle reconnaisse qu'elle a été créée
pour l'homme. Ce qui fait l'humilité de l'homme, c'est qu'il reconnaisse
qu'il est incomplet sans la femme.Tous deux partagent la même dignité,
le même honneur, la même valeur. Oui, chacun partage l'humilité face à
l'autre; chacun est forcément dépendant de l'autre." Dr Dwight Small
“Dieu murmure dans nos moments de joie, mais tonne dans nos souffrances.
La souffrance est son mégaphone pour réveiller un monde engourdi.” CS
Lewis
"Tu veux devenir grand, commence par être petit. Tu songes à élever un
haut bâtiment, pense d'abord à lui donner pour fondement l'humilité.
Plus on veut exhausser une construction, plus important doit être un
édifice, plus aussi le fondement doit être profond. On s'élève en
construisant une demeure, on s'abaisse en creusant les fondations. Aussi
peut-on dire que la maison descend avant de monter, et que la grandeur
ne vient qu'après l'humiliation." Augustin
"Nul homme ne peut se sentir exilé s'il se souvient que le monde n'est qu'une cité." CS Lewis
À Washington DC, dans une station de métro un matin de
janvier 2007, un homme avec un violon joua six pièces de Bach, pendant
environ 45 minutes.
Durant ce temps, approximativement 2 000 personnes
ont passé à travers cette station pour se diriger vers leur travail.
Après environ 3 minutes,
un homme d’un certain âge a remarqué le musicien et a ralenti le pas
pendant quelques seconds avant de s’empresser sur son chemin.
Environ 4 minutes plus tard, le violoniste a reçu son premier dollar d'une femme qui lui a lancé sans même s’arrêter.
À 6 minutes, un jeune homme s’est appuyé contre le mur pour l’écouter, puis a regardé sa montre et s’est remis à marcher.
À 10 minutes,
un garçon de 3 ans s’est arrêté, mais sa mère le tira derrière elle en hâte.
L’enfant s'est arrêté pour regarder le violoniste encore une fois,
mais sa mère le poussa à continuer à marcher, mais sa tête resta
retournée tout le temps.
Cette même action s’est reproduite par plusieurs autres enfants, et
chaque parent — sans exception – força leurs enfants de se dépêcher.
À 45 minutes,
le musicien jouait encore.
Seulement six personnes s’étaient arrêtées
pour l’écouter quelques minutes et environ 20 personnes ont donné de
l’argent en continuant à marcher.
Le musicien a récolté un total de
32$ pour ses efforts.
Après une heure, il a fini de jouer et le silence revint.
Personne ne l’a remarqué, personne ne l’a applaudi et personne ne l’a reconnu.
Ce violoniste était Joshua Bell, un des meilleurs musiciens
au monde.
Il a joué une des pièces les plus complexes jamais écrites avec son violon d’une valeur de 3,5 millions de dollars.
Deux jours auparavant, Joshua Bell avait joué à guichets fermés dans un
théâtre de Boston, où les sièges se vendaient en moyenne 100 $
chacun pour s'asseoir et l’écouter jouer la même musique.
Cette expérience a relevé plusieurs questions :
Dans un environnement commun, à une heure inappropriée, percevons-nous la beauté ?
Si oui, est-ce que nous nous arrêtons pour l’apprécier ?
Reconnaissons-nous le talent dans un contexte inattendu ?
Une conclusion possible tirée de cette expérience pourrait être :
Si nous n'avons pas un moment pour arrêter et écouter un des meilleurs
musiciens au monde, jouant une des plus belles musiques jamais écrites,
avec un des instruments les plus magnifiques jamais fabriqués…
Combien d'autres choses nous échappent lorsque nous nous précipitons dans la vie ?
D'autre part, même si personne ne reconnait vos talents, Dieu, lui, les voit!
"Je te donnerai des trésors
cachés, des richesses enfouies, afin que tu saches que je suis l’Éternel qui
t’appelle par ton nom, le Dieu d’Israël." Esaïe 45.3
Savez-vous qu’il existe des
trésors cachés au-dedans de vous ?
Vous avez des dons, des talents et des capacités dont vous ignorez l’existence.
Souvent, c’est dans des moments de difficultés ou de ténèbres que ces trésors
cachés nous sont révélés. Lorsque nous traversons des temps d’adversité, nous
voyons surgir en nous une force, des capacités et des talents nouveaux.
A l'heure où notre société prône la
tolérance à tous vents et que le syncrétisme a le vent en poupe, de nombreux
chrétiens se demandent quelle position ils doivent prendre vis-à-vis des us et
coutumes des peuples qui les entourent. Si la mondialisation favorise le
brassage des populations et un enrichissement culturel mutuel, les chrétiens doivent
être vigilants et faire le tri dans tous les dogmes, les fêtes et les rites des
nations qui se popularisent et se répandent indistinctement sur tous les
continents.
Maria a été baptisée catholique mais elle
croit aussi en la réincarnation, elle mange halal et fête Holi.
Kenza a des
parents musulmans mais elle fête Noël ; elle fait du yoga et boit de l'alcool.
Amala est bouddhiste mais elle prie le
Dieu des chrétiens, elle ne croit pas que le diable existe mais elle fête Halloween.
Mary est protestante, homosexuelle, végétarienne et adepte de la méditation transcendantale…
Quel mélange me direz-vous? Quel
syncrétisme!
Quel bris-collage de croyances et de pratiques originellement
opposées, aujourd'hui coupées-collées!
Se montrer libéral et tolérant, au risque
de tomber dans le laxisme et le péché?
Être radical et intègre, au risque d'être
taxé de légaliste et d'intolérant?
Quelle est la bonne attitude à adopter?
En son temps, déjà, l'apôtre Paul fut
confronté à ce genre de débat rapporté dans sa première épitre aux Corinthiens
10.19.33"Qu’est–ce que je veux
dire ? Que la viande offerte aux faux dieux vaut quelque chose ? Ou
bien que les faux dieux valent quelque chose ? Non ! Mais je veux
dire que ces sacrifices sont offerts aux esprits mauvais, et non à Dieu. Et je
ne veux pas que vous soyez en communion avec les esprits mauvais. Vous ne
pouvez pas boire à la fois à la coupe du Seigneur et à la coupe des esprits
mauvais. Vous ne pouvez pas prendre part à la fois au repas du Seigneur et aux
repas des esprits mauvais. Ou bien, est–ce que nous voulons rendre le Seigneur
jaloux ? Est–ce que nous sommes plus forts que lui ? Certains
disent : « Tout est permis. » Oui, mais tout n’est pas bon.
« Tout est permis », c’est vrai, mais tout ne construit pas la
communauté. Personne ne doit chercher son intérêt à soi, mais plutôt celui des
autres. Tout ce qu’on vend au marché, mangez en sans poser de question, avec
une conscience tranquille. En effet, tout appartient au Seigneur : la
terre et tout ce qu’elle contient. Par exemple, quelqu’un qui n’est pas
chrétien vous invite, et vous acceptez son invitation. Alors mangez la
nourriture qu’on vous offre, avec une conscience tranquille. Mais on vous dira
peut–être : « C’est de la viande offerte en sacrifice aux faux
dieux. » Alors, n’en mangez pas, à cause de celui qui vous a dit cela, et
pour des raisons de conscience. Je parle de sa conscience à lui et non de la
vôtre. Mais est–ce que la conscience de quelqu’un d’autre va juger ce que je
fais librement ? Pourquoi donc ? Quand je mange en remerciant Dieu,
je dis merci pour la nourriture. Alors, on ne peut pas dire du mal de moi, à
cause de cette nourriture. Donc, quand vous mangez, quand vous buvez, ou quand
vous faites autre chose, agissez en tout pour la gloire de Dieu. Ne faites
tomber personne dans le péché par votre façon d’agir : ni les Juifs, ni
ceux qui ne sont pas juifs, ni l’Église de Dieu. Faites comme moi !
J’essaie de plaire à tous dans toutes mes actions. Je ne cherche pas mon intérêt,
je cherche l’intérêt de tous pour qu’ils soient sauvés."
Les Juifs,
plusieurs des premiers chrétiens, et la plupart des Pères de l’Eglise
considéraient toutes les fausses divinités adorées dans le paganisme comme
autant de mauvais esprits (démons) avec lesquels leurs adorateurs entraient
nécessairement en communion ; de là, l’horreur que leur inspirait un tel culte.
Les
Corinthiens, au contraire, trop éclairés pour ne pas savoir que tous ces faux
dieux n’étaient que le produit de l’imagination de l’homme ce que Paul leur a
déjà concédé, (1Corinthiens 8.4) en
étaient venus, par de fausses conséquences de ce principe, à ne se faire aucun
scrupule de prendre part aux repas des sacrifices païens.
L’apôtre
doit combattre cette dangereuse application de la liberté chrétienne, et pour
cela il rétablit la vérité sur la nature du paganisme.
Non, dit-il,
les idoles en elles-mêmes ne sont rien ; celui qui leur rend un culte dans son
ignorance, ne fait même que chercher Dieu en tâtonnant.
Mais, comme
l’homme déchu est sous la puissance des ténèbres, comme, en adorant la créature
au lieu du Créateur, il obéit à cette puissance et s’éloigne toujours plus de
Dieu, comme les fausses divinités ne sont que les impures passions de l’homme
divinisées, comme enfin les actes mêmes de ce culte consistaient le plus
souvent en abominables souillures (ainsi le culte de Vénus qui florissait à
Corinthe), il est évident que toute participation à une telle religion est une
communion avec la puissance diabolique du mal, alors même qu’en s’y mêlant on
parviendrait à s’abstenir de tout acte positif de péché.
Et qui
pouvait s’en flatter? En fait, c’était chercher la tentation, c’était
méconnaître l’esprit du paganisme. L’admirable sagesse de cette instruction
peut trouver aujourd’hui encore mille applications dans les rapports du
chrétien avec le monde.
Une
communion réelle et vivante avec le Sauveur exclura toujours de notre vie tout
ce qui vient de l’esprit des ténèbres.
La coupe et
la table des démons, que Paul oppose à la coupe et à la table du Seigneur,
rappellent les libations qui se faisaient dans les repas des sacrifices païens.
Dieu, par un
effet de sa sainteté et de son amour, est jaloux de posséder tout entier le cœur
de ses enfants alors comment pourrait-il partager ce cœur avec un culte idolâtre?
Pourrions-nous
supporter le poids de son indignation?
Selon la
liberté chrétienne, toutes les choses où il n’y a point de péché sont permises (1 Corinthiens 10.23) mais la charité
veut que l’on consulte ce qui est avantageux aux autres, ce qui les édifie..
Car par
l’usage absolu de mon droit et de ma liberté chrétienne sans égard aux autres,
je puis agir en parfait égoïste.
A l’occasion
d’un simple devoir de charité, l’apôtre pose ici le principe le plus profond,
le plus universel de la vie du chrétien. Dieu a tout créé pour sa gloire; il ne
pouvait se proposer de but plus élevé que lui-même.
Or, toute
vie d’homme et toute action de sa vie qui tend vers ce but, tend par là même à
sa vraie destination.
Toute œuvre,
au contraire, qui n’est pas inspirée par ce principe, ne porte jamais dans l’Écriture le titre d’une bonne œuvre quelle qu’en soit d’ailleurs l’excellence
relative.