"Je peux ressentir la main de l’Éternel sur moi quand elle fortifie mon
âme et élève mon esprit vers les choses éternelles. Ô, que je ressente,
en ce sens, l’action du Seigneur sur moi ! Le sentiment de la présence
et de la demeure divines dans l’âme fait monter celle-ci jusqu’aux
cieux, comme étant portée par les ailes de l’aigle. À de tels
moments, la joie spirituelle nous remplit jusqu’à ras-bord, et nous
oublions les soucis et les tristesses de la terre. L’invisible s’approche,
et le visible perd de sa puissance sur nous. Le « corps-serviteur »
attend au pied de la montagne, alors que « l’esprit-maître » adore au
sommet dans la présence du Seigneur (cf. Genèse 22). Ô, que le Seigneur
m’accorde ce soir un temps béni de sainte communion avec lui ! Il sait
que j’en ai grand besoin, car les grâces languissent en moi, les
corruptions s’acharnent, la foi s’affaiblit et la dévotion se refroidit. À cause de tout cela, il lui faut venir poser sa main de guérison sur
moi. Cette main peut calmer la fièvre qui embrase mon front et dompter
le tumulte qui agite les palpitations de mon cœur. Sa droite
merveilleuse, qui façonna naguère l’univers peut renouveler mon esprit.
Cette main infatigable, qui soutient toute la création, peut fortifier
mon esprit. Cette main d’amour, qui entoure tout le peuple des saints,
peut prendre soin de moi. Enfin, cette main puissante, qui brise en
pièces l’ennemi, peut assujettir mes péchés." Charles Spurgeon
"Le grand Berger, a cherché les brebis, parce qu’elles sont ses propres
brebis. Il est venu « chercher et sauver ce qui était perdu » (Luc
19.10), parce que ce qui était perdu lui appartenait longtemps déjà
avant de se perdre. L’Église est le partage exclusif de son Seigneur.
Personne d’autre ne peut en réclamer une part ni prétendre posséder une
portion de son amour. Jésus, ton Église se réjouit qu’il en soit ainsi !
Que toute âme croyante vienne se désaltérer et trouver son réconfort
auprès des puits où Christ emmène son troupeau." Charles Spurgeon
"Christ regarde avec un immense plaisir la possession de son Église. Il
trouve son bonheur « parmi les fils de l’homme » (Proverbes 8.31),
parce que ceux-ci sont ses propres élus." Charles Spurgeon
"Rien ne donne plus de joie au croyant que la communion avec Christ. Où
peut-on trouver une douceur telle que ce que nous avons goûté dans la
communion avec notre Bien-Aimé ? Dans notre estime, les joies de la
terre ne sont rien de mieux que les carouges destinées aux pourceaux,
quand on les compare à Jésus, la merveilleuse manne céleste." Charles
Spurgeon
"Nous préférons une seule bouchée de l’amour de Christ, et une gorgée de
sa communion, que tout un monde empli de délices charnels. Qu’est-ce
que l’enveloppe quand on a le grain ? Qu’est-ce que la pierre
d’imitation face au vrai diamant ? Qu’est-ce qu’un rêve en présence de
la merveille de la réalité ? Quelle est la valeur du temps des rires,
dans sa plus grande qualité, quand on le compare à notre Seigneur Jésus,
même dans son état le plus méprisable ? " Charles Spurgeon
"La foi ne se borne pas à croire sans rien comprendre et à se soumettre
sans réelle conviction. Au contraire, la foi réclame la connaissance de
la volonté de Dieu et la volonté personnelle de s'y soumettre." Xavier
Lavie
"Si vous connaissez quelque chose de la vie intérieure, vous
reconnaîtrez que nos joies les plus pures, exaltées et durables sont des
fruits de l’arbre de la vie qui se trouve au milieu du paradis de Dieu.
Aucune source ne donne une eau aussi douce que le puits divin creusé
par la lance du soldat. Toute félicité terrestre est de la terre, mais
les consolations de la présence de Christ sont célestes, comme il l’est
lui-même. Nous pouvons examiner notre communion avec Jésus sans
y trouver de regrets ni de vide. La joie du Seigneur est solide et
durable. La vanité n’y a pas porté les regards, mais la discrétion et la
prudence témoignent qu’elle résiste à l’épreuve du temps. Elle est
digne, dans le temps et dans l’éternité, qu’on l’appelle « le seul vrai
délice ». Rien ne rivalise avec l’amour de Jésus quand il est question
de nourrir, de consoler, de donner de la joie ou du rafraîchissement. "
Charles Spurgeon
“Il n’y a aucune molécule indépendante dans l’univers.” R.C. Sproul
"Une obéissance qui n’est pas rendue de bon gré est une désobéissance,
car le Seigneur regarde au cœur. S’il voit que nous le servons sous la
contrainte et non en raison d’un amour pour lui, il rejettera notre
offrande. Le service associé à un entrain joyeux est un service de cœur
et donc vrai. Ôtez au chrétien cette disposition, et vous avez fait
disparaître la marque de sa sincérité." Charles Spurgeon
"Certaines personnes te rejetteront car ta lumière est trop intense pour
eux, c'est comme ça. Continue à rayonner !" Martin Luther King
"Un entrain joyeux est le soutien de notre force, car nous sommes forts
dans la joie du Seigneur. Cette disposition fait disparaître nos
difficultés. Elle représente pour notre service ce que l’huile est pour
les roues du train. Sans elle, les essieux ne tardent pas à s’échauffer
et la panne suit sans attendre. Si une sainte gaieté ne vient pas huiler
les roues de notre esprit, celui-ci s’enfoncera vite dans la lassitude.
L’homme dont le service pour Dieu est joyeux démontre que l’obéissance
est son élément." Charles Spurgeon
"Je dois être prêt à renoncer à ce que je suis dans le but de devenir ce que je serai." Albert Einstein
"Servez-vous le Seigneur avec joie ? Montrons aux gens du monde, pour
qui notre religion est un esclavage, qu’elle nous est un délice et une
joie ! Que notre joie proclame que nous servons un Maître bon." Charles
Spurgeon
"La plupart des gens voient ce qui est, et ne voient jamais ce qui peut être." Albert Einstein
"Comme la pensée de l’intercession incessante du Rédempteur en notre
faveur est un encouragement ! Alors que nous prions, il plaide pour
nous. Quand nous cessons de prier, il défend notre cause et, par ses
supplications, il nous protège de dangers invisibles. " Charles Spurgeon
“Le but de notre régénération est qu’une harmonie et un accord entre la
justice de Dieu et notre obéissance se manifeste dans notre vie et que
notre adoption par Dieu comme ses enfants soit ainsi attestée. Si Dieu
nous adopte pour ses enfants, c’est pour que l’image de Christ soit
visible dans notre vie. […] La Loi de Dieu porte en elle cette nouveauté
de vie par laquelle son image est réparée en nous. Mais notre lenteur
d’esprit a besoin d’être soutenue et stimulée. On trouvera
dans de nombreux passages de l’Écriture comment bien conduire notre
vie, afin que ceux qui désirent vivre la conversion à Dieu ne s’égarent
pas dans leur zèle. […] Persévérons et progressons régulièrement sur la
voie du Seigneur. Ne perdons surtout pas courage, si nous n’avançons
qu’un petit peu. Bien que cela ne corresponde pas à notre souhait, tout
n’est cependant pas perdu, si aujourd’hui est mieux qu’hier. Tendons
seulement vers le but avec une intention pure et droite et
efforçons-nous de l’atteindre. Ne soyons pas aveuglés par
l’autosatisfaction et ne faisons pas preuve d’indulgence vis-à-vis de
nos faiblesses. Efforçons-nous, sans cesse, de devenir meilleurs,
jusqu’à ce que nous parvenions à l’amour parfait que nous avons à
rechercher tout au long de notre vie. Nous y arriverons quand,
dépouillés de l’infirmité de notre chair, nous serons pleinement
participants de cette communion : quand Dieu nous accueillera auprès de
lui.” Jean Calvin
"Remarquez la parole de réconfort adressée à Pierre : « Simon, Simon,
Satan vous a réclamés, pour vous cribler comme le froment. Mais... »
Mais quoi ? « Mais vas et prie pour toi-même » ? Ce serait un bon
conseil, mais ce n’est pas ce que nous lisons. Jésus ne dit pas non plus
: « Mais je vais te garder en éveil, et tu seras ainsi préservé. » Ce
serait en soi une grande bénédiction. Non, Jésus dit : « Mais j’ai prié
pour toi, afin que ta foi ne défaille point. » Nous savons trop
peu quelles sont les protections que nous devons aux prières du
Sauveur. Lorsque nous atteindrons les sommets célestes, et que nous
regarderons en arrière pour voir tout le chemin par lequel le Seigneur
notre Dieu nous a conduits, comme nous louerons Celui qui, devant le
trône éternel, a défait le mal que Satan perpétrait sur la terre ! Comme
nous le remercierons de ne s’être jamais tu, mais d’avoir nuit et jour
plaidé les vertus des blessures de ses mains et porté nos noms sur son
pectoral ! Avant même que Satan ait commencé à tenter, Jésus l’avait
devancé et avait présenté notre défense au ciel. La miséricorde devance
la méchanceté. Remarquez que Jésus ne dit pas : « Satan vous a criblés,
et donc je vais prier », mais il déclare : « Satan vous a réclamés. »
Il fait obstacle aux désirs mêmes de Satan, et il les détruit dans
l’œuf. Jésus ne dit pas : « Mais j’ai désiré prier pour vous », mais
il déclare : « Mais j’ai prié pour toi. » Je l’ai déjà fait. Je suis
allé au tribunal et j’ai déjà présenté votre défense, avant même qu’une
accusation n’ait encore été faite. Ô, Jésus, quelle consolation que de
savoir que tu as déjà défendu notre cause contre nos ennemis invisibles ;
que tu as désamorcé leurs mines et démasqué leurs embuscades. Nous
avons ici un sujet de joie, de gratitude, d’espérance et de confiance."
Charles Spurgeon
jeudi 11 janvier 2018
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