Éphésiens 1.22-23
" Dieu a donné Jésus Christ pour chef suprême à l’Eglise, qui est son
corps, la plénitude de celui qui remplit tout en tous."
1. Qui peut remplir tout en tous ?
Ne pensez pas combler le vide par
de la musique, de la nourriture, des divertissements de toutes sortes même
s'ils sont sains, des amitiés, ni même par un mariage, de l'argent, un travail
ou un bébé…
Le vide peut aussi se ressentir
quand on est plusieurs et bien occupés.
Le but n'est pas ici de vous
énumérer une longue liste de toutes les armes spirituelles et de tous les
outils utiles à votre marche quotidienne avec Dieu.
La liste serait bien trop longue
et ce ne sont pas essentiellement de toutes ces choses dont il faut être rempli!
Soyons plus consensuels car cette
longue liste peut se résumer en deux mots : Revêtez Christ.
Car quand Christ ne remplit pas
le cœur, c’est le vide.
Revêtir Christ c'est, par la même
occasion, être rempli de la plénitude qui remplit tout en tous.
Revêtir Christ c'est être rempli
de lui, c'est aussi être revêtu de l'armure spirituelle utile dans le bon
combat de la foi, c'est posséder les outils nécessaires à toutes bonnes œuvres,
c'est avoir le fruit de l'Esprit dans toute sa plénitude…
Tout ce dont nous avons besoin c'est
lui, car tout ce dont nous avons besoin est en lui.
Romains
13.14 " Revêtez-vous du
Seigneur Jésus-Christ…"
Revenons un instant à Éphésiens 1.23, Paul mentionne que
l'Eglise est la plénitude en grec "pleroma" (πληρωμα) de celui qui remplit
tout en tous.
Si l’Eglise est la plénitude de
Christ, c'est dans un sens passif que nous devons le comprendre. L'Eglise n’est
pas celle qui remplirait ou complèterait Christ, comme étant son corps; mais,
au contraire, c’est Christ qui la remplit de sa présence, de sa gloire, de
toutes ses grâces, de sa vie, en un mot, de lui-même.
L'Eglise devient alors la
plénitude visible dans le sens grec du mot "pleroma" qui porte aussi
l'idée de totalité, d'accomplissement et de perfection. Le mot
"pléroma" est aussi utilisé pour parler d'un bateau équipé et attendu,
c'est-à-dire, rempli de son fret, de sa marchandise, de ses marins, de ses
rameurs et de ses soldats. L'Eglise est assurément la plénitude de celui qui
remplit tout en tous. Elle est ce navire rempli, équipé et attendu pour œuvrer
au salut du monde...! En elle se trouve toute la présence, la puissance,
l’action et les richesses de Dieu.
Forte de cette image, l'Eglise a
pour mission de manifester la gloire et les perfections du Seigneur, aux yeux
de l’univers entier sans oublier sa mission de sauvetage, de salut.
Dans la traduction Parole de Vie d'Ephésiens 1.23, il est écrit:
"En elle (L'Eglise), le Christ est totalement présent, lui en qui Dieu
habite totalement."
Si Dieu remplit totalement l'univers
de par son omniprésence, l'Eglise doit être le lieu où sa présence est la plus
tangible, la plus palpable. Mais pour refléter cela, la traduction LIENARD d'Ephésiens 1.23 apporte une autre dimension à ce passage en disant
que l'Eglise est: "la plénitude de
celui qui n’est complètement parfait qu’en tous."
Cette traduction ne remet pas en
question la perfection du Seigneur en dehors de son Eglise mais nous aide à
comprendre que la plénitude du Christ dans l'Eglise n'existe qu'à travers
l'unité de tous les croyants dès l'instant où chacun est lui-même rempli du
Christ par le Saint-Esprit. Ainsi, la responsabilité de la plénitude du Christ
dans l'Eglise ne repose pas sur l'institution ou l'organisation ecclésiale mais
sur chaque croyant, sur chaque marin, chaque rameur, chaque soldat de ce grand
navire dans lequel chacun doit être à son poste et accomplir sa tâche.
Blaise
Pascal a dit : "Il y eut autrefois dans l’homme un
véritable bonheur, dont il ne lui reste maintenant que la marque et la trace
vide qu’il essaie de remplir inutilement avec tout ce qui l’environne,
recherchant dans les choses absentes le secours qu’il n’obtient pas dans les
présentes. Or, toutes sont inadéquates, parce que ce gouffre infini ne peut
être rempli que par un objet infini et immuable, c’est-à-dire Dieu même."
Si on ne trouve pas Christ,
soyons bien sûr que le vide ne va pas rester longtemps dans notre cœur, et
craignons qu’il ne soit comblé par n’importe quoi.
Le philosophe Aristote avait raison de dire que la
nature a horreur du vide.
Il en est venu à cette conclusion
en constatant que la nature exige que tout espace soit rempli de quelque chose,
même si ce quelque chose est incolore et inodore.
De la même façon, notre cœur ne
peut rester vide.
Combien de cœurs sont remplis de
choses vaines et insipides, mais celui qui a trouvé Christ a trouvé la source
qui va combler le vide de son cœur et lui apporter toute la plénitude.
Peut être vous considérez-vous
comme étant quelqu'un qui a trouvé Christ et l'a invité à habiter dans son cœur
et malgré cela vous vous sentez vide ?
Que se passe-t-il?
Pourquoi Christ ne comble-t-il pas votre vie ?
L'apôtre Paul affirme pourtant
dans Galates 3.27 "Vous tous, qui avez été baptisés en
Christ, vous avez revêtu Christ."
Le terme grec pour baptiser est
"baptizo" et il signifie "immergé".
Être immergé ce n'est pas faire
un plongeon temporaire dans l'eau ou dans l'Esprit (même si le symbole naturel
du baptême d'eau est une immersion brève sous l'eau) mais c'est demeurer en
Christ de façon définitive.
Beaucoup de chrétiens ne
comprennent pas ce que signifie : demeurer en Christ.
Ils pensent qu'il suffit d'avoir
été baptisé d'eau et d'Esprit, d'aller à l'église et de porter le nom de
chrétiens pour prétendre demeurer en Christ.
Mais ce n'est pas cela! Ils se
trompent !
Demeurer en Christ, pour utiliser
une image moderne, c'est être connecté à Christ en permanence. C'est pouvoir
lui parler et l'entendre n'importe quand, c'est être en osmose et en harmonie
avec lui, sans que rien n'entache notre relation…
Les seuls raisons pour lesquelles
les chrétiens perdent parfois leur "connexion" à Christ, sont le péché et le fait de
détourner leurs regards de Christ (ce qui peut être considéré aussi comme un
péché).
Je m'explique :
Premièrement, le prophète Esaïe 59.2 l'a expliqué en son temps: "Ce sont vos crimes qui mettent une
séparation entre vous et votre Dieu ; Ce sont vos péchés qui vous cachent sa
face et l’empêchent de vous écouter."
Donc, le péché sous toutes ses formes
est comme un mur blindé nous empêchant de rester connecté à Dieu. Le péché
coupe la relation et la communication.
Deuxièmement, lorsque les soucis
ou les occupations quotidiennes nous accaparent, cela nous empêche aussi de
rester en contact avec Dieu.
C'est comme s'il y avait de la
friture sur la ligne, ou comme si nous étions trop occupés pour entendre les
appels vibrants de notre Seigneur.
Dans les deux cas, le seul moyen
de rétablir la connexion est non seulement la repentance mais aussi le fait de rétablir
notre confiance dans le Seigneur tout en recherchant sa face.
Au temps où les israélites
s'étaient détournés de Dieu, celui-ci avait fermé son ciel et avait averti son
peuple en disant: "Si mon peuple sur
qui est invoqué mon nom s’humilie, prie, et cherche ma face, et s’il se détourne de ses mauvaises
voies, je l’exaucerai des cieux, je lui pardonnerai son péché, et je guérirai
son pays." (2 Chroniques 7.14)
Dieu ne change pas, aujourd'hui
encore, il ouvre son ciel et envoie ses bénédictions sur un peuple qui
s'humilie, prie, cherche sa face et se détourne de ses mauvaises voies.
C'est le seul moyen de demeurer
en lui et d'être rempli de toute sa plénitude.
2. Comment Dieu nous remplit-il ?
Pour comprendre la façon dont
Dieu s'y prend pour nous remplir de sa plénitude, j'aimerais prendre avec vous
le passage biblique de Jean 2.1-9 (BFC)
" Il y eut un mariage à Cana, en Galilée. La mère de
Jésus était là, et on avait aussi invité Jésus et ses disciples à ce mariage. A
un moment donné, il ne resta plus de vin. La mère de Jésus lui dit alors : Ils
n’ont plus de vin. Mais Jésus lui répondit : Mère, est-ce à toi de me dire ce
que j’ai à faire ? Mon heure n’est pas encore venue. La mère de Jésus dit alors
aux serviteurs : Faites tout ce qu’il vous dira. Il y avait là six récipients
de pierre que les Juifs utilisaient pour leurs rites de purification. Chacun
d’eux pouvait contenir une centaine de litres. Jésus dit aux serviteurs :
Remplissez d’eau ces récipients. Ils les remplirent jusqu’au bord. Alors Jésus
leur dit : Puisez maintenant un peu de cette eau et portez-en au maître de la
fête. C’est ce qu’ils firent. Le maître de la fête goûta l’eau changée en
vin."
Quel problème rencontrèrent les disciples
de Jésus lors de ce mariage?
Les vases ou les jarres qui
étaient censés être remplis de vin étaient déjà vides, alors que le mariage
n'était pas terminé.
Marie, la mère de Jésus ayant été
avertie de ce problème se tourna vers Jésus, cherchant en lui une solution.
Jésus fit alors remplir d'eau,
non les vases qui avaient servi au vin, mais les cuves de pierres servant aux
rites de purification et qui pouvaient contenir chacune 100 litres.
Une fois que les cuves furent
remplies à ras bord, Jésus fit là son premier miracle en changeant l'eau en un
vin de grande qualité.
Tandis que nous sommes dans ce
monde, tout comme les convives de ce mariage ou comme Marie la mère de Jésus,
nous constatons nos carences et nos insuffisances face aux grands besoins du monde
qui nous entoure.
Même lorsque nous pensons être
dans la plénitude, dans des moments de paix et de réjouissances, nous savons
que ses sentiments ne sont qu'éphémères et superficiels, parce que la vie est
davantage un combat qu'une fête et que les besoins de l'humanité nous
rappellent sans cesse notre impuissance à les combler et la détresse de nos
contemporains.
Tout comme Marie, nous devrions
avoir la bonne attitude de toujours nous tourner vers celui qui est LA solution
à nos carences et nos insuffisances, vers celui qui est le seul à pouvoir nous
combler.
Psaumes
34.5 "Quand on tourne vers lui les regards,
on est rayonnant de joie, et le visage ne se couvre pas de honte."
Tourner les regards vers le
Seigneur dans la foi et dans la prière apporte non seulement du réconfort et
des forces nouvelles, mais aussi LA solution à nos maux.
Toutefois, notre part ne s'arrête
pas à seulement chercher sa face avec espoir et foi, mais aussi à obéir à ce
qu'il va nous dire dans ce moment de communion avec lui.
Dans Jean 2.5, Marie dit aux serviteurs : " Faites
ce qu’il vous dira."
Avant d'être remplis et bénis, il
nous faut non seulement prier, mais il nous faut aussi obéir à tout ce que le
Seigneur nous dit.
La version littérale grecque dit
: "quoiqu'il vous dise,
faites-le."
Il n'est pas question ici d'obéir
en partie, mais totalement aux instructions du Seigneur.
Nous n'avons pas à donner des
ordres au Seigneur, mais à lui obéir avec la même attitude que ces serviteurs
qui obéirent à ses ordres.
Et que leur a dit Jésus ?
Jean
2.7 " Remplissez d’eau ces vases."
Jésus a dit une chose étonnante
qui aurait pu empêcher les serviteurs de lui obéir.
Après tout, Jésus n'était ni
l'ordinateur du repas des noces, ni le marié, ni le père de l'un des mariés. De
plus, au lieu de vouloir remplir les cruches à vin vides, il propose de remplir
six cuves de 100 litres en pierre qui servaient au rituel de purification
religieuse avec de l'eau.
Si on y réfléchit bien, rien dans
les propos de Jésus n'est ordinaire et logique…
Alors les serviteurs auraient
très bien pu se rebeller et refuser d'accomplir ses instructions.
Toutes fois, ils obéirent!
Parfois dans la prière, Jésus
peut nous dire des choses étonnantes qui renversent notre logique humaine et
nous dépassent, des choses auxquelles on ne s'attendait pas du tout…
Qu'allons-nous faire de ce qu'il
nous demande de faire?
Allons-nous douter, protester,
discuter du bien fondé de ses voies ou lui obéir?
Dieu nous avait pourtant prévenus
à travers le prophète Jérémie 32.27 (NBS)
"Je suis le Seigneur
(YHWH), le Dieu de tous. Y a–t–il rien qui soit étonnant de ma
part ?"
Et il ajouta à travers la bouche
du prophète Esaïe 55.9 "Autant les cieux sont élevés au-dessus
de la terre, autant mes voies sont
élevées au-dessus de vos voies, et mes pensées au-dessus de vos
pensées."
Aux noces de Cana, les serviteurs
ont obéi sans chercher à comprendre.
Ils ont remplis d'eau les six cuves
de 100 litres, à ras bord.
Ils n'ont pas ménagé leurs
efforts et ne se sont pas arrêtés avant que les cuves soient complètement
pleines d'eau!
Cette eau remplissant les cuves
de purification est l'image de l'eau de la Parole qui doit nous laver et nous
purifier complètement.
Les cuves sont remplies à ras
bord parce que Dieu n'attend pas de nous des ablutions religieuses
superficielles, ni une toilette de chat pour ce qui se voit.
Dieu attend de nous une immersion
totale dans l'eau de sa Parole.
Et c'est seulement après que la
Parole ait pleinement fait son œuvre en nous, qu'arrive le miracle.
Notre part, celle qui est à notre
portée, dans nos possibilités, c'est de nous remplir de l'eau de la Parole à
ras bord.
La part divine, miraculeuse,
c'est de changer cette eau en vin et pas n'importe quel vin, un vin délicieux!
Dans son épitre aux Ephésiens 3.19-20, l'apôtre Paul dit
qu'il prie pour que les chrétiens soient remplis jusqu’à toute la plénitude de
Dieu, grâce à Jésus qui peut faire, par la puissance du Saint Esprit,
infiniment au delà de tout ce que nous
demandons ou pensons.
Si nous accomplissons notre part,
qui est de nous tourner vers Jésus, d'écouter ses instructions et d'y obéir,
alors Jésus fera aussi sa part et même au-delà de ce que nous pensons et
demandons.
Jésus est le seul qui peut à la
fois accomplir des miracles et nous remplir de tout ce qu'il est : de son amour
infini, de sa joie ineffable, de sa paix qui surpasse toute connaissance, etc.
Jésus, seul, a le pouvoir de
changer l'eau en vin, le naturel en extra, l'insipide en délices, la tristesse
en joie…
Et notez bien qu'il n'a pas mis
ce vin nouveau dans les vieux vases qui contenaient l'ancien vin. Il a pris
soin de faire ce miracle dans des cuves solides et purifiées par l'eau.
La vie et la libération apportées
par Christ ne peuvent être contenues dans des cœurs impurs et étriqués par
toute forme de religiosité.
Matthieu
9.17 "On ne met pas non plus du vin nouveau
dans de vieilles outres; autrement, les
outres se rompent, le vin se répand, et les outres sont perdues; mais on met le vin nouveau dans des outres
neuves, et le vin et les outres se
conservent."
Conclusion
Vous l'avez bien compris Dieu,
Jésus Christ et le Saint Esprit qui sont un et qui vivent de toute éternité
dans une plénitude merveilleuse et infinie nous appellent à entrer dans cette
vie de plénitude de puissance, d'amour et de joie.
Nous n'avons pas à attendre notre
mort pour goûter aux arrhes de cette plénitude.
En mourant sur la croix, Christ
ne nous a pas seulement donné une partie
de sa vie ; il nous l'a donnée totalement et sa vie (Zoé) est abondante et infinie.
Seulement avant de connaitre ces
moments de plénitude et de miracles, il faut passer par différentes étapes que
sont la prière, la repentance, la purification de nos vies et de nos cœurs et
l'obéissance à la Parole.
Si nous faisons tout cela et
demeurons en Christ, nous serons toujours remplis, tout comme le sarment qui
demeure dans le cep reçoit constamment la sève qui lui donne la vie et lui fait
porter du fruit en abondance.
Si nous nous relâchons dans la
prière, si nous n'écoutons pas la voix du Christ et n'obéissons pas à ses
instructions, si nous pêchons et détournons nos regards de celui qui nous donne
sa vie, alors nous serons comme une branche coupée qui se dessèche et meurt
sans porter de fruit.
On reconnait l'arbre à son fruit!
Jean
15.4-6 "Demeurez en moi, et je demeurerai en
vous. Comme le sarment ne peut de lui-même porter du fruit, s’il ne demeure
attaché au cep, ainsi vous ne le pouvez
non plus, si vous ne demeurez en moi. Je suis le cep, vous êtes les sarments.
Celui qui demeure en moi et en qui je
demeure porte beaucoup de fruit, car sans moi vous ne pouvez rien faire. Si quelqu’un ne demeure pas en moi, il
est jeté dehors, comme le sarment, et il
sèche; puis on ramasse les sarments, on les jette au feu, et ils brûlent."
J'aimerais conclure ce message
par deux citations :
Au XVIIIe siècle, le célèbre
pasteur, théologien et missionnaire auprès des amérindiens, Jonathan Edwards a
dit : "La raison suprême pour
laquelle Dieu nous a créés n'est pas de pallier une quelconque lacune en lui
mais d'étendre cette communication interne parfaite de la bonté et de l'amour
du Dieu trinitaire… La joie, le bonheur, le plaisir de Dieu dans les
perfections divines s'expriment extérieurement en transmettant ce bonheur et ce
plaisir à des êtres créés. L'univers est une explosion de la gloire de Dieu.
Dieu est rayonnant d'une bonté, d'une beauté et d'un amour parfaits qui
incitent les créatures à prendre de plus en plus part à la joie et au plaisir
du Seigneur… Le but ultime de la création est alors une union d'amour entre
Dieu et des créatures aimantes."
Et l'un de nos pasteurs et
théologiens contemporains : Timothy Keller a ajouté: "
Si nous centrons notre vie sur Dieu, en le servant sans rechercher notre propre
intérêt, uniquement par égard pour qui il est, pour sa beauté, et sa gloire,
nous partagerons la joie et l'amour dans lesquels il vit. Nous n'avons donc pas
été conçus uniquement pour croire en Dieu d'une manière générale, ni pour avoir
une vague spiritualité ou inspiration. Nous avons été faits pour axer notre vie
sur lui, pour que le but et la passion de notre vie soient de le connaitre, de
le servir, de l'aimer et de lui ressembler. Et ce bonheur croissant se
poursuivra éternellement, augmentant dans des proportions inimaginables."
Aucun commentaire:
Enregistrer un commentaire
Remarque : Seul un membre de ce blog est autorisé à enregistrer un commentaire.