La bonté de Dieu

PSAUMES 31.2-25
Quand la vie nous sourit, il est facile de louer Dieu parce que sa bonté est évidente.
Nous pouvons toutefois manquer de reconnaître que la douleur et les ennuis sont également des signes de ses soins aimants.
Durant les périodes difficiles, nous devons croire les versets de PSAUMES 31.2-25, qui affirment que l’Éternel tient en réserve sa bonté pour ceux qui le craignent.

Si vous pensez que Dieu n’est bon que lorsque vos circonstances sont agréables, vous n’avez pas saisi sa nature et êtes devenu insensible à sa bienveillance envers vous.
Ceux qui ont appris à le connaître et à lui faire confiance constatent sa bonté évidente en toute situation.
Les difficultés et les épreuves nous empêchent parfois de comprendre sa clémence mais en considérant l'amour et la sagesse de Dieu, nous découvrons toujours qu'il a utilisé nos souffrances pour nous former.
Désormais, quand Dieu agit d’une façon qui vous est désagréable, ouvrez lui votre cœur.
Après avoir cherché à saisir sa perspective et l’avoir écouté, soyez rempli de gratitude et de confiance en sa bonté. C’est ainsi que vous pourrez accepter les choix sages du Père pour votre vie.
Dieu nous couvre de sa bienveillance.
Quand nos circonstances ou nos émotions nous disent autrement, confions-nous en ce que nous savons. Durant la journée, efforçons-nous de trouver des preuves de ses soins envers nous.
Tandis que notre perspective changera, nous verrons l’évidence de sa bonté en tout lieu.


Douter de la bonté de Dieu
GENÈSE 3.1-7
Vivre dans un monde déchu peut nous faire remettre en cause la bonté de Dieu.
La douleur et les souffrances résultant du péché originel peuvent brouiller notre compréhension et nous porter à reprocher nos difficultés à Dieu. 
Pourquoi ne nous délivre-t-il pas toujours de nos peines et de nos problèmes, et ne nous accorde-t-il pas ce que nous souhaitons?

Quand Ève a prêté l’oreille au serpent dans le jardin d’Éden, elle a commencé à douter de l’interdiction du Seigneur concernant l’arbre de la connaissance du bien et du mal.
Pourquoi l’aurait-il privée de sagesse et d’une nourriture qui lui semblait si appétissante?
Nos pensées s’apparentent à celles d’Ève quand nous ne nous entendons pas avec notre Père sur ce qu’il a de mieux pour nous. Nous définissons « bon » ainsi : agréable, charmant, douillet ou profitable.
Les normes divines sont toutefois bien plus élevées que les nôtres, et Dieu s’emploie continuellement à atteindre son but : transformer ses enfants à la ressemblance de Christ.
Chaque restriction et chaque commandement du Seigneur sont motivés par son amour.
Il connaît les conséquences désastreuses du péché et veut nous décourager de faire des choix destructeurs. En refusant de nous soumettre à sa volonté, nous optons pour le malheur.
Par sa désobéissance, Ève a appris que Dieu sait ce qu’il y a de mieux à faire.
Nous avons chaque jour l’occasion de découvrir sa bonté en écoutant sa voix, en obéissant à ses commandements et en nous appuyant sur sa sagesse.
Quoi qu’il nous arrive, nous savons qu’il travaille à notre bien temporel et éternel.

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