vendredi 14 septembre 2018

Une alternative à l'allopathie


Jusqu’à il y a peu de temps, la population occidentale avait une confiance aveugle en la médecine occidentale, mais de plus en personnes commencent à douter de cette confiance aveugle qu’ils avaient en la médecine moderne  et ouvrent les yeux sur une réalité quelque peu effrayante !
La médecine moderne est une médecine allopathique ou plutôt médecine « du symptôme » dans la pratique, c'est à dire qu'elle ne traite pas la ou les causes d'une maladie mais ses symptômes. 
La vision holistique de la maladie a totalement disparu au profit d’une vision étriquée centrée sur le problème en question et elle fait très peu de prévention.
Le lobby pharmaceutique possède aussi un pouvoir immense.
Les laboratoires pharmaceutiques envoient de nombreux visiteurs médicaux pour faire la publicité de leurs nouveaux médicaments auprès des médecins qui perçoivent souvent des avantages s’ils prescrivent le médicament en question, ces avantages sont payés « en nature » : voyages tout frais payés, conférences propagandes… La pression commerciale est immense et la plupart des médecins y succombent par amour de l'argent, du pouvoir, et le désir d'être soi-disant "à la page" !

Ainsi certains médecins vont prescrire un générique (sans vous en informer) et ils vont toucher une commission sur ce produit, alors qu’il est potentiellement plus dangereux que le médicament équivalent qu’il prescrivait avant.
En effet, les médicaments arrivant sur le marché sont surtout des génériques (les progrès en terme de découverte de nouvelles molécules sont minimes).
Le souci est qu’un médicament générique a seulement besoin de démontrer qu’il a les mêmes propriétés de pharmacocinétique que le médicament princeps.
En clair, le laboratoire qui produit un médicament générique n’a pas besoin de montrer la qualité pharmaceutique, l’efficacité ni les potentiels risques quels qu’ils soient.

En clair, les génériques posent deux problèmes parce que :
1/ Le principe actif reste le même mais les excipients (qui ne sont pas anodins) peuvent être tout à fait différents
2/ Le générique a seulement besoin de montrer qu’il a la même pharmacocinétique que le médicament dont il est inspiré, ce qui laisse planer un grand mystère sur ses effets indésirables, surtout lorsqu’on sait que les excipients ne sont pas les mêmes.

En dehors de ça, un problème est bien plus important et plus répandu dans la médecine moderne : le bidouillage des études scientifiques.
Pour qu’un médicament soit mis sur le marché, des études montrant une certaine efficacité, un bon rapport bénéfices/risques, doivent êtres publiés dans la littérature scientifique.
Premièrement, ces études sont financées au moins en partie par les laboratoires pharmaceutiques qui veulent commercialiser ledit médicament, on peut donc déjà se méfier quant aux résultats. 
En effet les conflits d’intérêt sont légion dans le domaine de la santé, et un laboratoire va toujours trouver des résultats positifs dans les études de ses médicaments.
Deuxièmement, les études montrant des résultats négatifs sont pour la plupart totalement évincées et ne sont même pas publiées dans la littérature scientifique.
De la même manière, les résultats des études positives sont améliorés pour embellir le tableau.
Troisièmement, les effets secondaires (parfois très dangereux) sont minimisés voire occultés dans les études scientifiques. Les patients présentant des effets secondaires dérangeant pour la publication de l’étude sont tout simplement éliminés de l’étude.
Il en résulte des médicaments dont on ne connaît pas les effets réels et pouvant être dangereux surtout lorsqu’ils sont consommés à grande échelle. 
Les patients sont les testeurs comme on a pu le voir avec l’affaire du Médiator et toujours actuellement avec les pilules contraceptives.
Il ne faut pas être naïf, le but principal des laboratoires pharmaceutiques est de faire de l’argent, ils se fichent totalement de votre santé, leur but est de vendre le plus possible de médicaments, dangereux ou non, efficaces ou non.

Beaucoup de maladies sont fortement liées au mode de vie : le diabète, les cancers, l’ostéoporose, les maladies auto-immunes, les maladies cardio-vasculaires, les maladies neuro-dégénératives…  
Toutes ces maladies pourraient être évitées dans la plupart des cas si un travail de prévention efficace était fait, en particulier par l’alimentation. 
L’alimentation est, sans exagérer, la première médecine.
C’est grâce à elle qu’on peut se prévenir d’un grand nombre de maladies ou d’en guérir si on est atteint.
Pourtant, la nutrition est enseignée à hauteur de quelques heures dans les facultés de médecine.
Le médecin lambda qui ne s’est pas renseigné de lui-même sur ce sujet (donc une grande majorité de médecins) a donc des notions extrêmement maigres en nutrition. 
Dans ce cadre-là, comment pourrait-il conseiller des patients au niveau de la prévention ? 
Cela dit on ne peut pas forcément les blâmer, ce n’est pas leur faute si ce n’est pas enseigné dans leur cursus.

L’aromathérapie ou la phytothérapie sont totalement délaissés alors qu’elles ont prouvé leur efficacité pendant des millénaires dans la médecine chinoise en particulier. 
Seule une part minoritaire de médecins y a recours.
La médecine officielle a des œillères, elle veut s’imposer comme seule médecine efficace prouvée scientifiquement.
On peut encore faire un parallèle à l’argent : les médecines naturelles étant à base de produits naturels, elles ne rapportent pas grand chose puisqu’une plante n’est pas brevetable alors que l’industrie du médicament rapporte énormément de billets avec les brevets, le remboursement des médicaments…

Le but de cet article n’est évidemment pas de cracher sur la médecine officielle, il est surtout de présenter toutes ses failles de manière constructive pour se défaire de l’idée de la médecine classique toute puissante et aussi de vous mettre en garde sur les potentiels risques des médicaments que vous utilisez.
Bien entendu l’intervention de la médecine moderne se conçoit très bien dans certains cas graves, par exemple la chirurgie a fait des progrès exceptionnels et permet de sauver énormément de vies chaque jour.
Toutefois, une partie de ces opérations pourraient être évitées, soit par de la prévention, soit par des traitements alternatifs pouvant éviter une chirurgie lourde.
Personnellement, j’estime que pour tous les maux du quotidien (du rhume jusqu’à la grippe en passant par l’acné et les maux de ventre, par exemple), la médecine alternative est indispensable et très efficace.
Pour les problèmes plus graves du type cancer, l’alimentation et certaines médecines alternatives ont une place prépondérante et sont indispensables, encore plus si on s’engage dans les traitements de la médecine moderne du type chimiothérapie.
Pour quelque chose d’aussi récalcitrant que le staphylocoque doré, les médecines naturelles s’avèrent plus efficaces que la médecine conventionnelle. 
Alors que les antibiotiques sont tenus en échec, la propolis s’avère terriblement efficace contre cette bactérie. Ne sous-estimons pas la puissance de certains traitements naturels !
L’aromathérapie et la phytothérapie sont une base très solide pour se soigner naturellement, ce sont deux disciplines appuyées sur des milliers d’années d’expérience.

VOUS êtes l’acteur principal de votre santé et ce n’est qu’en respectant ce principe que vous pouvez vous maintenir en bonne santé.

Ayez un mode de vie de bonne qualité (bonne alimentation, du sport…), quelques connaissances en aromathérapie et en phytothérapie, et vous n’aurez pas ou peu besoin de médicaments ni de médecins.
Vous pourrez désormais vous contenter de visites régulières pour faire un bilan global.

En conclusion, si vous avez une confiance inébranlable en la médecine officielle, je vous suggère d’enlever vos œillères et de découvrir ce qui se fait autour. 
Cherchez les dessous de l’industrie pharmaceutique, vous y trouverez une histoire pas toute rose.
Mon conseil est de recourir aux médicaments en cas d’ultime besoin, de concentrer ses efforts sur l’alimentation, le sport et éventuellement les compléments alimentaires...

Et pour terminer ces trois citations qui viennent d’Hippocrate, le père de la médecine moderne sur lequel les médecins font leur serment. 
Constatez par vous-même l’évolution de la médecine depuis la conception hippocratique de la maladie.
« Si quelqu’un désire la santé, il faut d’abord lui demander s’il est prêt à supprimer les causes de sa maladie. Alors seulement il est possible de l’avoir. »
« Si tu es malade, recherche d’abord ce que tu as fait pour le devenir. »
« Que ton aliment soit ta seule médecine. »
 Un article de Fabien Delcourt

Pour lire plus d'articles SANTE, 



Aucun commentaire:

Enregistrer un commentaire

Remarque : Seul un membre de ce blog est autorisé à enregistrer un commentaire.

Lily Bellule et Hippo-Tamtam

  Lily Bellule et Hippo-Tamtam Un conte poétique sur l'hypersensibilité émotionnelle Sophie Lavie (auteure et illustratrice)   Ja...