Le
psoriasis plonge ses racines dans un terreau mêlant hérédité, causes environnementales, émotions et psyché.
Et
au final tout se rejoint sur le terrain immunitaire dans ce qui ressemble bien
à un emballement auto-immun.
Pour résumer :
- Le psoriasis est souvent héréditaire (dans au moins un tiers des cas).
- C'est un dérèglement du système immunitaire.
- Il se déclenche, s'active ou se réactive sans que l'on sache toujours pourquoi, à la suite d'une banale infection, d'un déséquilibre de la flore intestinale, d'une luxation, d'une vaccination ou de la prise d'un médicament (bêtabloquants, antipaludéens, lithium...).
- La pression nerveuse en est le ressort.
- A la longue, il peut générer des complications rhumatismales, comme l'arthrite psoriasique.
Les remèdes
classiques sont à double tranchant :
- Les corticoïdes et corticostéroïdes, risquent de déstabiliser le psoriasis cutané, provoquant des poussées cutanées encore plus violentes lors de la diminution des doses.
- Les anti-inflammatoires non stéroïdiens (tels que l’Apranax, le Voltarene, le Bi-Profénid … que l’on a souvent tendance à confondre avec les antalgiques) ont en revanche une efficacité beaucoup plus spectaculaire, mais souvent de courte durée.
- Le traitement de référence (utilisé depuis les années 50 !), est le méthotrexate. Il donne de bons résultats dans 70% des cas environ. Mais les effets secondaires sont lourds et parfois pire que le mal, car le méthotrexate peut provoquer des perturbations au niveau sanguin, notamment une diminution des globules blancs et rouges.
- Un autre traitement général est la ciclosporine. Un traitement prescrit pour six mois maximum, en raison de sa toxicité rénale.
- Il faut aussi mentionner une invention récente la biothérapie (méthode récente et coûteuse, qui consiste à injecter des substances qui vont bloquer l'immunité à la source.
Ces remèdes
sont par nature dangereux car sans guérir le psoriasis (ils le calment certes
mais l'entretiennent en même temps et vous rendent dépendants), ils ouvrent la
porte de vos défenses à tous les vents laissant votre organisme désarmé, à la
moindre infection comme à la menace
cancéreuse. Et les solutions traditionnelles, pour être honnêtes, permettent
plus souvent de soulager et de stopper la desquamation que de traiter en
profondeur.
Autrefois on
soignait le psoriasis par des bains de mer réguliers, ou avec des sels de
mer et du bicarbonate.
Ainsi, une cure de bains quotidiens dans la
mer Morte sur une durée de 3 semaines améliore généralement le malade et lui
procure des périodes de rémission de plusieurs mois.
En comparaison, le méthotrexate,
paraît totalement inefficace.
La mer morte
n'est pas à la portée de tous… voyons donc quels autres traitements alternatifs
à l'allopathie peuvent traiter le problème en profondeur :
Le psoriasis
correspond à une pathologie d’élimination
de déchets par la peau, au niveau des cheveux, des genoux, des coudes…
Une faiblesse du foie et des intestins peut
y être associée puisque ces organes sont chargés d’éliminer les toxiques. Une
cure de trois semaines de décoction de
chardon-Marie peut atténuer le mal.
Cette
maladie étant typiquement psychosomatique, tout ce qui peut améliorer la gestion du stress en soutenant
le système nerveux est à prendre.
Dans de
nombreux cas, l’apparition du psoriasis fait suite à un événement traumatique qui
remonte parfois jusqu’à six mois avant la première atteinte. Le stress
d'une séparation (au sens large) est un gros facteur déclenchant.
La recherche
la plus avancée, la psycho-neuro-immunologie tend à démontrer que,
lorsque nos hormones du système
neurovégétatif ne parviennent plus à tempérer la tension mentale
nerveuse, quand la fabrication de neurotransmetteurs calmants n'est plus
possible, la peau, déraille.
Ce n'est qu'une hypothèse mais tout se passe comme
si les plaques de psoriasis apparaissaient quand les capacités de réponse du
système nerveux atteignaient leurs limites.
En période
de poussées, quelques gestes simples permettent d’empêcher que la situation
n’empire :
- Évitez absolument de gratter les plaques.
- Après le bain ou la douche, hydratez en appliquant sur la peau mouillée une goutte d’huile de rose musquée en massant doucement.
- N’utilisez pas de produits à base d’alcool sur la peau.
- Pour le cuir chevelu, massez le cuir chevelu avec de l’hydrolat de bois de santal.
- Exposez-vous au soleil.
- Adoptez un régime alimentaire approprié sans gâteaux secs, chocolat, sucres, charcuteries… Avec un peu de volonté, vous ferez une mono-diète de pommes cuites (on rapporte au moins 50% d'amélioration) : choisir des pommes de qualité bio, les faire cuire dans une casserole en morceaux ou entières au four, les manger sans rien ajouter pendant 5 à 7 jours.
C'est en
tâtonnant pendant plus de 20 ans que le Dr Paul Dupont, dermato, ancien chef de clinique, a fini par
découvrir empiriquement un remède qui emprunte cette voie nerveuse : la lécithine marine.
Et cette
solution, qui remplace avantageusement le méthotrexate, ne ressemble pas à un placebo car elle a
d'abord été appliquée à des patients qui ne s'en sortaient pas et que l'on
avait fini de convaincre que leur psoriasis était incurable.
La lécithine
est une substance naturelle composée de plusieurs phospholipides qui alimentent
notre système nerveux, notre cerveau, entre autres.
Dans ces
tests où les patients avaient stoppé tout traitement (sauf émollients), une
diminution des symptômes a été observée après 3 mois de traitement et une
cicatrisation des plaques, chez la grande majorité des sujets, après 6 mois.
L'avantage
de la lécithine marine serait d'être bien mieux assimilée au niveau de la peau
que les seuls omégas 3.
Cependant il
faut en prendre en quantité suffisante et sur la durée pour en bénéficier
pleinement.
On en trouve
sous différentes formes : en
gélules pour le traitement de fond, en liquide pour le traitement d'attaque, et
en crème pour appliquer directement sur la peau.
Mais le
remède central du protocole reste les gélules de lécithine de manière à
rééquilibrer le terrain.
L'effet sur
les nerfs est marqué, si bien qu'il n'est pas rare que la personne se sente
plus cool au bout de quelques semaines de traitement.
L’arthrite
psoriasique (AP) est une forme d’arthrite inflammatoire de type auto-immune.
Dans l’AP,
l’attaque immunitaire entraîne de l’enflure, de la douleur et une sensation de
chaleur (inflammation) dans les articulations.
Dans la
plupart des cas, l’AP survient après l’apparition d’un psoriasis, même si le
psoriasis n’entraîne pas toujours une AP.
En général,
l’AP survient lentement. Elle apparaît d’abord dans quelques articulations puis
en atteint d’autres au cours des semaines ou des mois qui suivent.
Dans de
rares cas, l’AP est grave et se déclare rapidement.
L’AP est une maladie atypique, car les symptômes varient grandement d’une personne
à l’autre.
Les médecins
ont défini cinq grands tableaux cliniques de l’AP.
- Dans le tableau asymétrique – l’une des formes les plus bénignes – l’AP touche une à trois articulations des deux côtés du corps.
- Dans le tableau symétrique, l’AP touche de nombreuses autres articulations et ressemble beaucoup à la polyarthrite rhumatoïde.
- Dans le tableau distal, l’AP intéresse les articulations du bout des doigts les plus proches des ongles. Dans le tableau spinal, l’AP intéresse les articulations de la colonne vertébrale et les articulations sacro-iliaques, qui relient la colonne au bassin.
- Enfin, dans le tableau destructeur, qui est très rare, l’AP est une forme d’arthrite grave, douloureuse et déformante aussi appelée « arthrite mutilante ».
- L’AP peut également provoquer une inflammation des tendons entourant les articulations, c’est-à-dire une enthésite.
Les causes
de l’AP sont inconnues, mais on sait que l’hérédité y joue un rôle très important.
Si un membre de votre
famille est atteint de psoriasis ou d’arthrite psoriasique, vous êtes plus
susceptible de souffrir un jour d’AP.
Cependant,
le fait d’avoir une prédisposition génétique ne veut pas nécessairement dire
qu’on souffrira un jour d’AP.
Pour que la maladie apparaisse, il faut toujours
qu’un facteur en opère le déclenchement.
Or, divers
facteurs pourraient déclencher l’AP, mais on ne les connaît malheureusement
pas.
Il pourrait s’agir d’une infection virale, d’un traumatisme ou d’un autre
facteur lié à l’environnement.
Il est aussi
très important d'éviter tout ce qui peut enflammer et acidifier l'intestin...
donc pas de produits laitiers ,
diminuer tout ce qui contient du gluten et le sucre pur.
Comme
anti-inflammatoire naturel spécifique de cette pathologie, on peut conseiller
le Securidaca, aux effets immuno-modulateurs, anti-inflammatoires et détoxicants,
spécifique des affections cutanées (psoriasis, eczéma).
- Oemine pso : 4 gélules matin et soir
Et lors des
poussées
- Securidaca 4 cuil à café dans un litre d'eau à boire lors des repas par cure de 10 jours