Dans le domaine des affaires, de la science et des sports, il est essentiel d’attendre le moment propice.
Il en est de même dans la vie du croyant.
Pour rester en phase avec le Seigneur, nous devons suivre son programme.
Dans le royaume de Dieu, l’attente est synonyme de demeurer dans notre situation tandis que nous comptons sur sa direction.
Elle comprend tant l’expectative (« Seigneur, que veux‑tu que je fasse? ») que la préparation (« Seigneur, je suis prêt à aller où tu m’enverras. »).
C’est la démarche la plus judicieuse à suivre car :
1. Nous recevons sa direction.
Il arrive trop souvent que nos amis ou la société influencent nos choix. Dieu est cependant la seule source de véritable sagesse. Il connaît tout, nous répond selon sa connaissance infinie et désire bien diriger toutes nos décisions, importantes ou non. Il veut ce qu’il y a de mieux pour nous, qu’il s’agisse de notre mariage, de nos études, de nos affaires ou de nos amitiés (Psaumes 32.8).
2. Nous suivons son programme.
Dieu se sert de la période d’attente pour nous aligner sur son programme. Les autres pourront croire que nous tardons sans raison, mais si nous agissons de concert avec le Seigneur, la paix remplira notre cœur.
3. Nous sommes prêts à recevoir sa réponse et ses directives.
Dieu pourra utiliser une période d’attente pour nous faire voir nos motifs douteux et nos péchés, et pour affermir notre foi.
Pour être sage, il faut écouter le Seigneur.
Quand, pour la dernière fois, vous êtes‑vous attendu à lui afin d’entendre ses consignes?
La décision la plus sage consiste toujours à attendre le moment propice de Dieu.
Si nous prenons les devants ou tardons, notre choix nous coûtera souvent cher.
Faire la bonne chose au mauvais moment nous rend vulnérables aux attaques de Satan et peut nous priver de la bénédiction divine.
Suivre notre propre programme peut aussi nous déconcerter, ainsi que notre entourage, puisque la situation évolue rarement de la façon anticipée.
Il arrive alors que les résultats obtenus diffèrent de nos attentes et nous causent même des problèmes.
En refusant de nous attendre à Dieu, nous nous imposons souvent des maux inutiles.
Si nous achetons des vêtements superflus, des dispositifs électroniques et autres plaisirs à crédit, nous pourrions nous endetter lourdement.
Nos finances pourrait en souffrir, et nous ne verrions pas de solution à ces ennuis.
Si nous gérons notre argent selon les principes bibliques, notre mode de vie sera plus sobre, mais nous jouirons de la tranquillité d’esprit.
Ou encore : En quittant un emploi avant que le Seigneur nous en ait libérés, nous pourrions ne pas apprendre ce qu’il voulait nous y enseigner.
Nous pourrions d’ailleurs comprendre par la suite que, si nous avions patienté encore un peu, Dieu aurait changé la situation ou notre attitude à ce sujet.
Pour nous attendre au Seigneur, nous avons besoin de certaines qualités : la patience de supporter notre situation actuelle, la persévérance pour assumer nos responsabilités et le courage de faire confiance à Dieu en attendant qu’il nous révèle sa solution. Savez‑vous attendre?
Magazine en Contact
Elle comprend tant l’expectative (« Seigneur, que veux‑tu que je fasse? ») que la préparation (« Seigneur, je suis prêt à aller où tu m’enverras. »).
C’est la démarche la plus judicieuse à suivre car :
1. Nous recevons sa direction.
Il arrive trop souvent que nos amis ou la société influencent nos choix. Dieu est cependant la seule source de véritable sagesse. Il connaît tout, nous répond selon sa connaissance infinie et désire bien diriger toutes nos décisions, importantes ou non. Il veut ce qu’il y a de mieux pour nous, qu’il s’agisse de notre mariage, de nos études, de nos affaires ou de nos amitiés (Psaumes 32.8).
2. Nous suivons son programme.
Dieu se sert de la période d’attente pour nous aligner sur son programme. Les autres pourront croire que nous tardons sans raison, mais si nous agissons de concert avec le Seigneur, la paix remplira notre cœur.
3. Nous sommes prêts à recevoir sa réponse et ses directives.
Dieu pourra utiliser une période d’attente pour nous faire voir nos motifs douteux et nos péchés, et pour affermir notre foi.
Pour être sage, il faut écouter le Seigneur.
Quand, pour la dernière fois, vous êtes‑vous attendu à lui afin d’entendre ses consignes?
La décision la plus sage consiste toujours à attendre le moment propice de Dieu.
Si nous prenons les devants ou tardons, notre choix nous coûtera souvent cher.
Faire la bonne chose au mauvais moment nous rend vulnérables aux attaques de Satan et peut nous priver de la bénédiction divine.
Suivre notre propre programme peut aussi nous déconcerter, ainsi que notre entourage, puisque la situation évolue rarement de la façon anticipée.
Il arrive alors que les résultats obtenus diffèrent de nos attentes et nous causent même des problèmes.
En refusant de nous attendre à Dieu, nous nous imposons souvent des maux inutiles.
Si nous achetons des vêtements superflus, des dispositifs électroniques et autres plaisirs à crédit, nous pourrions nous endetter lourdement.
Nos finances pourrait en souffrir, et nous ne verrions pas de solution à ces ennuis.
Si nous gérons notre argent selon les principes bibliques, notre mode de vie sera plus sobre, mais nous jouirons de la tranquillité d’esprit.
Ou encore : En quittant un emploi avant que le Seigneur nous en ait libérés, nous pourrions ne pas apprendre ce qu’il voulait nous y enseigner.
Nous pourrions d’ailleurs comprendre par la suite que, si nous avions patienté encore un peu, Dieu aurait changé la situation ou notre attitude à ce sujet.
Pour nous attendre au Seigneur, nous avons besoin de certaines qualités : la patience de supporter notre situation actuelle, la persévérance pour assumer nos responsabilités et le courage de faire confiance à Dieu en attendant qu’il nous révèle sa solution. Savez‑vous attendre?
Magazine en Contact
Aucun commentaire:
Enregistrer un commentaire
Remarque : Seul un membre de ce blog est autorisé à enregistrer un commentaire.