vendredi 13 janvier 2017

Encore malade?

PROVERBES 3.3‑6

Si Dieu est tout‑puissant, pourquoi voyons‑nous si peu de guérisons miraculeuses?
Il existe plusieurs raisons. Parfois, nous ne le lui demandons pas. 
D'autres fois, nous le lui demandons, mais en entretenant de mauvais motifs. 
Et il arrive aussi que Dieu choisisse de ne pas nous guérir.
Gare à la théologie qui promet la guérison à quiconque la requiert, parce qu’elle n’est pas biblique.
Attention également à quiconque prétend qu’une longue maladie résulte du péché.
Cela peut être vrai, mais souvent, notre Père sage et aimant permet tout simplement à nos maux de persister.
Pensons à Paul qui a demandé à trois reprises au Seigneur de lui enlever son « écharde » (2 Corinthiens 12.7,8).
Malgré ses requêtes, il l’a gardée.
La réponse de l’apôtre nous enseigne qu’il n’a pas remis en question l’autorité divine et qu’il ne s’est pas plaint. Il a plutôt reconnu que la force de Dieu se manifesterait dans sa faiblesse.
Il s’est confié en Dieu.
Nous pouvons aussi croire que toutes choses concourent au bien des enfants de Dieu (Romains 8.28).
Il est également vrai que nous croissons d’habitude en période de souffrance, de perte ou de douleur.
Si l’épreuve est pénible, nous pouvons espérer en Dieu et nous réjouir de ce qu’il accomplit en nous par elle.
En définitive, Dieu se glorifie et fait du bien à ses enfants.
Il arrive que cela comporte une guérison miraculeuse, mais il nous raffine aussi en laissant persister l’épreuve. Comme on enlève les scories des métaux précieux en les passant au feu, Dieu enlève les imperfections de notre cœur par l’adversité.
Confions‑nous en Dieu et en son amour.

L’épreuve produit l’endurance
JACQUES 1.2‑4

« Pourquoi un Père aimant permettrait‑il que ses enfants connaissent de terribles épreuves ainsi que la douleur? »
Voilà une question que l’on entend souvent, et pour cause.
Il peut être déboussolant de constater que le Tout‑Puissant semble demeurer silencieux tandis que ses enfants souffrent.
Où se cache‑t‑il quand ils vivent des tragédies personnelles, des désastres naturels, des revers financiers et d’autres épreuves?
On ne trouve la vraie réponse que dans la Parole.
Malgré tout, les versets de JACQUES 1.2‑4 peuvent être difficiles à comprendre ou à accepter.
On pourrait lire l’exhortation de Jacques à se réjouir en dépit des problèmes et penser : Pas pour moi, merci!
Les soucis et la joie semblent s’exclure mutuellement, jusqu'à ce que l’on saisisse la perspective de Dieu.
Lorsque Jacques parle de joie, il n’entend pas la gaieté et l’entrain, mais plutôt le calme, la paix et la confiance en Dieu.
Il ne nous recommande pas de nous réjouir de nos épreuves, mais d’être conscients du fait que le Seigneur est en train de créer du bien dans notre vie.
Notre réaction à l’épreuve déterminera dans quel état nous serons lorsqu'elle prendra fin.
Quand le Seigneur permet l’épreuve, c’est pour produire la persévérance en nous.
Cette connaissance nous donne espoir et force. En outre, la Bible promet que Dieu se sert de la douleur à notre avantage; nous n’avons donc pas à craindre ou à être inquiets.
Dieu veut nous bénir, et non nous détruire.
En traversant les difficultés, nous pourrions avoir l’impression d’être des victimes, mais les disciples de Christ peuvent choisir d’être des vainqueurs!

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