Quelques questions à se poser en rapport avec une célébration populaire ou une coutume
Ses origines sont-elles manifestement liées à une pratique ou à un enseignement de la fausse religion, par exemple au spiritisme ?
Est-elle une marque d’honneur déplacée, voire de l’adulation, envers un humain, une institution ou un emblème national ?
Est-ce qu’elle élève une nation ou un groupe ethnique au-dessus des autres ?
Est-ce qu’elle reflète “ l’esprit du monde ” qui s’oppose à l’action de l’esprit saint de Dieu ?
Ma participation risque-t-elle de faire trébucher quelqu’un ?
Si je décide de ne pas y participer, comment est-ce que je pourrais expliquer respectueusement ma décision à autrui ?
Les passages suivants permettent d’affiner la réflexion sur les coutumes populaires :
Les Israélites infidèles “ se sont mêlés aux nations et ont appris leurs œuvres ”.
“ Celui qui est fidèle dans ce qui est tout petit est fidèle aussi dans ce qui est beaucoup, et celui qui est injuste dans ce qui est tout petit est injuste aussi dans ce qui est beaucoup. ”
“ Vous ne faites pas partie du monde. ”
“ Vous ne pouvez avoir part à ‘ la table de Jéhovah ’ et à la table des démons. ”
“ Pour vous [...] c’est bien assez d’avoir dans le temps passé accompli la volonté des nations, quand vous alliez dans les dérèglements, passions, excès de vin, orgies, beuveries et idolâtries criminelles. ”
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