mardi 1 août 2017

Foie gras

Avoir un foie trop gras est une infection très courante chez les populations des sociétés modernes. 
Ce problème se dénomme stéatose hépatique.
Cette maladie hépatique est d’ailleurs considérée comme la plus récurrente. 
Vivre avec elle est quelque chose de compliqué et douloureux. 
Un foie trop gras provoque de la fatigue et des ballonnements, ainsi qu’une sensation de lourdeur abdominale. 
Il est donc nécessaire d’apprendre à soigner cette maladie pour améliorer notre qualité de vie.
Pour cela, il faudra suivre une bonne alimentation et faire un peu d’exercice. 
C’est la base de tout traitement. 
Ainsi, nous arriverons à changer la situation dont souffre notre foie. 
En effet, ce dernier retrouvera enfin son état original et sain.
Déterminer de manière précise et  concise la stéatose hépatique semble compliqué. En effet, il n’existe pas de facteurs particuliers responsables d’un fois trop gras.
Cependant, les experts évoquent un large éventail de raisons.
Parmi elles, nous pouvons citer :
  • Les problèmes métaboliques.
  • Le stress oxydatif.
  • L’obésité
  • Les problèmes nutritionnels.
  • Le diabète.
  • La consommation excessive de sucres ou de graisses.
  • La présence de toxines dans le corps.
  • L’association avec d’autres maladies, comme l’hépatite ou une inflammation intestinale.
Que dois-je manger ?
  • Des fibres : Elles sont indispensables. Elles nous donnent la sensation d’être rassasié, ce qui nous permet de contrôler notre appétit. Nous consommerons alors moins de gras et moins de sucres.
  • Du pain complet, du riz complet et des pâtes complètes al dente.
  • Des légumes.
  • Évitez le sucre. 
  • Évitez le lait de vache (fromages, yaourts, crème...)
  • Augmentez votre apport en vitamine A, C, E et en sélénium. Ajoutez ces éléments à votre alimentation, car ils évitent la dégénérescence des cellules. Nous vous conseillons les aliments suivants : les poissons gras, le jaune d’œuf, les tomates, le brocoli, les poivrons , les noix, les épinards et les avocats. Pour ce qui est du sélénium, nous pouvons le trouver dans les pistaches,les noix de cajou, les graines de citrouille, les champignons ou bien dans le son de blé. C’est un puissant antioxydant qui détoxifie le foie.
  • Éliminez totalement l'alcool de votre alimentation
  • Le citron est probablement un élément indispensable contre un foie trop gras. Il sera très bénéfique. Vous pouvez l’ajouter à vos salades, où même à l’eau que vous buvez. Nous vous recommandons particulièrement de l’associer à la carotte.
  • le chardon-marie : Cette plante est très efficace pour nettoyer et renforcer notre foie. Elle le reconstruit et agit comme antioxydant. Le chardon-marie stimule la croissance de nouvelles cellules et permet de digérer les graisses. Vous pouvez le trouver sous forme de gélules chez les herboristes.

  • Le jus de noni :  Les bienfaits sont multiples. Le jus de noni présente une concentration élevée en fibres, réduit le cholestérol et favorise la reconstitution du foie. Vous pouvez prendre deux gélules avant le petit-déjeuner.

  • La spiruline : Elle détoxifie et restaure le foie. La spiruline est riche en magnésium et en vitamine B6, ce qui idéal pour lutter contre un foie trop gras. En plus de cela, elle nous apporte des vitamines en grande quantité.


Pour lutter contre un foie gras il faut éviter au maximum les médicaments et il faut marcher au moins 30 minutes par jour.

Les aliments qui font baisser le cholestérol:

L’aubergine  : à l’origine, l’aubergine est un légume à basse teneur calorique (25 kcal/100 g).
Les lentilles, les pois chiches, les haricots rouges...
Ces légumineuses ont l’inconvénient d’être longues à cuisiner.
Si vous n’avez pas le temps, on en trouve dans le commerce déjà préparées, mais
veillez à ce qu’elles soient natures.

Les carottes :  En consommant l’équivalent de deux carottes par jour, soit 200 grammes environ, on peut baisser son taux de mauvais cholestérol de 11 %.
C’est ce qu’a démontré une étude réalisée aux États-Unis.
La carotte contient des fibres et des pectines qui vont littéralement piéger les graisses dans le tube digestif et diminuer considérablement leur absorption et leur passage dans le sang.
De plus, les carottes sont riches en vitamine E, qui agit contre le LDL cholestérol.
Elles représentent en outre un apport très faible en calories (40 kcal/100 g) et permettent une digestion calme et harmonieuse.



Le thé vert : il peut diminuer le taux de LDL cholestérol jusqu’à 16 %, ce qui est significatif.  
Le seul inconvénient est qu’il faut consommer au moins 10 tasses par jour pour obtenir ce résultat. Cela reste possible, mais il faut veiller à consommer le thé vert en première partie de journée car prise le soir, cette boisson peut perturber le sommeil chez certains sujets sensibles.




Une poignée de noix pour des années de vie :
Une étude d’envergure a été réalisée à l’université de Harvard.
Le docteur Fuchs et ses collègues ont collecté les données de 120 000 personnes suivies pendant trente ans pour mesurer l’impact de leur mode de vie et de leurs habitudes alimentaires sur leur santé et leur longévité.
Le recul est désormais suffisant pour identifier les aliments les plus efficaces en termes de prévention
santé. Car ce qui est ressorti de cette étude est très surprenant, à commencer par la puissance protectrice des noix.
Les noix se consomment toute l’année, seules ou pour agrémenter un plat comme une salade.
De nombreuses études ont été réalisées pour évaluer l’impact de la consommation quotidienne de noix sur la santé.
La bonne dose semble être une petite poignée de noix une fois la coque enlevée.
Avec six noix, vous obtenez la juste quantité, ce qui représente environ 140 calories.
Il existe dans le commerce des noix déjà décortiquées, qui présentent exactement les mêmes propriétés nutritionnelles.
Le fait de consommer chaque jour des noix permet de réduire d’environ 7,5 % – avec, chez certains sujets, des baisses allant jusqu’à 16 % – le taux de mauvais cholestérol.
Des études ont été conduites sur les autres fruits à coque, en particulier les amandes et les noisettes et les résultats se sont également avérés positifs sur la baisse du cholestérol.
Dans tous les cas, veillez à choisir des mélanges sans sel.
D’autres recherches ont porté sur l’effet cardioprotecteur des noix, de par la présence des oméga 3. Enfin, il a été noté une amélioration de l’élasticité artérielle.
Les noix sont très caloriques, puisque 100 grammes apportent en moyenne 600 calories.
Mais surprise : les sujets qui ont décidé de consommer tous les jours des noix pour réduire leur taux de mauvais cholestérol n’ont pas grossi, malgré ce supplément calorique important.
En pratique, il s’agissait d’absorber quotidiennement jusqu’à 400 calories de plus apportées par les noix. Pourtant,
l’aiguille de la balance n’a pas bougé pour autant.
Les chercheurs ont émis plusieurs hypothèses pour expliquer ce phénomène.
 Les noix procurent une sensation de satiété, elles contiennent beaucoup de fibres et leur digestion entraînerait une dépense énergétique plus grande.
Il semblerait que les noix interviennent pour diminuer l’inflammation digestive qui se produit après les repas.
 La mesure de la protéine C réactive, qui est un marqueur de l’inflammation, en témoigne.
Lorsqu’il est augmenté, ce marqueur majore le risque de maladies cardiovasculaires.
Au cours d’un régime à base d’aliments abaissant naturellement le cholestérol, elle diminue.


Le foie est notre centre antipoison.
C’est le filtre qui nous permet d’éliminer quotidiennement les déchets.
Il faut l’imaginer comme une grosse usine qui doit fonctionner à plein régime pour faire son travail.
Il se trouve que le foie est l’organe le plus chaud de l’organisme.
Il se situe au moins à 1 degré Celsius au-dessus de la température rectale.
Cette chaleur est nécessaire pour qu’il puisse éliminer dans les meilleures conditions les toxines que nous absorbons tous les jours.
Le fait de placer une bouillotte chaude, à 40 degrés Celsius, près du foie et de la vésicule biliaire va rendre optimales les conditions pour que le foie puisse effectuer son travail de « détox » journalier.
La température favorise la destruction des pathogènes, reproduisant des conditions immunitaires optimales.
En effet, en cas d’infection par exemple, la température corporelle augmente pour mieux se défendre contre les agressions microbiennes.
La chaleur en face de la vésicule biliaire favorise sa contraction et l’élimination de la bile.
Le tout permet de soulager les douleurs par une meilleure élimination et une aide précieuse au niveau du côlon en facilitant l’évacuation des matières fécales et des gaz intestinaux, ce qui diminue la
distorsion colique.
Nous comprenons ainsi le double effet positif de la bouillotte sur le côlon irritable et les douleurs coliques.
L’effet de blocage des récepteurs à la douleur et l’action de vidange biliaire ainsi que son action au niveau colique favorisent le ventre plat. C’est le bonus de la bouillotte.


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