Ami pèlerin, ne dites pas en votre cœur : « J’irai ici et là, et je ne pècherai pas », car vous n’êtes jamais hors d’atteinte du péché pour prendre la sécurité pour acquise. Le chemin est très boueux, et il ne vous sera pas aisé de trouver un itinéraire où vous ne salirez pas vos vêtements.
Nous vivons en un monde plein de goudron. Vous aurez besoin de veiller souvent si vous voulez garder les mains propres lors de vos contacts avec ce monde. Il y a des brigands à tous les détours de la route, prêts à vous dérober tous vos objets de valeur. Une tentation se loge au sein de chaque bénédiction, et toute joie renferme un piège.Le fait que vous parveniez un jour au ciel est un miracle de grâce qu’il faut attribuer entièrement à la puissance de votre Père. Tenez-vous sur vos gardes. L’homme qui porte un tonneau de poudre à canon prend soin de ne pas s’approcher d’une chandelle. Vous aussi devez veiller à ne pas entrer en tentation. Même vos actions les plus communes sont des outils très tranchants. Prene z garde à la manière dont vous les manipulez.Il n’existe rien d ans ce monde pour encourager la piété du chrétien, mais tout conspire à la détruire. Comme vous devriez vous attacher à porter les regards vers Dieu, afin qu’il vous garde ! Vous devriez prier: « Sois mon appui, pour que je sois sauvé » (Psaume 119.117). Après avoir prié, il vous faut aussi veiller, en gardant chaque pensée, action et parole d’une sainte jalousie.Ne vous exposez pas inutilement mais, si vous êtes appelé à être exposé, si Dieu vous demande d’aller là où les flèches volent bas, ne vous y aventurez jamais sans prendre votre bouclier. En effet, si jamais le diable vous trouve sans ce bouclier, il se réjouira que son heure de triomphe a sonné, et il ne tardera pas à vous abattre, transpercé par ses traits. Bien qu’il ne puisse vous détruire complètement, il ne manquera pas de vous blesser.« Soyez sobre, veillez, car le danger peut se présenter à l’heure où vous vous pensez le plus en sécurité. » C’est pourquoi, veillez sur vos voies et prenez garde dans la prière. Personne n’est ja mais tombé dans l’erreur parce qu’il veillait trop sur ses voies. Puisse le Saint-Esprit nous guider dans toutes nos voies, de sorte que nous donnions toujours plaisir au Seigneur." Charles Spurgeon
« Il agit de tout son cœur, et il réussit dans tout ce qu’il entreprit. » 2 Chroniques 31.21
Il ne s’agit pas d’un exemple inhabituel. L’univers possède une règle générale en ce que celui qui accomplit son travail de tout son cœur connaît souvent la prospérité. En revanche, ceux qui s’attellent à leur tâche en laissant la moitié de leur cœur derrière, sont presque certains d’échouer. Dieu n’accorde aux paresseux qu’une moisson de chardons. Il ne se plaît pas non plus à envoyer la richesse à ceux qui ne creusent pas pour trouver le trésor caché dans le champ.
On reconnaît universellement que, si quelqu’un veut connaître la
prospérité, il doit faire preuve de diligence dans son ouvrage. Il en
est de même dans les choses de la foi. Si vous voulez prospérer dans
votre œuvre pour Jésus, faites-en une œuvre de cœur, et accomplissez-la
de tout votre cœur. Mettez autant de force, d’énergie, de cœur et de
sérieux dans votre vie spirituelle que vous en avez jamais mis pour vos
affaires, car la cause le mérite bien davantage.
Le Saint-Esprit assiste notre faiblesse, mais il n’encourage pas notre paresse. Il aime le croyant actif. Qui sont les hommes les plus actifs dans l’Église chrétienne ? Ceux qui font ce qu’ils entreprennent pour Dieu de tout leur cœur. Qui sont les meilleurs moniteurs de l’école du dimanche ? Ceux qui ont le plus de talents ? Non, mais ceux qui possèdent le plus de zèle. Les hommes dont le cœur est en feu sont ceux qui voient le Seigneur se manifester avec succès dans toute la majesté de son salut. » Charles Spurgeon
"Les personnes de la Trinité (Dieu- Jésus- L'Esprit Saint) fusionnent dans un tourbillon d'amour, dans une unité bénie, tout en restant néanmoins actives en tant qu'individus distincts dans l'œuvre qu'ils accomplissent en commun. Toute vie créée trouve son être dans le mouvement d'amour vers la fécondité et l'union de la Trinité."Jeff Imbach
Ce tourbillon d'amour continu et simultané de mouvements vers l'union et la particularité est le centre de la créativité et de la passion selon Dieu. C'est la richesse qui fait que chaque empreint e digitale, chaque flocon de neige est si incroyablement semblable aux autres et si merveilleusement différent.Cela fait de la vie un modèle qui change indéfiniment quoique toute création soit née de ce tourbillon d'amour initial. Autrement dit, la vie Divine et Trinitaire est la matrice de toute la création." Xavier Lavie
"Comme un cheval indompté, notre mauvaise nature penche vers l’égarement. Puisse la grâce de Dieu museler cette nature rebelle, la retenir et l’empêcher de s’engouffrer dans la transgression. Que ferait le meilleur d’entre nous si la providence et la grâce de Dieu ne plaçait pas sur lui des retenues !" Charles Spurgeon
"Tenez vos possessions de manière si lâche que, lorsqu'elles sont perdues dans les sacrifices d'amour, votre confiance en un trésor suprême dans le ciel vous remplira de joie." John Piper
"A moins que la grâce divine préserve la pureté de la robe la plus blanche, cette dernière sera souillée par les taches les plus sales. Chrétien expérimenté, ne vous vantez pas de votre expérience. Vous trébucherez encore si vous détournez les regards de Celui qui peut vous préserver de toute chute. Vous, dont l’amour est fervent, la foi constante, et l’espérance bien vivante, ne dites pas : « Je ne pécherai jamais. » Écriez-vous plutôt : « Ne nous induis pas en tentation. »" Charles Spurgeon
"Les moments de joie vraiment merveilleux dans ce monde ne sont pas des moments d'auto-satisfaction, mais des oublis de soi." John Piper
"Il y a, dans le cœur du meilleur des hommes, assez de bois mort pour embraser un feu qui brûlera jusqu’au plus profond de l’enfer, à moins que le Seigneur n’éteigne les étincelles alors qu’elles l’atteignent. Que la sagesse infinie nous guérisse de la folie de nous confier en nous-mêmes." Charles Spurgeon
"Les premiers chrétiens n'ont pas commencé par des spéculations sur la métaphysique de l'incarnation, ils n'ont pas retranché la christologie du récit évangélique. Ils se sont d'abord intéressés à des histoires qui parlaient de Jésus et de ceux qui vécurent avec lui. Pour le dire autrement, c'est par la forme même de leurs discours que les auteurs des évangiles ont d'abord pu nous entrainer à inscrire nos vies dans les pas de Jésus. Qui ne suit pas Jésus ne peut pas connaitre Jésus. S'engager à la suite de Jésus implique de comprendre qui il est. Dans un sens, on suit Jésus avant de le connaitre. De même, on connait Jésus avant de se connaitre soi-même. Comment pourrions-nous reconnaitre notre péché, notre ignorance, notre rachat et notre salut, sans que le fondement de notre être ne nous ait été dévoilé, comme il l'a été aux premiers disciples ? En racontant ces histoires, nous venons à voir la signification et la cohérence de nos vies qui apparaissent comme un don. Elles ne sont pas le fruit d'un acte héroïque et créateur de notre part, mais elles doivent être racontées et nous ne pouvons pas les connaitre sans une communauté de foi. La petite histoire que j'appelle ma vie reçoit alors une signification éternelle et cosmique, intégrée à la grande histoire du salut ! Le sens de nos vies est lié à l'histoire des autres !" Stanley Hauerwas
Chaque fois que nous avons le privilège de manger le pain que Jésus donne, nous sommes rassasiés par un doux et complet repas. Quand Jésus est l’hôte, nul invité ne sort à vide de la table.
Notre tête est rassasiée de la précieuse vérité que Jésus révèle. Notre cœur se repaît de Jésus, car il le voit comme le merveilleux objet de son affection. Notre espérance se rassasie car, qui d’autre avons-nous au ciel que Jésus ? Notre désir est repus car, que pouvons-nous souhaiter de plus que de connaître Christ et d’être trouvés en lui ?
Jésus remplit notre conscience jusqu’à ce qu’elle soit dans une paix parfaite. Il emplit notre jugement et le persuade de la certitude de ses enseignements. Il emplit notre mémoire du souvenir de ce qu’il a accompli, et notre imagination de la perspective de ce qu’il va encore faire pour nous. Ruth fut rassasiée et garda le reste.
Il en est de même pour nous. Nous avons bu avec avidité, et nous pensions pouvoir recevoir Christ dans sa totalité. Mais, après avoir fait de notre mieux, nous voyons qu’il reste encore beaucoup. Nous nous sommes assis à la table de l’amour du Seigneur, et nous avons dit: « Rien d’autre que l’infini ne peut me rassasier. Je suis un si grand pécheur qu’il faut un mérite infini pour ôter mes péchés. »
Mais notre péché a disparu, et nous avons trouvé qu’il restait encore une grande mesure de mérite disponible. Notre faim a été assouvie au banquet de l’amour divin, et nous avons découvert qu’il restait encore une abondance de nourriture spirituelle. Il y a certaines douceurs de la Parole de Dieu que nous n’avons pas encore goûtées, et il nous faudra les garder pour plus tard. Nous sommes comme les disciples à qui Jésus disait: « J’ai encore beaucoup de choses à vous dire, mais vous ne pouvez pas les porter maintenant » (Jean 16.12).
Oui, il y a des grâces que nous n’avons pas touchées, des lieux de communion plus proches de Christ que nous n’avons pas atteints, des profondeurs d’intimité que nous n’avons pas mesurées. À chaque festin d’amour il reste de nombreuses corbeilles emplies de restes. " Charles Spurgeon
Le Saint-Esprit assiste notre faiblesse, mais il n’encourage pas notre paresse. Il aime le croyant actif. Qui sont les hommes les plus actifs dans l’Église chrétienne ? Ceux qui font ce qu’ils entreprennent pour Dieu de tout leur cœur. Qui sont les meilleurs moniteurs de l’école du dimanche ? Ceux qui ont le plus de talents ? Non, mais ceux qui possèdent le plus de zèle. Les hommes dont le cœur est en feu sont ceux qui voient le Seigneur se manifester avec succès dans toute la majesté de son salut. » Charles Spurgeon
"Les personnes de la Trinité (Dieu- Jésus- L'Esprit Saint) fusionnent dans un tourbillon d'amour, dans une unité bénie, tout en restant néanmoins actives en tant qu'individus distincts dans l'œuvre qu'ils accomplissent en commun. Toute vie créée trouve son être dans le mouvement d'amour vers la fécondité et l'union de la Trinité."Jeff Imbach
Ce tourbillon d'amour continu et simultané de mouvements vers l'union et la particularité est le centre de la créativité et de la passion selon Dieu. C'est la richesse qui fait que chaque empreint e digitale, chaque flocon de neige est si incroyablement semblable aux autres et si merveilleusement différent.Cela fait de la vie un modèle qui change indéfiniment quoique toute création soit née de ce tourbillon d'amour initial. Autrement dit, la vie Divine et Trinitaire est la matrice de toute la création." Xavier Lavie
"Comme un cheval indompté, notre mauvaise nature penche vers l’égarement. Puisse la grâce de Dieu museler cette nature rebelle, la retenir et l’empêcher de s’engouffrer dans la transgression. Que ferait le meilleur d’entre nous si la providence et la grâce de Dieu ne plaçait pas sur lui des retenues !" Charles Spurgeon
"Tenez vos possessions de manière si lâche que, lorsqu'elles sont perdues dans les sacrifices d'amour, votre confiance en un trésor suprême dans le ciel vous remplira de joie." John Piper
"A moins que la grâce divine préserve la pureté de la robe la plus blanche, cette dernière sera souillée par les taches les plus sales. Chrétien expérimenté, ne vous vantez pas de votre expérience. Vous trébucherez encore si vous détournez les regards de Celui qui peut vous préserver de toute chute. Vous, dont l’amour est fervent, la foi constante, et l’espérance bien vivante, ne dites pas : « Je ne pécherai jamais. » Écriez-vous plutôt : « Ne nous induis pas en tentation. »" Charles Spurgeon
"Les moments de joie vraiment merveilleux dans ce monde ne sont pas des moments d'auto-satisfaction, mais des oublis de soi." John Piper
"Il y a, dans le cœur du meilleur des hommes, assez de bois mort pour embraser un feu qui brûlera jusqu’au plus profond de l’enfer, à moins que le Seigneur n’éteigne les étincelles alors qu’elles l’atteignent. Que la sagesse infinie nous guérisse de la folie de nous confier en nous-mêmes." Charles Spurgeon
"Les premiers chrétiens n'ont pas commencé par des spéculations sur la métaphysique de l'incarnation, ils n'ont pas retranché la christologie du récit évangélique. Ils se sont d'abord intéressés à des histoires qui parlaient de Jésus et de ceux qui vécurent avec lui. Pour le dire autrement, c'est par la forme même de leurs discours que les auteurs des évangiles ont d'abord pu nous entrainer à inscrire nos vies dans les pas de Jésus. Qui ne suit pas Jésus ne peut pas connaitre Jésus. S'engager à la suite de Jésus implique de comprendre qui il est. Dans un sens, on suit Jésus avant de le connaitre. De même, on connait Jésus avant de se connaitre soi-même. Comment pourrions-nous reconnaitre notre péché, notre ignorance, notre rachat et notre salut, sans que le fondement de notre être ne nous ait été dévoilé, comme il l'a été aux premiers disciples ? En racontant ces histoires, nous venons à voir la signification et la cohérence de nos vies qui apparaissent comme un don. Elles ne sont pas le fruit d'un acte héroïque et créateur de notre part, mais elles doivent être racontées et nous ne pouvons pas les connaitre sans une communauté de foi. La petite histoire que j'appelle ma vie reçoit alors une signification éternelle et cosmique, intégrée à la grande histoire du salut ! Le sens de nos vies est lié à l'histoire des autres !" Stanley Hauerwas
Chaque fois que nous avons le privilège de manger le pain que Jésus donne, nous sommes rassasiés par un doux et complet repas. Quand Jésus est l’hôte, nul invité ne sort à vide de la table.
Notre tête est rassasiée de la précieuse vérité que Jésus révèle. Notre cœur se repaît de Jésus, car il le voit comme le merveilleux objet de son affection. Notre espérance se rassasie car, qui d’autre avons-nous au ciel que Jésus ? Notre désir est repus car, que pouvons-nous souhaiter de plus que de connaître Christ et d’être trouvés en lui ?
Jésus remplit notre conscience jusqu’à ce qu’elle soit dans une paix parfaite. Il emplit notre jugement et le persuade de la certitude de ses enseignements. Il emplit notre mémoire du souvenir de ce qu’il a accompli, et notre imagination de la perspective de ce qu’il va encore faire pour nous. Ruth fut rassasiée et garda le reste.
Il en est de même pour nous. Nous avons bu avec avidité, et nous pensions pouvoir recevoir Christ dans sa totalité. Mais, après avoir fait de notre mieux, nous voyons qu’il reste encore beaucoup. Nous nous sommes assis à la table de l’amour du Seigneur, et nous avons dit: « Rien d’autre que l’infini ne peut me rassasier. Je suis un si grand pécheur qu’il faut un mérite infini pour ôter mes péchés. »
Mais notre péché a disparu, et nous avons trouvé qu’il restait encore une grande mesure de mérite disponible. Notre faim a été assouvie au banquet de l’amour divin, et nous avons découvert qu’il restait encore une abondance de nourriture spirituelle. Il y a certaines douceurs de la Parole de Dieu que nous n’avons pas encore goûtées, et il nous faudra les garder pour plus tard. Nous sommes comme les disciples à qui Jésus disait: « J’ai encore beaucoup de choses à vous dire, mais vous ne pouvez pas les porter maintenant » (Jean 16.12).
Oui, il y a des grâces que nous n’avons pas touchées, des lieux de communion plus proches de Christ que nous n’avons pas atteints, des profondeurs d’intimité que nous n’avons pas mesurées. À chaque festin d’amour il reste de nombreuses corbeilles emplies de restes. " Charles Spurgeon
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