PHILIPPIENS 4.10-13
Après avoir vu Jésus sur le chemin de Damas, Paul a dû en apprendre beaucoup, et il a fait part à d’autres du fruit de ses découvertes. Dans sa lettre aux Philippiens, il leur a parlé d’une leçon de vie importante : le secret du contentement.
On pourrait croire qu’une vie exempte d’épreuves ou couronnée de
succès, où l’on jouit d’une bonne santé, de sécurité financière et d’une
famille aimante nous procurera le contentement. Or, Paul a souvent été
en danger de la part de ses compatriotes et de ses opposants (2
Corinthiens 11.23-26). Parfois, les gens écoutaient son message, mais la
plupart du temps, ils lui étaient hostiles. Il avait également une «
écharde dans la chair », que Dieu a refusé de lui enlever (12.7-9). Pour
comble, il a passé beaucoup de temps en prison, enchaîné à un garde. Et
pourtant, il a écrit : « C’est le secret que j’ai appris : m’accommoder
à toutes les situations et à toutes les circonstances » (Philippiens
4.12, Le Semeur).
Sa recette? Ne pas dépendre de ses sentiments ou de sa situation, mais de son identité dans le Seigneur. Paul se savait spirituellement riche, « [béni] de toute bénédiction spirituelle dans les lieux célestes en Christ » (Éphésiens 1.3), parce qu’il était l’enfant d’un Père aimant.
À notre époque dominée par les médias, il est difficile de trouver le contentement et encore plus ardu de le garder. On verra toujours quelque chose de plus nouveau, de plus gros ou de meilleur à acheter, et une personne qui a ce que l’on désire. Quand nous sommes insatisfaits, rappelons-nous que nous sommes cohéritiers de Christ (Romains 8.17) et ignorons nos sentiments.
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Sa recette? Ne pas dépendre de ses sentiments ou de sa situation, mais de son identité dans le Seigneur. Paul se savait spirituellement riche, « [béni] de toute bénédiction spirituelle dans les lieux célestes en Christ » (Éphésiens 1.3), parce qu’il était l’enfant d’un Père aimant.
À notre époque dominée par les médias, il est difficile de trouver le contentement et encore plus ardu de le garder. On verra toujours quelque chose de plus nouveau, de plus gros ou de meilleur à acheter, et une personne qui a ce que l’on désire. Quand nous sommes insatisfaits, rappelons-nous que nous sommes cohéritiers de Christ (Romains 8.17) et ignorons nos sentiments.
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