samedi 7 novembre 2015

A l'école de l'obéissance


PROVERBES 3.5,6
Dieu souhaite nous enseigner l’obéissance à son école.
La confiance.
Pour obéir à Dieu, nous devons lui faire confiance; d’ailleurs, il s’y attend (Proverbes 3.5). Il sait que l’obéissance repose sur la foi, tandis que la rébellion découle de l’incrédulité.
Par conséquent, pour être obéissants, nous devons croire que Dieu est tel qu’il s’est révélé, et accepter ses projets, ses méthodes et son calendrier. Notre foi grandira si nous lui obéissons et si nous sommes à l’affût de ses interventions. Souvenons-nous que Dieu se réjouit de bénir ceux qui font ce qu’il leur demande.
L’attente.
La patience est singulièrement éprouvante pour nous. Quand nous ignorons quoi faire, nous nous fions souvent à notre raisonnement, allons de l’avant et espérons que Dieu approuvera et bénira notre démarche.
Or, cette approche n’est pas scripturaire. Le Seigneur souhaite nous diriger et, dans ce but, il nous a donné son Esprit pour nous enseigner.
Nous devons nous en remettre à lui avec confiance et attendre ses instructions.
Dieu assume l’entière responsabilité de nous guider.
Il veut nous révéler chaque pas à faire.
Nous devons toutefois nous approcher de lui avec assurance et être prêts à attendre qu’il nous dévoile la prochaine étape.

Quand nous avons étudié hier la nécessité de faire confiance à Dieu, nous avons appris que nous devons nous attendre à lui chaque jour.
Aujourd’hui, nous examinerons trois autres étapes essentielles à la vie d’obéissance.
1. La méditation.
Pour connaître les pensées de Dieu, il faut méditer sa Parole. Nul besoin de choisir les « bons » versets afin de discerner la volonté du Seigneur. Il peut utiliser n’importe quelle partie de la Bible pour nous diriger.
Notre responsabilité consiste à poursuivre la sagesse en étudiant l’Écriture sur une longue période.
2. L’écoute.
Apprenons à écouter les doux murmures du Saint-Esprit. Il se sert principalement de la Parole pour nous conduire. Si nous étudions un passage biblique, il nous éclairera, de sorte que nous comprenions la volonté divine. Ou bien, il nous rappellera un passage que nous avons retenu et nous révélera sa pertinence quant à notre situation.
3. La marche.
Enfin, nous devons parfois avancer, même si la voie à emprunter n’est pas clairement définie. Abraham nous sert d’exemple. Dieu lui a ordonné de quitter sa patrie, sans préciser où il devait aller, et Abraham a obéi (Hébreux 11.8). Nous pouvons également obéir sans tout comprendre, puisque Dieu s’occupera des conséquences. Nous ne sommes responsables que de lui obéir. Quelle bonne nouvelle!
Tandis que notre leçon tire à sa fin, considérons la place importante de l’obéissance dans une vie marquée par la foi. Puis demandons à Dieu de nous révéler le domaine auquel nous devons premièrement travailler : la confiance, l’attente, la méditation, l’écoute ou la marche avec lui.

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