·
Développer de tendres pensées et de
tendres comportements à l'égard de nos enfants
·
Rechercher la grâce de Dieu pour
assurer notre rôle de mère malgré l'immensité de la tâche
·
Nous souvenir du but ultime :
Donner à nos enfants les moyens de marcher dans la bonne voie, même si leur
conversion ne dépend pas de nous.
] Sketch de mise en situation
Une famille (papa, maman et deux
enfants) attend son tour devant une attraction, dans les allées d'un parc
d'attraction.
C'est l'été et il fait très chaud.
Le cadet bouscule son ainé.
L'ainé
: Arrête ! Arrête de
me toucher ! Maman dis-lui d'arrêter de me toucher !
La
mère s'adressant à son mari : Je
t'avais dit que si on n'arrivait pas plus tôt, on passerait la journée à faire
la queue… mais tu ne m'écoutes jamais !
La
mère s'adressant à son cadet qui part en courant : Reviens ici tout de suite ! Tu m'as
entendue ? Ne me fais pas crier une fois de plus sinon on ne fait pas cette
attraction !
Le
cadet : De toute
façon, je ne veux pas faire cette attraction ! Pourquoi on ne fait jamais ce
qui me plait ?
Le père en agitant la brochure du par cet en soupirant : Où sont passés toutes les familles souriantes
et détendues photographiées sur cette brochure ?
Entrée
en matière
·
Dites
chacune le prénom et l'âge de vos enfants
Pas la peine d'aller dans un parc
d'attraction pour rencontrer des gens grincheux, vous pouvez trouver ce genre
de famille dans n'importe quel centre commercial ou dans n'importe quel
restaurant.
Dans une certaine mesure, n'importe
quelle famille pourrait s'identifier à celle-ci.
Si un observateur venait
inopinément dans n'importe quelle famille, ne trouverait-il pas souvent des
parents irrités, impatients, entourés d'enfants qui pleurnichent ?
La parentalité peut être à la fois
exaltante et exaspérante.
Elle peut offrir des expériences
satisfaisantes aussi bien que des combats déroutants.
Certains jours, les parents ont le
sentiment que leur parentalité est plus gratifiante que toute autre chose et
d'autres jours s'occuper de leurs enfants semble une corvée des plus pénibles.
Au rôle de parents est associée une
large gamme d'expériences variées qui produisent des sentiments et des émotions
contradictoires.
La vision de la parentalité ne
devrait cependant pas dépendre des diverses expériences et des émotions
fluctuantes, mais plutôt s'attacher au point de vue de Dieu.
¥ Le
passage de Tite 2 encourage les mères à être aimantes vis-à-vis de leurs
enfants.
"Philoteknos" en grec
signifie : affectueux, amical, aimant dans un lien intime et confiant unissant
des parents à leurs enfants.
"Philoteknos" concerne
les mères mais aussi les pères et tous ceux qui sont en contact avec des
enfants, que ce soit par des liens familiaux, spirituels ou professionnels.
Lorsqu'un enfant nait, c'est un
miracle de la vie qui émeut profondément ses parents et ceux qui les entourent.
L'amour jaillissant de cette
nouvelle naissance donne souvent l'énergie nécessaire à la maman pour qu'elle
assume son nouveau rôle.
Il est inutile de dire à cette
maman d'aimer son enfant à cet instant, tant l'amour émerveillé la
submerge.
Y Physiologiquement,
Dieu a tout prévu puisqu'après la naissance de son bébé, le niveau d’ocytocine (appelée
l'hormone de l'amour) de la mère augmente vertigineusement au regard, au
toucher et à la tétée de son bébé. Bébé, lui aussi, produit cette hormone, afin
de vivre cet amour en symbiose avec sa mère. Ensuite, la prolactine (appelée
hormone maternelle) est sécrétée dès la naissance pour soutenir la femme dans son
rôle de maman. Associée à l’ocytocine et à l’endorphine, elle la rend plus
calme et submergée d’amour pour son bébé.
Au tout début, le nouveau-né est
dans une situation de dépendance absolue vis-à-vis de l’entourage.
La mère y répond par la préoccupation maternelle
primaire, c’est-à-dire une capacité à s’identifier à l’enfant pour le
comprendre.
Au cours de cette période, elle est
littéralement en résonance avec les besoins du bébé.
Elle éprouve une irrépressible nécessité
de les satisfaire. La détresse de son enfant lui est intolérable. Le nourrisson
et sa mère forment une dyade, une réunion de deux principes qui se complètent.
C’est ce que certaines personnes
appellent l’instinct maternel, cette capacité à être en résonance totale avec
les besoins du bébé et y répondre instantanément parfois même juste avant qu’il
ne soit exprimé. Ceci est vrai dans le
cas de l’allaitement où les mères peuvent parfois sentir la montée de lait, se
réveiller juste avant que le bébé ne se réveille.
La fonction maternelle est d’abord
une fonction de matrice, de source nourricière, d’enveloppe, de réceptacle de
vie, de rétention.
La mère représente l’abri, la
sécurité, la protection, la chaleur, l’affection, la fusion, la compréhension
La mère représente l’amour.
Il y a trois fonctions maternelles
indispensables au bon développement de l’enfant : c’est le fait que la mère
soit présente tout le temps pour son enfant, le fait de lui donner des repères
simples et stables, et d'aider l’enfant à comprendre ce qu’il ressent (faim,
soif, besoin d’être changé).
La manipulation physique du bébé
pour les soins lui permet aussi de prendre conscience qu’il a une limite
corporelle, c’est-à-dire un corps qui diffère de celui de sa mère.
Mais les choses changent dans les
jours, les semaines et les années qui suivent.
Quand les parents sont confrontés
aux cris persistants de leur nouveau-né, aux caprices d'un petit de deux ans ou
aux plaintes incessantes d'un enfant de six ans, à l'insolence d'un préado de
douze ans, ou à l'égocentrisme d'un adolescent…
Difficile alors de retrouver et de
toujours conserver l'affection et les tendres sentiments éprouvés à la
naissance de sa progéniture.
Pourtant c'est au milieu des
épreuves liés à la parentalité, que doivent résonner dans nos cœurs le
commandement d'aimer affectueusement et tendrement nos enfants.
Si beaucoup de parents se
sacrifient pour leurs enfants, certains négligent parfois de prendre plaisir à
être dans leur présence.
Ils assument leurs responsabilités
mais oublient les joies de la vie de parents.
Il est bon de servir nos enfants,
mais la parole de Dieu nous invite à plus qu'un amour passionné et
inconditionnel (amour agape).
Nous devons aussi nous réjouir
d'être avec nos enfants, car c'est ce qu'exprime l'amour "phileo"
exprimé dans Tite 2.
"Philoteknos" parle
d'affection, d'amitié et de lien particulier et confiant unissant des parents à
leurs enfants.
Pas
de weekend de congé
Dans la vie d'une mère, il n'y a
pas de salaire, de weekend de repos ni de congés payés.
Il n'est question que de donner
continuellement, c'est pourquoi à certains moments les mères ont l'impression
qu'elles n'ont plus la moindre énergie à offrir.
Elles rêvent d'avoir un instant de
repos et de plaisir rien que pour elles, mais de nombreuses tâches réclament
leur attention.
Aucune profession n'exige en effet un
travail aussi ardu et un sacrifice plus grand que celle d'être maman. Aucun
emploi sur terre ne requiert plus de force physique, mentale, sociale,
émotionnelle et spirituelle que la tâche accomplie par une bonne épouse et une
bonne mère.
Si une femme recherche une vie
facile, elle peut donner des cours de relaxation, faire de l'artisanat ou
intégrer une troupe de théâtre… mais être une bonne mère n'a rien de facile. Cela
peut être éreintant, déchirant et même angoissant.
Et puisque la fonction de mère
exige des sacrifices constants, la tentation de céder au ressentiment, de se
plaindre et de s'apitoyer sur son sort existe réellement.
Mais un tel égoïsme éteint
rapidement l'amour que nous portons à nos enfants.
La maternité ne doit pas devenir un
devoir effectué sans plaisir, et encore moins une corvée.
Obnubilée par les sacrifices, une
mère peut oublier d'apprécier les plaisirs quotidiens procurés par l'éducation
de ses enfants et perdre sa joie.
Toute mère est face à un choix :
considérer avec amertume les difficultés et les obligations liées à leur
fonction maternelle et persister dans l'égoïsme, ou rechercher la grâce de Dieu
et recevoir son aide pour se consacrer joyeusement à ses enfants.
Personne n'applaudit lorsqu'une
mère mouche des nez qui coulent, lorsqu'elle participe au covoiturage des
enfants du quartier ou lorsqu'elle discute avec son ado jusque tard dans la
nuit.
Personne ne la remercie… Toutefois
si elle délaisse ses désirs égoïstes pour glorifier Dieu en servant joyeusement
ses enfants, elle atteindra la véritable grandeur telle que la conçoit la
bible.
Luc
9.48 "Quiconque
reçoit en mon nom ce petit enfant me reçoit moi-même ; et quiconque me reçoit reçoit
celui qui m’a envoyé. Car celui qui est le plus petit parmi vous tous, c’est
celui-là qui est grand."
De
la force pour celles qui sont fatiguées
Si une femme a perdu la joie d'être
mère, elle ne peut retrouver force et joie que dans la présence de Dieu.
En lui seul, elle peut retrouver
l'énergie nécessaire pour accomplir l'immense tâche d'être mère.
Elle doit prendre l'habitude de se
ressourcer en lui quotidiennement.
En cas de lassitude, se retirer
plus longtemps pour prier et méditer la bible apporte d'extraordinaires
bénéfices.
Mais comment avoir du temps pour
soi quand on ne peut même pas être tranquille deux minutes pour aller aux
toilettes ?
C'est là que doit intervenir le
père* pour que son épouse puisse s'accorder du temps avec Dieu.
En tant que chef de famille, il
doit veiller à la spiritualité de son épouse et l'aider à grandir dans les
voies de Dieu. Il doit l'encourager à vivre en communion avec Dieu et à méditer
efficacement la bible.
Si cela n'est pas possible, une
mamie, une amie… peut rendre ce service de temps en temps.
L'effort consenti vaut la peine
d'être fait.
* Il y a des hommes pour qui être
père est très abstrait, ils vivent la grossesse de loin sans comprendre trop ce
qui se passe même si le mental est là et l’entourage pour lui dire « c’est
chouette tu vas être papa ! » ils ne comprennent pas trop ce qui arrive.
La fonction du père en est une de
séparation, d’expulsion du sein maternel, de distinction, de différenciation.
En effet, la transition vers le
rôle du père est simple schématiquement : si maman réconforte, papa stimule.
Le père doit éduquer ses enfants
dans le sens étymologique du mot "educare": faire sortir, tirer
dehors, conduire au-dehors avec soin. J’appuie particulièrement sur le
"conduire au-dehors avec soin" car cette notion de soin est
importante pour la suite de ce qu’est la fonction paternelle. En effet, la
fonction du père est de séparer l’enfant de la mère. Il doit s’interposer entre la mère et l’enfant
pour permettre à l’enfant de développer son identité en dehors de la symbiose
maternelle et rappeler à la mère qu’elle est aussi une femme, une amante, un
être de plaisir, non seulement un être de devoir généreux. Si la mère
représente l’amour fusionnel, le père représente les limites, les frontières,
la séparation psychologique et ceci doit être fait avec grand soin et douceur !
Les 5 fonctions paternelles sont la
protection des siens en étant présent physiquement et psychologiquement.
L’éducation, car le père doit faciliter à ses enfants l’apprentissage du
contrôle de soi. L’initiation aux règles de la société pour que ses enfants
sachent vivre avec les autres. La séparation entre la mère et l’enfant pour que
l’un et l’autre puisse s’épanouir ; la mère en tant que femme et l’enfant en
tant qu’adulte. Et la filiation, pour que l’enfant sache qui est son père et
qu’il puisse s’inscrire dans une lignée.
Jésus lui-même nous a laissé un
exemple pour que nous prenions ce temps avec Dieu.
Quand la foule se pressait vers lui
pour lui soumettre ses besoins, Jésus savait se retirer dans les déserts ou sur
le sommet des collines pour prier.
Luc
5.15-16 "Sa renommée se
répandait de plus en plus; et de grandes foules s’assemblèrent pour l’entendre
et pour être guéries de leurs infirmités ; mais lui, se tenait retiré dans les
déserts et priait."
Comme Jésus était assailli par la
foule, une mère est très souvent sollicitée, elle doit donc considérer ce que
Jésus a fait. Il s'est retiré dans un lieu isolé pour prier.
Si Jésus avait fréquemment besoin
de s'isoler pour prier et pour recevoir l'aide et la force de son père, à
combien plus fortes raisons les mères ont-elles besoin de tels moments !
Alors si une maman est lasse, si la
joie de la maternité a disparu, elle doit prendre du temps pour être seule avec
Dieu.
Méfiez
vous de la complaisance !
Avant de délimiter les contours de
l'amour tendre, une importante mise en garde s'impose.
Les mamans ne doivent pas permettre
à leur affection de virer à la complaisance.
Elles ne doivent donc pas céder à
leurs enfants, leur donner tout ce qui leur plait, ni agir comme ils le veulent
en devenant tolérantes à leur folie ou au péché.
L'éducation des enfants doit être
partagée entre les époux.
Proverbe
22.6 "Élève le jeune garçon selon la règle
de sa voie; même lorsqu’il vieillira, il ne s’en détournera point."
Cela implique d'être un exemple de
piété et exige un enseignement continu tout en les corrigeant de manière
cohérente.
Ce n'est pas parce que l'éducation
doit être pleine d'amour et de tendresse, que l'autorité et la discipline
doivent en pâtir.
S'abandonner
à l'égoïsme
Il arrive que les mamans capitulent
devant les caprices de leurs enfants lorsque ceux-ci se montrent trop
insistants ou pleurent à grand renforts de cris perçants.
Même si elles savent qu'elles ne
devraient pas céder, elles le font pour avoir la paix.
Mais une telle attitude va à
l'encontre de la discipline et met en lumière de la paresse et de l'égoïsme.
Elle entraine des conséquences
négatives pour l'enfant comme pour les parents.
Charles Bridge a écrit : "Il
est préférable pour des enfants de pleurer pour une saine correction plutôt que
de voir pleurer plus tard pour des fruits amers récoltés des parents et des
enfants qui ont négligé la discipline."
Proverbes
13.24 "Celui qui aime son fils s'applique à
le discipliner."
L'amour "phileo" ne
néglige pas la discipline.
S'abandonner
à la peur
Toute mère souhaite être aimée et
approuvée par ses enfants, mais son rôle de mère ne doit jamais se soumettre à
se désir d'amour et d'approbation.
Proverbe
29.25 "La crainte des hommes tend un piège,
mais qui se confie en l’Éternel est élevé dans une haute retraite."
Les parents ne doivent pas se
soucier abusivement de ce que leurs enfants pensent d'eux, ni se sentir
coupables lorsqu'ils les éduquent et les corrigent sainement.
Ils ne doivent pas chercher
exagérément à obtenir leur approbation ni craindre intensément leur rejet.
Avoir peur de la réaction de ses
enfants peut rendre complaisant.
En refusant de sévir pour ne pas déplaire
à leurs enfants, les parents font preuve d'une complaisance répréhensible, non
d'un amour biblique.
Faire grandir ses enfants dans un
contexte chaleureux et rempli d'affection n'est pas incompatible avec la
responsabilité de les enseigner et de les discipliner.
Au contraire la tendresse adoucit
le cœur des enfants et gagne leur affection pour leur permettre d'accepter plus
volontiers les enseignements et la discipline.
Ce tendre amour est essentiel pour
les former avec succès.
De
tendres pensées
Psaume
127.3-5 "Voici, des fils sont un héritage de
l’Eternel, le fruit des entrailles est une récompense. Comme les flèches
dans la main d’un guerrier, ainsi sont les fils de la jeunesse. Heureux l’homme qui
en a rempli son carquois ! Ils ne seront pas confus, quand ils parleront avec
des ennemis à la porte."
Votre conception de la vie est-elle
conforme à ces versets ?
Voyez-vous vos enfants comme des
heures de travail harassant ou comme une récompense ?
Certes les enfants nécessitent de
nombreuses heures de soins et d'attention, mais grâce à Dieu et à sa juste
vision des choses, nous pouvons considérer cette responsabilité parentale comme
un plaisir plutôt qu'une corvée.
A quels mots associez-vous vos
enfants : fardeau, sacrifice, travail ou héritage divin, bonheur et récompense?
Nos paroles et nos actes sont
façonnés par nos pensées, c'es pourquoi nous devons nous efforcer d'avoir des
pensées conformes à la parole de Dieu.
Les voir comme un héritage, une
récompense et une bénédiction transformera notre attitude et nous procurera une
tendre affection à leur égard, en créera un terrain fertile pour leur
croissance.
Un
comportement empreint de tendresse
Les enfants savent que leurs
parents les aiment grâce aux gestes simples de la vie de tous les jours… parce
qu'ils les nourrissent bien, parce qu'ils leur expriment leur amour par des
mots, des gestes d'affection et des attentions de façon inconditionnelle, parce
qu'ils les encouragent, parce qu'ils prient pour eux, parce qu'ils prennent du
temps pour s'amuser discuter et prier avec eux,
parce qu'ils s'intéressent à leurs centres d'intérêt personnels…
La tendre affection n'exige pas
d'avoir beaucoup d'argent, de grands biens ou d'être un géni créatif.
Elle consiste à accomplir des
gestes apparemment anodins tels que parler, chanter, lire ou cuisiner.
Elle se manifeste aussi par la
fidélité dans la prière, les gestes d'affection et les encouragements et elles
ont énormément d'importance pour les enfants.
Comptons
nos jours
Psaumes
90.12 "Enseigne-nous à bien compter nos jours, afin que
nous appliquions notre cœur à la sagesse."
Saisissons l'occasion aujourd'hui
d'aimer nos enfants de cet amour "Phileo" car c'est un fait les enfants
restent petits que peu de temps!
Etes vous frustrée de ne pas
pouvoir sortir alors que votre enfant est malade, êtes-vous pressée qu'il soit
propre ou qu'il ne boive plus au biberon ?
Profitez de ces moments plutôt que
de vous plaindre, car ils grandiront plus rapidement que vous ne le pensez !
Chérissez votre enfant et ces moments qui passent vite.
Quel que soit le stade de la
maternité auquel vous êtes parvenue, cela ne prendra que peu de temps, alors ne
négligez pas l'amour et la tendresse.
Notre premier objectif, le but
suprême de l'amour "Phileo" n'est pas d'avoir des enfants brillants
et épanouis dans ce monde, mais des enfants sanctifiés et préparés à marcher
sur la voie droite de Dieu.
Même si cet amour tendre et
affectueux ne suffit pas à convaincre nos enfants et qu'il faille une
intervention du saint Esprit pour les faire naitre de nouveau, nous devons
faire attention à l'incidence de notre éducation sur leur âme.
Notre amour est néanmoins un
instrument de bénédiction entre les mains de Dieu.
Sa grâce nous suffit pour accomplir
la tâche à laquelle Il nous appelle.
Méditation
pour la semaine
·
Pourquoi
est-ce que l'apôtre Paul exhorte les jeunes femmes à aimer leurs enfants ?
·
Pourquoi
réfléchir à la brièveté de l'enfance peut nous aider dans notre comportement
maternel ?
·
Quels
sentiments et émotions vous procurent la maternité actuellement ?
·
Dans
quelle mesure l'égoïsme vole-t-il votre joie d'être mère ?
·
Demandez
à vos enfants comment ils savent que vous les aimez et notez leurs réponses.
·
Quand
vous êtes-vous pour la dernière fois accordé un temps seule avec Dieu pour vous
ressourcer ?
·
Pourquoi
vos enfants sont-ils un héritage, une récompense et une bénédiction ?
·
Examinez
votre vie à la lumière de cette leçon et confessez vos péchés.
·
Priez
pour devenir la mère que Dieu veut que vous soyez.
·
Priez
pour chacun de vos enfants.
Cet article contient des extraits du livre (Top)modèle féminin dans un monde féministe
Cet article contient des extraits du livre (Top)modèle féminin dans un monde féministe