mardi 17 mars 2020

Le bonheur d'aimer ses enfants


But de cette leçon :
·         Développer de tendres pensées et de tendres comportements à l'égard de nos enfants
·         Rechercher la grâce de Dieu pour assurer notre rôle de mère malgré l'immensité de la tâche
·         Nous souvenir du but ultime : Donner à nos enfants les moyens de marcher dans la bonne voie, même si leur conversion ne dépend pas de nous.
] Sketch de mise en situation
Une famille (papa, maman et deux enfants) attend son tour devant une attraction, dans les allées d'un parc d'attraction.
C'est l'été et il fait très chaud. Le cadet bouscule son ainé.
L'ainé : Arrête ! Arrête de me toucher ! Maman dis-lui d'arrêter de me toucher !
La mère s'adressant à son mari : Je t'avais dit que si on n'arrivait pas plus tôt, on passerait la journée à faire la queue… mais tu ne m'écoutes jamais !
La mère s'adressant à son cadet qui part en courant : Reviens ici tout de suite ! Tu m'as entendue ? Ne me fais pas crier une fois de plus sinon on ne fait pas cette attraction !
Le cadet : De toute façon, je ne veux pas faire cette attraction ! Pourquoi on ne fait jamais ce qui me plait ?
Le père en agitant la brochure du par cet en soupirant : Où sont passés toutes les familles souriantes et détendues photographiées sur cette brochure ?

Entrée en matière
·         Dites chacune le prénom et l'âge de vos enfants

Pas la peine d'aller dans un parc d'attraction pour rencontrer des gens grincheux, vous pouvez trouver ce genre de famille dans n'importe quel centre commercial ou dans n'importe quel restaurant.
Dans une certaine mesure, n'importe quelle famille pourrait s'identifier à celle-ci.

Si un observateur venait inopinément dans n'importe quelle famille, ne trouverait-il pas souvent des parents irrités, impatients, entourés d'enfants qui pleurnichent ?

La parentalité peut être à la fois exaltante et exaspérante.
Elle peut offrir des expériences satisfaisantes aussi bien que des combats déroutants.
Certains jours, les parents ont le sentiment que leur parentalité est plus gratifiante que toute autre chose et d'autres jours s'occuper de leurs enfants semble une corvée des plus pénibles.
Au rôle de parents est associée une large gamme d'expériences variées qui produisent des sentiments et des émotions contradictoires.
La vision de la parentalité ne devrait cependant pas dépendre des diverses expériences et des émotions fluctuantes, mais plutôt s'attacher au point de vue de Dieu.

¥ Le passage de Tite 2 encourage les mères à être aimantes vis-à-vis de leurs enfants.
"Philoteknos" en grec signifie : affectueux, amical, aimant dans un lien intime et confiant unissant des parents à leurs enfants.

"Philoteknos" concerne les mères mais aussi les pères et tous ceux qui sont en contact avec des enfants, que ce soit par des liens familiaux, spirituels ou professionnels.

Lorsqu'un enfant nait, c'est un miracle de la vie qui émeut profondément ses parents et ceux qui les entourent.
L'amour jaillissant de cette nouvelle naissance donne souvent l'énergie nécessaire à la maman pour qu'elle assume son nouveau rôle.
Il est inutile de dire à cette maman d'aimer son enfant à cet instant, tant l'amour émerveillé la submerge.   

Y Physiologiquement, Dieu a tout prévu puisqu'après la naissance de son bébé, le niveau d’ocytocine (appelée l'hormone de l'amour) de la mère augmente vertigineusement au regard, au toucher et à la tétée de son bébé. Bébé, lui aussi, produit cette hormone, afin de vivre cet amour en symbiose avec sa mère. Ensuite, la prolactine (appelée hormone maternelle) est sécrétée dès la naissance pour soutenir la femme dans son rôle de maman. Associée à l’ocytocine et à l’endorphine, elle la rend plus calme et submergée d’amour pour son bébé.
Au tout début, le nouveau-né est dans une situation de dépendance absolue vis-à-vis de l’entourage.
La mère y  répond par la préoccupation maternelle primaire, c’est-à-dire une capacité à s’identifier à l’enfant pour le comprendre.
Au cours de cette période, elle est littéralement en résonance avec les besoins du bébé.
Elle éprouve une irrépressible nécessité de les satisfaire. La détresse de son enfant lui est intolérable. Le nourrisson et sa mère forment une dyade, une réunion de deux principes qui se complètent.
C’est ce que certaines personnes appellent l’instinct maternel, cette capacité à être en résonance totale avec les besoins du bébé et y répondre instantanément parfois même juste avant qu’il ne soit exprimé.  Ceci est vrai dans le cas de l’allaitement où les mères peuvent parfois sentir la montée de lait, se réveiller juste avant que le bébé ne se réveille.
La fonction maternelle est d’abord une fonction de matrice, de source nourricière, d’enveloppe, de réceptacle de vie, de rétention.
La mère représente l’abri, la sécurité, la protection, la chaleur, l’affection, la fusion, la compréhension La mère représente l’amour.
Il y a trois fonctions maternelles indispensables au bon développement de l’enfant : c’est le fait que la mère soit présente tout le temps pour son enfant, le fait de lui donner des repères simples et stables, et d'aider l’enfant à comprendre ce qu’il ressent (faim, soif, besoin d’être changé).
La manipulation physique du bébé pour les soins lui permet aussi de prendre conscience qu’il a une limite corporelle, c’est-à-dire un corps qui diffère de celui de sa mère.

Mais les choses changent dans les jours, les semaines et les années qui suivent.
Quand les parents sont confrontés aux cris persistants de leur nouveau-né, aux caprices d'un petit de deux ans ou aux plaintes incessantes d'un enfant de six ans, à l'insolence d'un préado de douze ans, ou à l'égocentrisme d'un adolescent…
Difficile alors de retrouver et de toujours conserver l'affection et les tendres sentiments éprouvés à la naissance de sa progéniture.
Pourtant c'est au milieu des épreuves liés à la parentalité, que doivent résonner dans nos cœurs le commandement d'aimer affectueusement et tendrement nos enfants.
Si beaucoup de parents se sacrifient pour leurs enfants, certains négligent parfois de prendre plaisir à être dans leur présence.
Ils assument leurs responsabilités mais oublient les joies de la vie de parents.
Il est bon de servir nos enfants, mais la parole de Dieu nous invite à plus qu'un amour passionné et inconditionnel (amour agape).
Nous devons aussi nous réjouir d'être avec nos enfants, car c'est ce qu'exprime l'amour "phileo" exprimé dans Tite 2.
"Philoteknos" parle d'affection, d'amitié et de lien particulier et confiant unissant des parents à leurs enfants.

Pas de weekend de congé
Dans la vie d'une mère, il n'y a pas de salaire, de weekend de repos ni de congés payés.
Il n'est question que de donner continuellement, c'est pourquoi à certains moments les mères ont l'impression qu'elles n'ont plus la moindre énergie à offrir.
Elles rêvent d'avoir un instant de repos et de plaisir rien que pour elles, mais de nombreuses tâches réclament leur attention.
Aucune profession n'exige en effet un travail aussi ardu et un sacrifice plus grand que celle d'être maman. Aucun emploi sur terre ne requiert plus de force physique, mentale, sociale, émotionnelle et spirituelle que la tâche accomplie par une bonne épouse et une bonne mère.
Si une femme recherche une vie facile, elle peut donner des cours de relaxation, faire de l'artisanat ou intégrer une troupe de théâtre… mais être une bonne mère n'a rien de facile. Cela peut être éreintant, déchirant et même angoissant.

Et puisque la fonction de mère exige des sacrifices constants, la tentation de céder au ressentiment, de se plaindre et de s'apitoyer sur son sort existe réellement.
Mais un tel égoïsme éteint rapidement l'amour que nous portons à nos enfants.
La maternité ne doit pas devenir un devoir effectué sans plaisir, et encore moins une corvée.
Obnubilée par les sacrifices, une mère peut oublier d'apprécier les plaisirs quotidiens procurés par l'éducation de ses enfants et perdre sa joie.
Toute mère est face à un choix : considérer avec amertume les difficultés et les obligations liées à leur fonction maternelle et persister dans l'égoïsme, ou rechercher la grâce de Dieu et recevoir son aide pour se consacrer joyeusement à ses enfants.
Personne n'applaudit lorsqu'une mère mouche des nez qui coulent, lorsqu'elle participe au covoiturage des enfants du quartier ou lorsqu'elle discute avec son ado jusque tard dans la nuit.
Personne ne la remercie… Toutefois si elle délaisse ses désirs égoïstes pour glorifier Dieu en servant joyeusement ses enfants, elle atteindra la véritable grandeur telle que la conçoit la bible.

Luc 9.48  "Quiconque reçoit en mon nom ce petit enfant me reçoit moi-même ; et quiconque me reçoit reçoit celui qui m’a envoyé. Car celui qui est le plus petit parmi vous tous, c’est celui-là qui est grand."

De la force pour celles qui sont fatiguées
Si une femme a perdu la joie d'être mère, elle ne peut retrouver force et joie que dans la présence de Dieu.
En lui seul, elle peut retrouver l'énergie nécessaire pour accomplir l'immense tâche d'être mère.
Elle doit prendre l'habitude de se ressourcer en lui quotidiennement.
En cas de lassitude, se retirer plus longtemps pour prier et méditer la bible apporte d'extraordinaires bénéfices.
Mais comment avoir du temps pour soi quand on ne peut même pas être tranquille deux minutes pour aller aux toilettes ?

C'est là que doit intervenir le père* pour que son épouse puisse s'accorder du temps avec Dieu.
En tant que chef de famille, il doit veiller à la spiritualité de son épouse et l'aider à grandir dans les voies de Dieu. Il doit l'encourager à vivre en communion avec Dieu et à méditer efficacement la bible.
Si cela n'est pas possible, une mamie, une amie… peut rendre ce service de temps en temps.
L'effort consenti vaut la peine d'être fait.

* Il y a des hommes pour qui être père est très abstrait, ils vivent la grossesse de loin sans comprendre trop ce qui se passe même si le mental est là et l’entourage pour lui dire « c’est chouette tu vas être papa ! » ils ne comprennent pas trop ce qui arrive.
La fonction du père en est une de séparation, d’expulsion du sein maternel, de distinction, de différenciation.
En effet, la transition vers le rôle du père est simple schématiquement : si maman réconforte, papa stimule.
Le père doit éduquer ses enfants dans le sens étymologique du mot "educare": faire sortir, tirer dehors, conduire au-dehors avec soin. J’appuie particulièrement sur le "conduire au-dehors avec soin" car cette notion de soin est importante pour la suite de ce qu’est la fonction paternelle. En effet, la fonction du père est de séparer l’enfant de la mère.  Il doit s’interposer entre la mère et l’enfant pour permettre à l’enfant de développer son identité en dehors de la symbiose maternelle et rappeler à la mère qu’elle est aussi une femme, une amante, un être de plaisir, non seulement un être de devoir généreux. Si la mère représente l’amour fusionnel, le père représente les limites, les frontières, la séparation psychologique et ceci doit être fait avec grand soin et douceur !
Les 5 fonctions paternelles sont la protection des siens en étant présent physiquement et psychologiquement. L’éducation, car le père doit faciliter à ses enfants l’apprentissage du contrôle de soi. L’initiation aux règles de la société pour que ses enfants sachent vivre avec les autres. La séparation entre la mère et l’enfant pour que l’un et l’autre puisse s’épanouir ; la mère en tant que femme et l’enfant en tant qu’adulte. Et la filiation, pour que l’enfant sache qui est son père et qu’il puisse s’inscrire dans une lignée.

Jésus lui-même nous a laissé un exemple pour que nous prenions ce temps avec Dieu.
Quand la foule se pressait vers lui pour lui soumettre ses besoins, Jésus savait se retirer dans les déserts ou sur le sommet des collines pour prier.

Luc 5.15-16 "Sa renommée se répandait de plus en plus; et de grandes foules s’assemblèrent pour l’entendre et pour être guéries de leurs infirmités ; mais lui, se tenait retiré dans les déserts et priait."

Comme Jésus était assailli par la foule, une mère est très souvent sollicitée, elle doit donc considérer ce que Jésus a fait. Il s'est retiré dans un lieu isolé pour prier.
Si Jésus avait fréquemment besoin de s'isoler pour prier et pour recevoir l'aide et la force de son père, à combien plus fortes raisons les mères ont-elles besoin de tels moments !
Alors si une maman est lasse, si la joie de la maternité a disparu, elle doit prendre du temps pour être seule avec Dieu.

Méfiez vous de la complaisance !
Avant de délimiter les contours de l'amour tendre, une importante mise en garde s'impose.
Les mamans ne doivent pas permettre à leur affection de virer à la complaisance.
Elles ne doivent donc pas céder à leurs enfants, leur donner tout ce qui leur plait, ni agir comme ils le veulent en devenant tolérantes à leur folie ou au péché.
L'éducation des enfants doit être partagée entre les époux.

Proverbe 22.6 "Élève le jeune garçon selon la règle de sa voie; même lorsqu’il vieillira, il ne s’en détournera point."

Cela implique d'être un exemple de piété et exige un enseignement continu tout en les corrigeant de manière cohérente.
Ce n'est pas parce que l'éducation doit être pleine d'amour et de tendresse, que l'autorité et la discipline doivent en pâtir.

S'abandonner à l'égoïsme
Il arrive que les mamans capitulent devant les caprices de leurs enfants lorsque ceux-ci se montrent trop insistants ou pleurent à grand renforts de cris perçants.
Même si elles savent qu'elles ne devraient pas céder, elles le font pour avoir la paix.
Mais une telle attitude va à l'encontre de la discipline et met en lumière de la paresse et de l'égoïsme.
Elle entraine des conséquences négatives pour l'enfant comme pour les parents.
Charles Bridge a écrit : "Il est préférable pour des enfants de pleurer pour une saine correction plutôt que de voir pleurer plus tard pour des fruits amers récoltés des parents et des enfants qui ont négligé la discipline."

Proverbes 13.24 "Celui qui aime son fils s'applique à le discipliner."

L'amour "phileo" ne néglige pas la discipline.

S'abandonner à la peur
Toute mère souhaite être aimée et approuvée par ses enfants, mais son rôle de mère ne doit jamais se soumettre à se désir d'amour et d'approbation.

Proverbe 29.25 "La crainte des hommes tend un piège, mais qui se confie en l’Éternel est élevé dans une haute retraite."

Les parents ne doivent pas se soucier abusivement de ce que leurs enfants pensent d'eux, ni se sentir coupables lorsqu'ils les éduquent et les corrigent sainement.
Ils ne doivent pas chercher exagérément à obtenir leur approbation ni craindre intensément leur rejet.
Avoir peur de la réaction de ses enfants peut rendre complaisant.
En refusant de sévir pour ne pas déplaire à leurs enfants, les parents font preuve d'une complaisance répréhensible, non d'un amour biblique.
Faire grandir ses enfants dans un contexte chaleureux et rempli d'affection n'est pas incompatible avec la responsabilité de les enseigner et de les discipliner.
Au contraire la tendresse adoucit le cœur des enfants et gagne leur affection pour leur permettre d'accepter plus volontiers les enseignements et la discipline.
Ce tendre amour est essentiel pour les former avec succès.

De tendres pensées
Psaume 127.3-5 "Voici, des fils sont un héritage de l’Eternel, le fruit des entrailles est une récompense. Comme les flèches dans la main d’un guerrier, ainsi sont les fils de la jeunesse. Heureux l’homme qui en a rempli son carquois ! Ils ne seront pas confus, quand ils parleront avec des ennemis à la porte."

Votre conception de la vie est-elle conforme à ces versets ?
Voyez-vous vos enfants comme des heures de travail harassant ou comme une récompense ?
Certes les enfants nécessitent de nombreuses heures de soins et d'attention, mais grâce à Dieu et à sa juste vision des choses, nous pouvons considérer cette responsabilité parentale comme un plaisir plutôt qu'une corvée.

A quels mots associez-vous vos enfants : fardeau, sacrifice, travail ou héritage divin, bonheur  et récompense?

Nos paroles et nos actes sont façonnés par nos pensées, c'es pourquoi nous devons nous efforcer d'avoir des pensées conformes à la parole de Dieu.
Les voir comme un héritage, une récompense et une bénédiction transformera notre attitude et nous procurera une tendre affection à leur égard, en créera un terrain fertile pour leur croissance.

Un comportement empreint de tendresse
Les enfants savent que leurs parents les aiment grâce aux gestes simples de la vie de tous les jours… parce qu'ils les nourrissent bien, parce qu'ils leur expriment leur amour par des mots, des gestes d'affection et des attentions de façon inconditionnelle, parce qu'ils les encouragent, parce qu'ils prient pour eux, parce qu'ils prennent du temps pour s'amuser discuter et prier avec eux,  parce qu'ils s'intéressent à leurs centres d'intérêt personnels…
La tendre affection n'exige pas d'avoir beaucoup d'argent, de grands biens ou d'être un géni créatif.
Elle consiste à accomplir des gestes apparemment anodins tels que parler, chanter, lire ou cuisiner.
Elle se manifeste aussi par la fidélité dans la prière, les gestes d'affection et les encouragements et elles ont énormément d'importance pour les enfants.

Comptons nos jours
Psaumes 90.12 "Enseigne-nous à bien compter nos jours, afin que nous appliquions notre cœur à la sagesse."
Saisissons l'occasion aujourd'hui d'aimer nos enfants de cet amour "Phileo" car c'est un fait les enfants restent petits que peu de temps!
Etes vous frustrée de ne pas pouvoir sortir alors que votre enfant est malade, êtes-vous pressée qu'il soit propre ou qu'il ne boive plus au biberon ?
Profitez de ces moments plutôt que de vous plaindre, car ils grandiront plus rapidement que vous ne le pensez ! Chérissez votre enfant et ces moments qui passent vite.
Quel que soit le stade de la maternité auquel vous êtes parvenue, cela ne prendra que peu de temps, alors ne négligez pas l'amour et la tendresse.

Notre premier objectif, le but suprême de l'amour "Phileo" n'est pas d'avoir des enfants brillants et épanouis dans ce monde, mais des enfants sanctifiés et préparés à marcher sur la voie droite de Dieu.
Même si cet amour tendre et affectueux ne suffit pas à convaincre nos enfants et qu'il faille une intervention du saint Esprit pour les faire naitre de nouveau, nous devons faire attention à l'incidence de notre éducation sur leur âme.
Notre amour est néanmoins un instrument de bénédiction entre les mains de Dieu.
Sa grâce nous suffit pour accomplir la tâche à laquelle Il nous appelle.

Méditation pour la semaine
·         Pourquoi est-ce que l'apôtre Paul exhorte les jeunes femmes à aimer leurs enfants ?
·         Pourquoi réfléchir à la brièveté de l'enfance peut nous aider dans notre comportement maternel ?
·         Quels sentiments et émotions vous procurent la maternité actuellement ?
·         Dans quelle mesure l'égoïsme vole-t-il votre joie d'être mère ?
·         Demandez à vos enfants comment ils savent que vous les aimez et notez leurs réponses.
·         Quand vous êtes-vous pour la dernière fois accordé un temps seule avec Dieu pour vous ressourcer ?
·         Pourquoi vos enfants sont-ils un héritage, une récompense et une bénédiction ?

·         Examinez votre vie à la lumière de cette leçon et confessez vos péchés.
·         Priez pour devenir la mère que Dieu veut que vous soyez.
·         Priez pour chacun de vos enfants.

Cet article contient des extraits du livre (Top)modèle féminin dans un monde féministe

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  Lily Bellule et Hippo-Tamtam Un conte poétique sur l'hypersensibilité émotionnelle Sophie Lavie (auteure et illustratrice)   Ja...