Il faut savoir que dans les vieilles traditions tribales, les bijoux servaient d'amulettes
précieuses qui portaient bonheur. Aussi, lorsqu'on offrait une amulette à
une personne, c'était généralement pour lui souhaiter sécurité ou
bonheur.
Ezechiel 7.20 "Ils étaient fiers de leur magnifique parure, et ils en ont fabriqué les images de leurs abominations, de leurs idoles. C’est pourquoi je la rendrai pour eux un objet d’horreur."
D'autre part, nous lisons dans 1 Pierre 3/3: "N’ayez pas la parure
extérieure qui consiste dans les cheveux tressés et les ornements d’or ou les
habits qu’on revêt, mais celle qui est cachée dans le cœur, l’incorruptibilité
d’un esprit doux (docile- soumis) et paisible (calme) qui est précieuse devant
Dieu. "
Nous sommes à la fin du 1er
siècle et Pierre s'adresse à des femmes juives, grecques ou romaines fortement
influencées par les us et coutumes romaines.
Il faut savoir que les femmes de
cette époque n'étaient pas des barbares échevelées et négligées mais qu'au
contraire elles passaient beaucoup de temps à s'occuper de leur beauté et de
leur hygiène.
Attentives aux soins corporels, les
romaines passaient beaucoup de temps à se baigner dans les thermes collectifs
et les femmes riches possédaient des fers pour boucler leurs cheveux, du maquillage
et des parfums déjà très populaires à l’époque.
Elles passaient une grande partie
de leurs temps à confectionner des masques de beauté et à se maquiller.
Elles allaient dans des boutiques
pour se faire épiler avec de la résine.
Leur peau était ensuite polie à
la pierre ponce et elles prenaient aussi des bains de lait d’ânesse.
Le soir, elles se couvraient le
visage d’un masque en mie de pain délayée dans ce même lait.
Contrairement à maintenant, les
femmes aimaient avoir le teint pâle et pour se protéger du soleil, elles appliquaient
de la bouse de veau sur leur visage !
Les plus fortunées utilisaient
beaucoup d’huiles parfumées.
Sur leur tête, elles portaient un
chignon bouclé très élaboré confectionnés par leur servante.
Les Romaines se faisaient coiffer
toute la matinée et si la coiffure ne correspondait pas à leurs désirs, la
servante était battue.
Les femmes brunes portaient des
perruques blondes ou des postiches tenus par des épingles.
Pour sortir, elles portaient un voile sur leur tête et s’abritaient sous une ombrelle.
Pour sortir, elles portaient un voile sur leur tête et s’abritaient sous une ombrelle.
Elles se faisaient arracher les
cheveux blancs et quand ils devenaient rares, elles achetaient des perruques.
La tenue vestimentaire des
Romains servait essentiellement à reconnaître leur importance dans la société.
Suivant leurs grades, leurs habits étaient
très différents.
Les vêtements féminins étaient en
laine ou en lin.
Les femmes modestes étaient vêtues
d’une simple tunique longue jusqu'aux pieds dont l’étoffe blousait au-dessus de
la taille, marquée par une ceinture.
Les femmes de la bonne société
passaient, au-dessus de cette tunique, une longue robe dont le bas était brodé,
et pour sortir elles mettaient un manteau qui couvrait leur tête et leur corps.
En ce qui concerne les bijoux, les
camées étaient très appréciés.
Ils étaient réalisés dans
différentes matières comme le cristal de
roche, la sardonyx, l’agate ou la pâte de verre, utilisés en bague ou comme
pendentifs.
Les romaines les moins aisées se
contentaient d’imitations en verre ou en nacre.
Aujourd'hui, encore et de plus en plus, les pierres aux vertus magiques et "thérapeutiques", les amulettes et les talismans ont le vent en poupe, c'est pourquoi soyez vigilants !
Un bracelet de pierre de citrine n'est donc pas anodin, il s'achète dans un magasin ésotérique, et selon la lithothérapie,
il est censé apporter la richesse et l'opulence. La pierre d'abondance était en effet autrefois une pierre qui
garantissait la fertilité des terres et rendait le bétail fécond, et
aussi l'épouse à qui elle garantissait une nombreuse progéniture.
Il faut savoir que depuis qu'elle existe officiellement,
milieu du XXe siècle, la lithothérapie lie les pierres aux différents
chakras déterminés par la médecine ayurvédique dont elle s'inspire
souvent.
Les chakras sont au carrefour des circuits d'énergie traversant
le corps selon la tradition hindouiste.
D'autres correspondances existent, notamment par
couleurs mais aussi selon les formations cristallines, le signe du
zodiaque occidental ou chinois, le mois de naissance, le nombre d'années
de mariage.
Voici quelques exemples d'indications thérapeutiques concernant les bracelets en pierres naturelles qui sont en réalité des bijoux dits "magiques", car la vertu des pierres n'est en aucun cas révélée pour être réelle !
Le bracelet ou le collier d'ambre est revitalisant, on le conseille aux mères pour apaiser les douleurs dentaires des nourrissons.
Le bracelet en perles d'améthyste aide à se défaire
des addictions aux drogues ou à l'alcool, il est également conseillé
dans le cas de cure d'amaigrissement.
Le bracelet de perles de bronzite est recommandé aux
sportifs, car il aide au renforcement des muscles du dos et des jambes
en même temps qu'à leur décontraction.
Le bracelet de calcite favorise la croissance des enfants, apaisent les rhumatismes et les douleurs articulaires des adultes.
Le bracelet de chrysocolle fait disparaître les douleurs menstruelles.
Le bracelet en perles d'hématite améliore la circulation du sang.
Le bracelet en perles de cornaline facilite l'accouchement selon Hildegarde de Bingen.
Le bracelet de perles de jade renforce les reins, la vessie, recommandée aux hommes après la cinquantaine.
Le bracelet en perles de cristal de roche améliore l'état général, accélère les processus de guérison.
Le bracelet en perles de lapis-lazuli relaxe les nerveux, il est conseillé aux malades psychiques.
Le bracelet en perles de malachite diminue les chocs
et les traumas, l'action de la malachite est comparée à l'action de
l'arnica en homéopathie.
Le bracelet en pierre du soleil donne de la vitalité, indiqué en période de convalescence.
Le bracelet de perles de turquoise est réputé détoxifier l'organisme, et développer le système respiratoire.
Le bracelet en apatite est celui qu'il faut prendre quand on veut maigrir.
Le bracelet de tourmaline permet d'évacuer les peurs, peur du vide, peur de l'avion etc.
Le bracelet d'améthyste calme le stress, efface l'angoisse.
Le bracelet de pierre du soleil dissipe la mélancolie, la tristesse, atténue la douleur de la séparation.
Le bracelet de perles de calcédoine apaise la colère, renforce l'amour maternel, donne confiance en soi.
Le bracelet de perles de lapis-lazuli est réputé aphrodisiaque et accroît la virilité.
Le bracelet d'aigue-marine libère la parole, permet une meilleure communication.
Le bracelet de perles de cristal de roche attise l'intuition et favorise la voyance et la spiritualité.
Le bracelet de perles de pyrite stimule la mémoire et accroît les facultés intellectuelles.
Tous ces bijoux sont des objets qu’on envisage comme ayant en eux-mêmes la puissance de protéger celui qui les porte contre toute espèce de dangers et de maléfices, ou de lui assurer la possession des choses qu’il désire, tout comme les amulettes qui appartiennent au domaine des croyances magiques qui ont existé chez tous les peuples et se retrouvent encore partout sous les formes les plus diverses. Innombrables sont les objets auxquels on attribue un pouvoir magique.
La croyance aux amulettes est contraire à la vraie foi qui réclame l’unique confiance en Dieu !
Ésaïe 31.5 "Comme des oiseaux déploient les ailes sur leur couvée, ainsi l’Eternel des armées étendra sa protection sur Jérusalem ; Il protégera et délivrera, Il épargnera et sauvera. Revenez à celui dont on s’est profondément détourné, enfants d’Israël! En ce jour, chacun rejettera ses idoles d’argent et ses idoles d’or, que vous vous êtes fabriquées de vos mains criminelles."
Dieu considère comme criminel de se construire des amulettes, des talismans et autres idoles dans lesquelles on peut mettre sa foi, alors que lui seul peut protéger les hommes, les délivrer et les sauver.
Se mettre sous un joug idolâtre revient à se mettre sous le joug satanique et ouvrir la porte à ses agissements maléfiques !
La main de Fatima est un talisman censé
écarter le mauvais oeil.
Porté par les femmes
originaires du Moyen-Orient et du
Maghreb, il fait référence à la fille du
prophète Mahomet.
Toutefois, ce symbole aussi appelé kahmsa (cinq en arabe) semble bien antérieur à
l’Islam.
Il s’agirait plutôt d’une adaptation
culturelle, plus qu’un réel signe religieux.
D’ailleurs, le Coran ne semble pas y faire allusion.
On retrouve l’équivalent dans la tradition juive sous
la dénomination de «main de Myriam». Selon certaines
fouilles archéologiques, le talisman renverrait
même à Tanit, une déesse protectrice vénérée pendant
des siècles par les Carthaginois.
Même si certains catholiques disent qu'on peut s'adresser à un saint et que le saint intercesseur
est un intermédiaire, un porte-parole, et que votre prière (vous disposez d'une prière spécifique par saint) est infaillible
si vous êtes sincère, cela est anti-biblique de prier quelqu’un
d’autre que Dieu seul, comme Marie ou les saints. Que l’on prie Marie
et/ou les saints ou que l’on sollicite leur intercession, aucune des
deux pratiques n’est biblique. La prière est un acte d’adoration.
Lorsque nous prions Dieu, nous admettons que nous avons besoin de Son
secours. Adresser nos prières à quelqu’un d’autre en dehors de Dieu,
c’est voler à Dieu la gloire qui revient à lui seul. (ce sujet m’intéresse) Tout objet, telle qu'une statue, statuette, croix, chapelet, médaille ou autre ne peut servir de porte-bonheur ou de moyen de prier ! C'est de l'idolâtrie et de l'ésotérisme !
Le cauri ; c'est un coquillage originaire d’Asie, des Iles
Maldives ou des Indes. C’est la plus ancienne monnaie chinoise connue et c’était la
monnaie utilisée dans les anciens empires du Ghana, du Mali et du Songhaï, les
empires africains d’avant la colonisation. De plus, il avait une valeur
religieuse, culturelle (prêtres animistes, guérisseurs ou sorciers), ainsi
qu’une valeur symbolique. Leur forme rappelant le sexe féminin, les cauris
étaient utilisés lors des rites de fécondité.
Ce bijou assimilé parfois à un piment est en fait une corne. C'est un symbole italien, mais cette corne est née de la mythologie grecque.
Alors qu'il était enfant, Zeus arracha la corne de la chèvre qui était
sa nourrice. Il se servira ensuite de cette corne pour faire apparaître
des fruits et des fleurs en abondance. Elle est donc liée à la profusion
de richesses et est devenue un symbole de chance et de prospérité en
Italie.
« Nazar Boncugu », ce fameux œil bleu en verre de Turquie qui protège de toutes les énergies négatives.
En Égypte ancienne, le scarabée est le symbole de la résurrection. De
tout temps, il a été porté sous la forme d’amulette, censée faciliter
les transformations et favoriser le renouveau. Aujourd’hui, on peut
acheter des petits scarabées bleus, intégrés ou non à un bijou, pour
s’assurer une longue vie !
Bracelet brésilien appelé fitas, ce n’est pas 1 mais 3 vœux qui pourraient être
exaucés d’un coup, ce qui en fait l’un des grigris les plus rentables du
monde. Le rituel veut en effet que l’on noue trois fois le ruban autour
du poignet, chaque nœud pouvant correspondre à un souhait différent.
Ensuite il faut être patient, car c’est seulement lorsque le bracelet
tombe que les vœux seraient exaucés.
Célèbre en Méditerranée et notamment en Corse, l’œil de Sainte-Lucie est
l’opercule d’un coquillage au drôle de nom, le Turgot Rugueux, qui
s’échoue sur les plages lors des tempêtes, après avoir été roulé par les
vagues. Tout petit et très fin, il s’intègre merveilleusement bien dans
les bijoux, qu’il transforme alors en porte-bonheur. La tradition veut
que l’œil de Sainte-Lucie attire la chance !
"Sans doute avez-vous entendu parler de ce bijou de grossesse à la mode... LE BOLA ???
Après étude de la provenance du bola de grossesse, des lieux de fabrication…, l’origine réelle est l’Indonésie et plus particulièrement Bali, qui regroupe la plupart des fabricants de bijoux bolas de grossesse.
Suite à différents voyages touristiques en Indonésie et la visites de plusieurs îles comme Bali ou Java, les bolas de grossesse ont été ramenés par les touristes. Certains modèles sont de véritables pièces d’orfèvrerie, mais même s'ils sont le plus souvent réalisés à la main, la plupart des bolas sont en métal argenté, en laiton, bronze ou autres métaux moins précieux. Le bola de grossesse n'est en réalité pas seulement un bijou anodin, ni un grelot pour rassurer bébé pendant et après la grossesse, mais il était à l'origine offerts aux femmes enceintes pour porter bonheur au bébé et à la maman. Appelé bulan bola en Indonésie, le pendentif bola de grossesse est aussi remis de mères en filles de génération en génération.
Objet à la mode et attractif pour les futures mamans.
Une question se pose néanmoins aux chrétiennes : peut-on porter un porte-bonheur alors que Dieu seul est celui qui bénit celles qui se confient en lui ?
Tous ces bijoux sont liés à de fausses croyances idolâtres et ésotériques, voir à l'animisme.
L’animisme est la croyance que toutes choses, y compris les animaux,
plantes, pierres, montagnes, rivières et étoiles, ont une âme ou un
esprit, anima en latin. Les animistes croient que chaque anima est un
esprit puissant, qui peut les aider ou leur faire du mal et qu’ils
doivent craindre, adorer ou reconnaître d’une manière ou d’une autre.
L’animisme est une religion primitive, dont les adhérents adorent les
animaux, les étoiles et les idoles et pratiquent le spiritisme, la
sorcellerie, la divination et l’astrologie depuis des milliers d’années.
Ils ont recours à la magie, aux sorts, aux enchantements, aux
superstitions, aux amulettes, aux talismans, aux charmes et à tout ce
qui peut les protéger contre les esprits mauvais et leur attirer les
faveurs des bons esprits. On retrouve des éléments d’animisme dans
beaucoup de fausses religions, notamment l’hindouisme, le mormonisme et
toutes les sectes inspirées du Nouvel Âge.
Ces fausses religions
enseignent toutes d’une manière ou d’une autre que l’esprit de l’homme
est divin et que certaines pratiques nous permettront d’en prendre
conscience et de développer cet esprit divin en nous afin de devenir des
dieux.
C’est encore et toujours le même mensonge que Satan nous répète
depuis le jardin d’Éden, lorsqu’il a tenté Adam et Ève en ces mots : «
vous serez comme Dieu » (Genèse 3.5).
La Bible dit clairement qu’il n’y a qu’un seul Dieu et que tout ce qui existe d’autre, des anges du ciel aux grains de sable de la plage, a été créé par lui (Genèse 1.1).
La Bible dit clairement qu’il n’y a qu’un seul Dieu et que tout ce qui existe d’autre, des anges du ciel aux grains de sable de la plage, a été créé par lui (Genèse 1.1).
Toute religion qui enseigne qu’il y a plusieurs dieux est fausse. «
Avant moi jamais aucun dieu n’a été formé et après moi jamais aucun
autre n’existera. » (Ésaïe 43.10)
« C’est moi qui suis l’Éternel et il n’y en a pas d’autre ; à part moi, il n’y a pas de Dieu. »(Ésaïe 45.5)
Le culte de faux dieux, qui ne sont pas vraiment des dieux, est un
péché particulièrement odieux aux yeux de Dieu, car cela le prive de la
gloire qui lui revient de droit.
C’est pourquoi il l’interdit à
plusieurs reprises dans la Bible.
Les pratiques animistes sont aussi strictement interdites par la Bible : « Si un homme ou une femme a en lui l’esprit d’un mort ou un esprit de divination, il sera puni de mort. On le lapidera, son sang retombera sur lui. » (Lévitique 20.27)
Les pratiques animistes sont aussi strictement interdites par la Bible : « Si un homme ou une femme a en lui l’esprit d’un mort ou un esprit de divination, il sera puni de mort. On le lapidera, son sang retombera sur lui. » (Lévitique 20.27)
Elles ouvrent les portes de nos vies aux démons.
La Bible condamne
fermement ceux qui les pratiquent (Deutéronome 18, Lévitique 20, Ésaïe
47).
Avant de terminer cet article, faisons un petit inventaire des différents types de croix, car les chrétiens eux mêmes finissent par s'y perdre...
La croix latine est probablement l’une des plus
connues. Symbole chrétien et emblème du catholicisme, son origine est
bien entendu la crucifixion de Jésus sur la croix.
L’ânkh ou croix ansée n'est pas un symbole chrétien, mais un hiéroglyphe égyptien représentant la vie, ainsi que la déesse Isis.
La croix de Saint-Pierre est une croix latine inversée, car l'apôtre Pierre a été crucifié la tête en bas,
ne voulant pas avoir l’honneur de mourir comme Jésus. Ce symbole est
considéré par certains comme un symbole satanique (car il est « l’opposé
» de la croix latine).
La croix celtique est une croix par-dessus laquelle vient se placer un cercle. Elle est, entre autres, un symbole du christianisme irlandais.
La croix de Sainte-Brigitte
est un des symboles de l’Irlande. Fabriquée avec des joncs ou de la
paille, elle protège selon la tradition la maison des incendies et des
maléfices.
La croix basque ou lauburu est un symbole formé de quatre « virgules », symbole du pays basque, qui indiquerait au départ le mouvement du temps (4 saisons), ou les 4 éléments – l’eau, la terre, le feu et l’air.
La croix orthodoxe russe
La croix de Malte ou croix de saint Jean, est le symbole des Hospitaliers de l' ordre de Saint-Jean de Jérusalem.
La croix Occitane