Jeudi 14 juillet 1836 [1]
Enfoncée dans son matelas de laine, Montaine émergea d'une longue nuit de sommeil peuplée de fabuleux voyages, dans lesquels elle découvrait le monde en roulotte, enlevée par de mystérieux bohémiens. Le nez au ras de ses draps rêches, elle regardait la poussière danser dans les premiers rayons du soleil qui traversaient les volets. Engourdie par la canicule qui s'était depuis peu abattue sur le Berry, elle se laissait bercer par des voix lointaines, le choc assourdi du tisonnier sur le bord de la cheminée, et le crépitement joyeux des flammes dans l'âtre[2]. Doucement, elle abandonna ses rêves de liberté, pour revenir à la réalité de sa campagne qui exhalait de toutes parts l'odeur des foins. Elle tendit l'oreille au timbre sourd et rauque des paysans qui parlaient avec son père, autour de la table. Ils discutaient des travaux de fauche en cours, de l'aiguisage de leurs faux, de la répartition des fourches et des râteaux, et de la charrette du père Foltier qui servirait à amener leurs foins jusqu'aux granges. En buvant l'épais cidre de cormé, ils débattaient à n'en plus finir des moissons effectuées à la faucille, du battage au fléau qui se ferait en cadence tout l'hiver et du vannoir : cette machine qu'ils se prêtaient les uns les autres pour débarrasser le grain de ses impuretés. Bon gré mal gré, la jeune bergère se débarbouilla sommairement, dans la vasque de terre qui surplombait sa table de toilette, enfila une large robe de coton, et rejoignit discrètement sa mère près de la cheminée. Anne Jully triait les lentilles vertes qu'ils mangeraient à midi, cuites avec le lard du cochon tué en mai, de l'ail et un bouquet d'herbes aromatiques. Rien que de la regarder laver les succulentes légumineuses, les mains dans l'évier en pierre taillée, la jeune fille avait l'eau à la bouche. Elle se voyait déjà devant sa grande assiette creuse, mangeant avec un filet de vinaigre de corme, ce plat simple mijoté dans l'âtre depuis l'aube, au goût inégalable de fumée de sarments. Intimidée par la tablée de céréaliers qui causaient bruyamment au milieu de la pièce, Montaine prit un quignon de pain sec à la main, et s'éclipsa par la porte de la buanderie[3] pour se rendre à la traite.
- Va pas loin ! lui dit sa mère. Tu m'aideras à porter l'minguon[4] d'nentilles aux gars !
Devant la maison, Pierre était déjà au travail, assis devant la meule, pour affûter sa faucheuse :
- Hé ! la gazille, fougale-te à t'nir ton bout et vins avec nous al fauche[5] ! lui lança-t-il sans lever les yeux de son ouvrage.
- Ça fait l'temps pour désandiner ! lui répondit-elle avec entrain. J'prends oune pluche qu'est d'ma main et j'va pour épandre avec vous à midi[6].
Montaine comprit que les hommes seraient toute la journée dans les prés pour la fenaison[7], et qu'au crépuscule, ils ratisseraient le foin à demi séché, en faisant des andains[8], qu'ils déferaient le lendemain, lorsque le soleil aurait fait disparaître la rosée de la nuit. S'il n'y avait pas d'orage, la charrette du père Foltier serait amenée au champ en fin d'après-midi, pour être chargée. Les femmes seraient aussi embauchées pour donner un coup de main, car ce labeur était rude. D'autant plus que le chargement montait si haut que les fourchées de foin retombaient souvent en partie sur leurs têtes ! Enfin, lorsque la charrette serait pleine, on fixerait sur le chargement une longue perche en bois, pour éviter de perdre le fourrage sur les chemins étroits et cahoteux qui menaient à la grange. Le lendemain, Pierre monterait dans la carriole pour la décharger, Jean-Baptiste se tiendrait à l'entrée du bâtiment pour engranger, et Etienne répartirait les foins à l'intérieur. Dans le village et ses environs, tous les paysans travailleraient ainsi simultanément dans leurs domaines, et la fenaison durerait quinze jours à trois semaines.
Peu avant midi, Catherine et Pauline Chollet rejoignirent Anne Jully avec une fournée de pains de cuisses et de gouères[9], soigneusement emballés dans des linges, et entreposés dans leur charrette. Montaine et sa mère y ajoutèrent leur lourde marmite de lentilles aux grillons[10], ainsi que quelques batouilles[11] et bonbonnes de cormé.
- J'allais oublier les pluches dans l'feneau[12] ! s'exclama Montaine en se hâtant de récupérer les râteaux à foin dans la grange.
- Va quarre ton arc pour déverminer la verpioune[13] ! lui demanda Pauline qui craignait de croiser quelques rats des champs au milieu des meules de foin.
Fin prêtes, les femmes et leurs filles grimpèrent dans l'attelage, et le ch'tit Louis se hissa sur le dos de la robuste et pacifique ânesse. Heureux comme un prince, il talonnait de ses petits sabots de bois l’encolure de la bête, qui ne le sentant pas, n'allait pas plus vite. Elle marchait au pas comme un cheval de meunier, sans avoir besoin d’être guidée, connaissant son chemin par cœur et se dirigeant sûrement, sans jamais faire un faux pas malgré les cahots et les pierres. Au bout d’une demi-heure de trajet, elles perçurent les voix tonitruantes des hommes qui travaillaient dur et bramaient la faim. Catherine arrêta la charrette au bord du chemin, et le ch'tit Louis sauta lestement sur un tapis d'herbes fleurant bon les trèfles, la luzerne et les graminées coupées. Puis il courut se jeter dans les bras de son frère aîné, pour fièrement lui raconter son voyage hippique. Les femmes, apportant le goûter[14], furent accueillies chaleureusement par toutes sortes d'acclamations et de sifflements joyeux. Et il n'en fallait pas plus aux courageux paysans, travaillant depuis des heures sur le domaine, pour oublier les rayons ardents du soleil, la fatigue et la faim. Des draps furent rapidement étalés sur le pré de fauche, et la vaisselle installée, pour que chacun puisse se désaltérer, et se régaler des mets gras et succulents que les bienveillantes épouses avaient préparé.
- Ils tazounont aguenés d'avoir tant rouché et fricoté[15], chuchota la jeune bergère à son amie, d'un air attendri, en commençant à râteler.
Pauline et Montaine aimaient ces activités estivales au milieu des herbes coupées, où les abeilles tournoyaient autour des fleurs équeutées et les sauterelles paniquées bondissaient en tous sens. Parfois, sous le regard dégoûté de Pauline, Montaine achevait avec son arc et ses flèches, des souris, des grenouilles ou des orvets que les faucheurs avaient blessés. D'un pas agile, les jeunes filles gambadaient dans les différentes parcelles, esquivant prudemment des nids de guêpes affolées, et enjambant lestement des trous d'eau dissimulés sous l'herbe couchée. Au moyen d’une petite fourche et d’un râteau, elles éparpillaient l’herbe de façon à l’étendre régulièrement sur toute la surface qui leur était impartie. Et quand par endroits la couche était trop épaisse, elles déplaçaient l'excédent, vers une aire où elle était plus rare. Elles enlevaient aussi l’herbe des parties trop humides des prairies, en la portant sur des zones sèches. C’était un travail éreintant, car l’herbe fraîche était lourde et difficile à manier, mais les deux amies avaient retrouvé toute la vigueur et le courage qui leur avaient tant fait défaut pendant les mois d’hiver. Elles œuvraient ensemble à l'unisson, comme si elles valsaient au bras de leur râteau, et discutaient tant et si bien qu'elles ne voyaient ni le temps passer, ni leur corps brûler sous le soleil et l'effort.
- Aga me don los crassoux ! Al brejaudont ! s'exclamaient leurs frères amusés. On diraint qu'al foutont en déroute la verpioune et qu'al dansont plutôt qu'd' darder[16] !
Mais les deux amies n'écoutaient pas leurs moqueries, tant elles étaient concentrées sur leurs travaux et leurs conversations. En formant des andains, elles prenaient soudain conscience de l'année écoulée, et de toutes les épreuves qu'elles avaient endurées avec succès. Elles réalisaient combien Dieu les avait aimées, choyées et éduquées afin qu'elles récoltent, en son temps, une belle moisson de grâces. Il les avait nourries du pain céleste, arrosées de ses ondées divines, et portées sur ses mains, alors qu'elles flanchaient dans leurs rouains, et broyaient les cendres de leurs deuils passés. Tout en ratissant, elles repassaient sur leur cœur toutes les exhortations et les instructions reçues ces derniers mois, ainsi que toutes les méditations qui les avaient réconfortées. Elles formaient des andains de bénédictions comme autant d'autels de témoignages, dont elles pourraient désormais se servir pour nourrir et soigner des personnes malades et découragées. Plus que l'odeur chaude et tenace des foins et de la sueur, c'est un parfum de louange et de gloire qui émanait de leurs vies restaurées. Alors, elles louèrent Dieu pour toutes les richesses dont il les avait comblées, et elles chantèrent à tue-tête le Psaume 91. Elles riaient comme des follettes, conscientes que les épreuves endurées étaient finalement légères et éphémères, proportionnellement à l'éternité à laquelle elles les préparaient. De plus, leur créateur leur avait accordé une plénitude de gloire, dépassant tout ce qu'elles auraient pu imaginer[17]. Mieux comprendre la souveraineté de Dieu les empêchait dorénavant de craindre les difficultés. Dorénavant, elles considéraient les épreuves comme des interpellations divines à changer de voies, à être émondées ou purifiées. Plus jamais elles ne rechigneraient contre la serpette divine, venant émonder leur vie, se disaient-elles, affirmant avec assurance leur foi, et désirant plus que tout demeurer en Dieu :
- Confions-nous en lui sans crainte ! Reposons-nous sur lui avec foi ! Cherchons-le de tout notre être ! Regardons à lui et à ses œuvres ! Chantaient-elles gaiement en étalant le foin. Si nous accomplissons notre part, dans sa fidélité, Dieu répondra à nos cris. Et puisqu'il nous aime, il viendra lui-même à notre secours. Car il finit toujours par nous délivrer et par se glorifier dans nos vies. Sa parole est la vérité, et elle agit comme un grand bouclier, nous mettant à l'abri de tous les dangers.
Alors que le soleil commençait à descendre derrière la forêt, elles s'affalèrent contre un meulon de foin, et se désaltérèrent à la goulinette[18] en regardant les hommes s'affairer au loin. L'heure était propice aux confidences et Montaine, fermant les yeux sur les champs de fauche, se confia librement à son amie, en parlant sans retenue de ses sentiments:
- Pauline, tu aperçois le château des Stuarts[19], à l’horizon ? Imagine-toi dans l'une de ses tours, placée devant une meurtrière[20]. De cette hauteur, on peut voir la cour et les jardins extérieurs… on peut bandé l’arc, et tirer des flèches. Tu te vois à l'affût, oreilles et regards aiguisés, prête à tirer sur l'ordre du Seigneur ? Tu le sens à tes côtés, poser ses mains sur les tiennes et sa droite triomphante s'associer à tes faibles bras, afin que tu atteignes le but et remportes la victoire.
- Il combat toujours avec nous ! exulta Pauline, c’est pourquoi nous pouvons demeurer pleinement dans le calme et la confiance. Il ne nous enverra pas maintenant sur un quelconque champ de bataille, il connait nos faiblesses et nous tiendra à l'abri de ses ailes.
- Il est lui-même notre rempart, notre tour forte et notre sécurité. En lui, nous n’avons rien à craindre, et notre collaboration dans les combats se mueront en joyeuse communion, renchérit Montaine.
- Pendant qu'il exercera nos mains aux combats, nous apprendrons toujours plus à dépendre de lui, à écouter sa voix, et à nous reposer sur son omniscience et son omnipotence, poursuivit Pauline.
- Dans cette tour forte, nous pouvons avoir la sensation exquise d'être au cœur de la trinité, comme ses filles jouissant pleinement de la présence bienveillante de leur Père céleste. Nous pouvons parfaitement profiter de son amour infini et de la meilleure des pédagogies, se réjouit Montaine.
- Tout en tirant nos flèches avec une force prodigieuse, nous ferons d'Elohîms nos délices, tout comme aurait pu le faire des enfants apprenant à combattre avec le plus grand des héros et le plus aimant des pères, proclama la jeune meunière.
- Mais il est plus que cela, il est le Roi des rois, le créateur de l'univers, il est Dieu au-dessus de tout ! Sa seule présence remplit mon cœur de louanges et d'amour ! s’écria Montaine.
Comme l’a dit David dans les Psaumes : Je demande à l'Éternel une chose, que je désire ardemment : je voudrais habiter toute ma vie dans la maison de l'Éternel, pour contempler sa magnificence[21], poursuivit Pauline.
- Dieu nous enseigne continuellement, admit Montaine avec une grande émotion. Il nous apprend en théorie et par expérience ; il nous donne l'instruction comme le meilleur des maîtres, et il nous pousse à imiter Jésus, en suivant son exemple.
- Mais pourquoi exerçait-il mes bras à tendre l'arc, et mes mains à tirer ces flèches ? la questionna Montaine.
- Il n'y a pas de hasard, jeune et téméraire archer ! lui répondit son amie en riant. Il y a peu de temps, je lisais qu’intercéder, signifie aussi : frapper le but en lançant une flèche…
- Intercéder, murmura Montaine, songeuse.
- Le Saint-Esprit et Jésus intercèdent pour nous, poursuivit Pauline. L'intercession prend donc place dans les lieux célestes, c'est pourquoi un peuple attaché à la terre ne peut pas y accéder. Les intercesseurs sont ceux qui prennent de la hauteur par l'Esprit, et qui ont compris qu'ils sont assis en Christ dans les lieux célestes, où ils ont accès à la salle du trône pour communiquer directement avec Dieu.
- Alors, intercéder, c'est tirer des flèches dans la cible que Dieu nous a montrée, en étant assis en Christ dans les lieux célestes, en déduit Montaine.
- Et c'est plaider une cause devant Dieu pour quelqu'un, avec compassion et amour, ajouta son amie.
- Dans sa grâce et sa bonté infinies, Dieu s'est abaissé jusqu'à nous pour nous tendre la main, nous relever et nous faire grandir, poursuivit la jeune bergère, le cœur battant la chamade. Il nous a éduquées et instruites tel un père.
- Il ira jusqu'au bout du processus, c'est pourquoi nous ne pouvons pas hâter la fin de nos épreuves par nos supplications. C'est seulement en son temps qu'une page peut se tourner, pas avant ! l'interrompit Pauline. Toutefois, avec lui et grâce à lui, nous avançons sûrement. Même si nous avions l'impression de stagner, nous sommes en réalité en pleine croissance !
- Tout comme le chantier que ton père a entrepris sur les rives de la Nère, l'ouvrage accompli par la trinité divine a aussi bouleversé nos vies, en les mettant sens dessus dessous, en nous faisant perdre tous nos repères, et en nous donnant l'impression d'être abandonnées à notre triste sort, observa Montaine. Mais Dieu veille et il ne nous a jamais délaissées. Il a même œuvré comme jamais en profondeur dans nos cœurs…
- Oui, il en a élargi l'espace, pour que nous l'adorions en esprit et en vérité, renchérit Pauline, enthousiasmée. Il a ôté les pierres de nos cœurs, et il les a attendris pour que nous accomplissions le bien, avec compassion et amour envers notre prochain.
- Il nous a donné son cœur ! insista Montaine, les larmes aux yeux. Et finalement, il a donné de l'aisance et de la sécurité à nos pas, en nous donnant de la stabilité et de l'assurance en lui. Il a ôté tous les tapis de mensonges et les illusions que nous nous faisions sur nous-mêmes, sur lui et sur les autres… et nous sommes maintenant debout sur le rocher des siècles, sans autre appui sous nos pieds que la parole de Dieu !
- C'est pour cette raison que nos jambes ne fléchissent pas, que nos chevilles ne se tordent pas, et que nos pieds ne chancèlent pas, continua Pauline avec ferveur. Il les a raffermis pour que nous marchions droit, sans nous détourner à droite ou à gauche…
- Pour que nous fusionnions avec ses jambes, comme une même plante, ou comme des frères siamois ! exulta Montaine qui se souvenait de sa danse avec Jésus.
- Et il a circoncis nos cœurs, ajouta Pauline, pensive. Les traces de nos pas, laissées sur le chemin, seront autant de témoignages pour la gloire de Dieu, afin que d'autres suivent Christ.
- Nous avons vu sa fidélité et ses promesses s'accomplir au fil des années, conclut Montaine. Ce que Dieu avait dit s'est accompli. Chacune de ses révélations se sont rassemblées peu à peu, et notre vision s'est éclaircie. En jetant un œil en arrière, nous voyons tout ce qu'il a fait, et nous pouvons comprendre ses voies, sa pédagogie, son infinie sagesse… tous les tenants et les aboutissants de ces dernières années, mais aussi tous les liens destructeurs qu'il a brisés et qui nous rattachaient à notre lointain passé. Une page se tourne, mais l'histoire est sans fin.
[1] La fête nationale du 14 juillet pour commémorer la prise de la Bastille de 1789 ne fut instituée qu'en 1880.
A l'époque où se déroule le récit de "Montaine", on fêtait plutôt la Saint-Napoléon le 15 août. (De 1806 à 1848).
[2] Été ou hiver, la cheminée était chaque jour allumée pour faire bouillir l'eau et cuisiner.
[3]Petit local, attenant à la maison, réservé à la lessive en mauvaise saison. Dans chaque buanderie, il y avait un trépied sous lequel on mettait le feu et qui permettait d'installer un baquet à une hauteur limitant au minimum la fatigue et le mal de dos.
[4]En berrichon : Repas porté aux champs.
[5]En berrichon : Jeune fille, hâte-toi de faire ta part de travail et viens avec nous au pré de fauche.
[6]En berrichon : Le temps est favorable pour écarter le foin, mis en andains pour qu'il sèche. Je prends un râteau fait pour ma main et j'arrive pour écarter le foin à midi.
[7] Coupe et récolte des foins.
[8] Bandes continues de fourrage déposées au sol.
[9] Pains de ménage et gâteaux de cerises griottes.
[10] Tranches de lard grillé.
[11] Cruches de lait.
[12] En berrichon : "J'étais sur le point d'oublier les râteaux à foin dans la grange !"
[13] En berrichon : "Va chercher ton arc pour exterminer la vermine !"
[14] En berrichon : le repas du midi.
[15] En berrichon : Ils prennent leur temps, fatigués d'avoir tant travaillé dur et d'avoir mangé.
[16] En berrichon : Regardez-moi donc les crasseuses ! Elles font leur travail maladroitement ! On dirait qu'elles se débarrassent de la vermine et qu'elles dansent plutôt que de travailler dur.
[17] D'après la deuxième épitre de Paul aux Corinthiens 4.17.
[18] En berrichon : A la régalade, sans porter la cruche à la bouche.
[19] Château de style renaissance, construit à Aubigny-sur-Nère au XVIe siècle par Robert Stuart d’Aubigny (1470 † 1544), comte de Beaumont-le-Roger, seigneur d’Aubigny, et militaire français d'origine écossaise.
[20] Fente verticale d'une muraille par laquelle on pouvait envoyer des projectiles sur les assaillants.
[21] D'après le Psaume 27.4.
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