LUC 18.1‑8
Tandis que les Israélites combattaient, une bataille spirituelle se livrait en même temps, non loin de là.
L’Écriture nous apprend que Moïse s’est fatigué de prier durant une situation critique (Exode 17.12). Si un grand leader spirituel a pu se lasser ainsi, nous ne devrions pas être surpris de nous sentir abattus ou défaits.
Quand des luttes s’annoncent, nous perdons souvent courage parce que nous nous concentrons sur nos circonstances.
Nous permettons à notre ennemi de fausser notre perspective du conflit.
N’y voyant aucune issue, nous nous affolons.
Nous pourrions même cesser de prier, car nous avons l’impression que notre problème est insoluble.
Nous sommes si déçus et fatigués.
Jésus savait que nous nous laisserions parfois abattre.
Voilà pourquoi il a raconté, dans les versets du jour, la parabole de la veuve qui persévérait dans la prière. Il voulait encourager ses disciples à ne pas se lasser de prier.
Pour ce faire, ils ont besoin de foi, car sans elle, il est impossible de plaire à Dieu (Hébreux 11.6).
N’oublions pas que notre ennemi se réjouit quand nous abdiquons, mais que la démission n’est jamais notre seule option.
Si nous pouvions considérer les choses comme Dieu, nous verrions une tout autre situation.
Nous devrons peut‑être prier avec ferveur, comme pour surmonter des obstacles extraordinaires, mais ce faisant, notre mesure de foi et de persévérance croîtra.
Ne nous lassons donc pas de prier. Encourageons‑nous en lisant la Parole de Dieu.
Nous entendrons le Seigneur nous assurer qu’il combat pour nous.
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GENÈSE 50.15‑21
Dieu nous a donné de nombreuses et merveilleuses promesses.
Il nous assure de son amour fidèle (Romains 8.38,39), de ses soins (2 Corinthiens 9.8) et de sa direction (Proverbes 16.9), mais il ne nous a jamais promis une vie facile.
Nous pouvons cependant compter sur le fait qu’il fera tout concourir, y compris l’adversité, à notre bien (Romains 8.28).
Nous permettons à notre ennemi de fausser notre perspective du conflit.
N’y voyant aucune issue, nous nous affolons.
Nous pourrions même cesser de prier, car nous avons l’impression que notre problème est insoluble.
Nous sommes si déçus et fatigués.
Jésus savait que nous nous laisserions parfois abattre.
Voilà pourquoi il a raconté, dans les versets du jour, la parabole de la veuve qui persévérait dans la prière. Il voulait encourager ses disciples à ne pas se lasser de prier.
Pour ce faire, ils ont besoin de foi, car sans elle, il est impossible de plaire à Dieu (Hébreux 11.6).
N’oublions pas que notre ennemi se réjouit quand nous abdiquons, mais que la démission n’est jamais notre seule option.
Si nous pouvions considérer les choses comme Dieu, nous verrions une tout autre situation.
Nous devrons peut‑être prier avec ferveur, comme pour surmonter des obstacles extraordinaires, mais ce faisant, notre mesure de foi et de persévérance croîtra.
Ne nous lassons donc pas de prier. Encourageons‑nous en lisant la Parole de Dieu.
Nous entendrons le Seigneur nous assurer qu’il combat pour nous.
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GENÈSE 50.15‑21
Dieu nous a donné de nombreuses et merveilleuses promesses.
Il nous assure de son amour fidèle (Romains 8.38,39), de ses soins (2 Corinthiens 9.8) et de sa direction (Proverbes 16.9), mais il ne nous a jamais promis une vie facile.
Nous pouvons cependant compter sur le fait qu’il fera tout concourir, y compris l’adversité, à notre bien (Romains 8.28).
Joseph a appris ce principe en le vivant.
Ce n’est toutefois que bien des années après avoir surmonté l’épreuve qu’il a pu en attester la véracité. On a raison de croire qu’au moment où il souffrait injustement, il n’a pas compris ce que Dieu voulait faire de sa vie.
Le même principe s’applique à nous.
Quand nous sommes agités en raison de nos problèmes, il est facile de nous concentrer sur eux et de nous affoler.
Nous devons cependant décider de croire ce qu’affirme la Bible quant au caractère, aux desseins et aux activités de Dieu.
Ce faisant, nous cesserons de ne penser qu’à la tempête qui nous assaille et tournerons le regard vers celui qui peut nous la faire traverser en toute sécurité.
En sa présence, la crainte et les doutes disparaissent et font place à la paix.
Nous devons fixer Dieu des yeux et croire que le Saint‑Esprit nous accordera la force, la sagesse et le courage nécessaires dans la situation.
Nos difficultés ne cesseront pas forcément lorsque nous nous tournerons vers le Seigneur, mais il va nous aider à comprendre que nous sommes là où il nous veut.
Il vise un but en permettant la douleur, soit notre croissance.
Quelle que soit la situation, nous sommes le plus en sécurité quand nous nous soumettons à sa volonté.
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Ce n’est toutefois que bien des années après avoir surmonté l’épreuve qu’il a pu en attester la véracité. On a raison de croire qu’au moment où il souffrait injustement, il n’a pas compris ce que Dieu voulait faire de sa vie.
Le même principe s’applique à nous.
Quand nous sommes agités en raison de nos problèmes, il est facile de nous concentrer sur eux et de nous affoler.
Nous devons cependant décider de croire ce qu’affirme la Bible quant au caractère, aux desseins et aux activités de Dieu.
Ce faisant, nous cesserons de ne penser qu’à la tempête qui nous assaille et tournerons le regard vers celui qui peut nous la faire traverser en toute sécurité.
En sa présence, la crainte et les doutes disparaissent et font place à la paix.
Nous devons fixer Dieu des yeux et croire que le Saint‑Esprit nous accordera la force, la sagesse et le courage nécessaires dans la situation.
Nos difficultés ne cesseront pas forcément lorsque nous nous tournerons vers le Seigneur, mais il va nous aider à comprendre que nous sommes là où il nous veut.
Il vise un but en permettant la douleur, soit notre croissance.
Quelle que soit la situation, nous sommes le plus en sécurité quand nous nous soumettons à sa volonté.
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