Les apparences sont souvent trompeuses; telle est la prémisse de plusieurs romans d’intrigue et d’émissions de télé.
Ce dicton peut aussi bien nous servir dans la vie.
Trop de gens fondent leurs décisions sur des sentiments ou jugent des situations selon les apparences.
Or, le Seigneur a donné à chaque croyant du discernement afin qu’il puisse déterminer ce qu’il y a de mieux à faire.
Pensons au nombre de décisions à prendre quotidiennement quant à la
famille, aux finances, au travail, et plus encore.
Dans un monde idéal, il y aurait une bonne et une mauvaise option.
Dans ce cas, il serait facile de choisir. En réalité, ce qui semble bien n’est pas toujours le meilleur.
Certaines choses, qui ne sont ni mal ni impies, ne cadrent cependant pas avec la volonté de Dieu pour nous.
Nous ne trouverons pas dans l’Écriture des directives précises pour chaque scénario de vie.
Elle est toutefois remplie de principes qui nous sont parfois transmis au moyen d’histoires et d’enseignements.
Les chrétiens devraient croître en maturité spirituelle, de sorte que, dirigés par l’Esprit, ils prennent de bonnes décisions, étayées sur des principes bibliques.
Il ne s’agit pas de savoir si tel choix semble bon ou agréable, mais s’il respecte la volonté de Dieu pour la personne.
Un juste discernement est essentiel pour obéir à Dieu.
En l’absence de sensibilité à la volonté de Dieu, on croit n’importe quoi.
De nombreuses options nous paraissant convenables et plaisantes sont en réalité contraires à la volonté divine pour nous.
Il importe donc d’évaluer toutes les situations à la lumière de la Bible.
Le discernement nous gardera d’être trompés.
Comme le péché a toujours l’air tentant et attirant, si nous croyons que ce qui nous semble beau et agréable est acceptable, nous risquerons de nous laisser berner par l’ennemi.
Quand Satan nous tente, il ne nous montre jamais les conséquences négatives de nos actions.
Dieu nous accorde du discernement pour que nous jugions entre le bien et le mal.
Cette capacité nous protège de la souffrance qui accompagne la désobéissance.
N’ignorons donc pas un malaise dans notre esprit, un genre de « grésillement spirituel ».
Quand on syntonise un poste, on cherche un signal clair.
Il nous faut par conséquent un bon contact avec le Saint-Esprit pour savoir, sans l’ombre d’un doute, que nous faisons la bonne chose et que notre choix s’inscrit dans le cadre de la volonté de Dieu.
Parfois, une occasion nous semblera inoffensive ou, plus souvent, très attirante.
Si le Saint-Esprit nous révèle que nous ne devrions pas la saisir, obéissons-lui.
C’est qu’il ne s’agit pas de la volonté de Dieu.
Nous pourrons faire des hypothèses, mais nous ne saurons possiblement jamais de quel danger l’obéissance nous a sauvés.
Le péché ne se présente pas initialement comme la désobéissance laide et trompeuse qu’il est en réalité.
Dans un monde idéal, il y aurait une bonne et une mauvaise option.
Dans ce cas, il serait facile de choisir. En réalité, ce qui semble bien n’est pas toujours le meilleur.
Certaines choses, qui ne sont ni mal ni impies, ne cadrent cependant pas avec la volonté de Dieu pour nous.
Nous ne trouverons pas dans l’Écriture des directives précises pour chaque scénario de vie.
Elle est toutefois remplie de principes qui nous sont parfois transmis au moyen d’histoires et d’enseignements.
Les chrétiens devraient croître en maturité spirituelle, de sorte que, dirigés par l’Esprit, ils prennent de bonnes décisions, étayées sur des principes bibliques.
Il ne s’agit pas de savoir si tel choix semble bon ou agréable, mais s’il respecte la volonté de Dieu pour la personne.
Un juste discernement est essentiel pour obéir à Dieu.
En l’absence de sensibilité à la volonté de Dieu, on croit n’importe quoi.
De nombreuses options nous paraissant convenables et plaisantes sont en réalité contraires à la volonté divine pour nous.
Il importe donc d’évaluer toutes les situations à la lumière de la Bible.
Le discernement nous gardera d’être trompés.
Comme le péché a toujours l’air tentant et attirant, si nous croyons que ce qui nous semble beau et agréable est acceptable, nous risquerons de nous laisser berner par l’ennemi.
Quand Satan nous tente, il ne nous montre jamais les conséquences négatives de nos actions.
Dieu nous accorde du discernement pour que nous jugions entre le bien et le mal.
Cette capacité nous protège de la souffrance qui accompagne la désobéissance.
N’ignorons donc pas un malaise dans notre esprit, un genre de « grésillement spirituel ».
Quand on syntonise un poste, on cherche un signal clair.
Il nous faut par conséquent un bon contact avec le Saint-Esprit pour savoir, sans l’ombre d’un doute, que nous faisons la bonne chose et que notre choix s’inscrit dans le cadre de la volonté de Dieu.
Parfois, une occasion nous semblera inoffensive ou, plus souvent, très attirante.
Si le Saint-Esprit nous révèle que nous ne devrions pas la saisir, obéissons-lui.
C’est qu’il ne s’agit pas de la volonté de Dieu.
Nous pourrons faire des hypothèses, mais nous ne saurons possiblement jamais de quel danger l’obéissance nous a sauvés.
Le péché ne se présente pas initialement comme la désobéissance laide et trompeuse qu’il est en réalité.
Il est plutôt revêtu d’un bel
emballage auquel il est difficile de résister.
Les enfants de Dieu
peuvent cependant voir au-delà du tape-à-l’œil.
Puisque la sagesse
spirituelle tire sa source d’un cœur pur et d’un esprit qui discerne, le
croyant sage intégrera à sa routine quotidienne la prière, la
repentance et l’étude biblique.
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