26. Revoyons notre témoignage
Psaumes 34 / 4 à 8 "J’ai cherché l’Eternel, et il m’a répondu ; Il m’a délivré de toutes mes frayeurs. Quand on tourne vers lui les regards, on est rayonnant de joie, Et le visage ne se couvre pas de honte. Quand un malheureux crie, l’Eternel entend, Et il le sauve de toutes ses détresses. L’ange de l’Eternel campe autour de ceux qui le craignent, Et il les arrache au danger. Sentez et voyez combien l’Eternel est bon ! Heureux l’homme qui cherche en lui son refuge !"
A 20 ans, à l’aube d’une vie de couple, et juste avant la date de mon mariage, j’ai levé les yeux vers le ciel dans un soupir. Après tout, qui d’autre que le Créateur pouvait savoir ce qu’il y avait de meilleur pour moi ? Quel manuel autre que la bible pouvait me donner les instructions pour réussir ma vie ? Alors, pour la première fois, dans ma chambre d'étudiante, j’ai prié en m’attendant à une réponse divine. La première chose à faire était de trouver ce Dieu inconnu… Et, oh merveille, il s’est révélé à moi ! J’ai soudain réalisé combien j’avais perdu de temps en vanités à m’éloigner de la source de la vie ! Que de souffrances, de luttes vécues loin de lui ! Avant de le connaître, mon esprit était assoiffé d’absolu et de vérité. Mais j’avançais en plein brouillard, je m’accrochais à des illusions, je m’épuisais et me sentais toujours aussi vide. Mon âme angoissée recherchait l’amour et la paix absolus, un terrain solide sur lequel construire ma vie d’adulte en toute sécurité. Je m’enfonçais dans des marais de désespoir et d’incertitudes, la vie que j’aimais tant semblait m’échapper. Alors que je luttais incessamment contre mes tourments intérieurs, mon corps comme mon âme se débattait contre toutes sortes de phobies. A force de lutter contre toutes ces détresses et d’essayer de vivre malgré tout, je m’épuisais littéralement. Comment sortir de ce marasme ? Comment parvenir à la paix tant désirée, à l’équilibre intérieur ? Comment construire envers et contre tout un foyer solide, uni et heureux alors que tout basculait à l’intérieur comme à l’extérieur ? A travers tous ces tourments, Dieu préparait mon cœur à sa révélation, car au fond de moi, je voulais de plus en plus croire en ce Dieu tout puissant et absolu, à ce Dieu d’amour et de vérité, ce Dieu qui pouvait tout changer et m’aider à construire une vie riche de sens et d’amour. Et le soir du 20 juin 1988, Dieu répondit à mon cri silencieux en me donnant sa paix qui surpasse tout.
Une semaine plus tard, le 2 juillet 1988, je fus invitée à une réunion d’évangélisation sous un chapiteau et le pasteur (un tzigane de Bretagne de passage en Normandie) fit un appel pour tous ceux qui désiraient donner leur vie à Jésus Christ. Sans hésiter un instant, je m’abandonnai entre les mains du Dieu vivant, en même temps que mon fiancé. A l’instant même ce fut comme si Dieu me sortait de la mer déchaînée dans laquelle je luttais depuis cinq longues années ; comme si par sa main puissante, il m’avait saisie et amenée sur un terrain solide, en toute sécurité. Et en un instant je fus délivrée de tous mes maux (dépression, angoisses, phobies), j'étais guérie !
J'ai vécu trente ans sans être malade, puis la souffrance a de nouveau frappé ma vie. Pourquoi ? Je ne comprenais pas. Était-ce hormonal ? Était-ce un burnout ? Et que voulait faire Dieu à travers tout cela ?
Il voulait me révéler des tapis de mensonges, redresser ma vie par une bonne orthodoxie et une bonne orthopraxie ! Il a mis en lumière des blessures passées pour les guérir, des fragilités, des dysfonctionnements et des spécificités, enfouis sous un vernis spirituel. Il s'est servi de la maladie pour me mettre à nu, pour creuser jusqu'au plus profond de mon âme, pour me montrer la face cachée de l'iceberg, les racines et les liens entrelacés qui m'étouffaient… Il a fait tomber les idoles et a remis à sa place chaque membre de ma famille. Il a brisé toutes mes illusions sur lui, sur moi-même et sur les autres. Il a fait de l'ordre, en m'aidant à trier, jeter ou garder tout ce qui avait fait de moi la femme que j'étais devenue. Il a même brisé des liens de codépendance affective, afin que je fasse vraiment un avec lui et que je tisse avec mon mari un lien moins fusionnel.
Lorsque mon mari m'a connue, je n'avais que 15 ans et j'étais en détresse (dépressive, phobique, hypocondriaque… et en crise d'adolescence de surcroit). Il a joué le rôle du prince charmant chevaleresque venant sauver sa bien-aimée du marasme. La codépendance s'est tout de suite mise en place, nous étions inséparables.
La description que je fais de cette période dans le premier tome du Royaume du trine, illustre assez bien la situation :
Extraits : "En ce sordide matin d'automne nébuleux (Quand mon grand-père fit une attaque cérébrale), Nymphéa glissa dans les eaux profondes d’une mer démontée qui devint son ennemi meurtrier. Le soleil s’était soudain caché. Comme une fleur, elle replia ses pétales opalins, réflexe pour se défendre des embruns. Son unique but était désormais de survivre à la surface, les yeux fixés sur le ciel immense, malmenée dans un combat intense. Iris des eaux calmes et fermées, elle se retrouvait désormais seule à lutter, perdue, contre un océan déchaîné et inconnu. Alors, elle se débattit de toutes ses forces pour ne pas sombrer dans l'abysse lugubre et sinistre. L'océan était envahi de ténèbres et de créatures abjectes qui voulaient l'entraîner dans leur folie destructrice et mortelle. Seule face à son désespoir, elle lutta de toutes ses forces contre les vagues qui voulaient la submerger et l'emporter toujours plus vers le large. Même si elles lui coupaient le souffle et l'oppressaient sans compassion, elle recherchait avec acharnement la source de La Vie, cette vie profonde et infinie qui lui ferait retrouver son paradis perdu et lui redonnerait la joie immense et pure de ses années d'innocence. Elle aspirait tant avoir la force nécessaire pour résister à cet océan putride et à ses flots impétueux qui en s'abattaient sans répit sur elle. Bien qu'environnée par les eaux, elle éprouvait en effet une soif intérieure infinie, l'impression que la vie était bien au-delà que ce qu'elle pouvait percevoir ou de ce qu’elle avait pu entendre. Cet océan infâme était tellement corrompu ! Elle savait qu'elle ne pouvait sensément s'y abreuver sans en être affectée, ni logiquement s'y abandonner sans trouver une issue fatale. Cette réelle et intense soif d'absolu et de paix intérieure l'habitait. Elle savait intuitivement et pertinemment qu'il existait quelque part l'Amour parfait, au-delà de tout ce que ses congénères pouvaient dire ou faire, de toute sagesse humaine, de toute pensée religieuse, de tous les artifices de ce monde qu'elle abhorrait soudain avec colère. Elle ne savait où chercher, mais tout son être aspirait après. Après quoi ? Elle ne le savait pas…
Le ciel houleux, chargé de nuages noirs, lui cachait toute lueur d'espoir. Ballotée par les vagues, elle parvenait toutefois à reprendre son souffle et à se battre contre ces bas-fonds de perplexité et de découragement. Elle avait des certitudes, des convictions fortes et intuitives qui ne venaient ni de son éducation, ni de quelconque philosophie apprise dans les livres. Elle se sentait comme une extra-terrestre, comme si elle avait été parachutée dans un monde qui n'était pas le sien. Elle avançait comme une amnésique qui essayait de se souvenir, tâtonnant pour trouver LA porte de sortie... Elle ne voulait pas ressembler à ses amies en se noyant dans l'alcool. Elle ne souhaitait pas disparaitre sous des nuages psychotropes et toxiques. Elle résista pour ne pas livrer son corps à la dépravation ni s'agiter comme un pantin grotesque au son de rythmes endiablés, telle une marionnette captive et insensée. Elle refusait d'être l’esclave de toute substance et ne se serait jamais abandonnée dans les bras du premier venu. Elle voulait entendre LA Vérité, elle voulait la découvrir et la vivre pleinement. Elle savait viscéralement que ce qu'elle recherchait se trouvait au-delà de cet océan infâme, de cette terre abritant le meilleur comme le pire, de cet univers et du temps. Avec la rage de l’espoir et son amour passionné pour la vie, elle s'accrocha donc de toutes ses forces pour trouver LA Vérité parmi toutes les vérités. Logiquement, il devait bien exister un chemin pour y parvenir, un seul chemin, un seul sillage au cœur de ce sombre océan oppressant… Sa soif d'absolu pouvait-elle encore longtemps la préserver du gouffre de cette mer immonde ? Les forces semblaient peu à peu l'abandonner…
Mais soudain, sans présage, ni raison apparente, un parhélie apparut pendant quelques secondes hors du temps, se reflétant sur les eaux. L'océan se calma instantanément, comme s'il eut été prodigieusement transformé en un lac impassible et muet. Le soleil perça les nuages menaçants et vint caresser son visage marqué par la lutte et les embruns. C'était comme une trêve inattendue et inexpliquée, un miracle de paix au cœur de la tourmente, un cadeau céleste, un mystère qu'elle ne chercha pas à comprendre mais qu'elle accepta avec soulagement et émerveillement. Doucement, elle se laissa flotter au gré des courants indolents, un peu plus près du rivage salé, le corps marqué et épuisé. C'est alors qu'elle entendit une barque s'approcher soudainement, dans un clapotis joyeux et cadencé. Un jeune homme ramait dans sa direction. Il l'avait aperçue au loin et avait été attiré par sa beauté, malgré son apparence intérieure de fleur fanée, abandonnée aux éléments déchainés. Qu'avait-il vu en elle ? Qui était-il pour s'arrêter sur une pauvre créature lasse et ballotée par la tempête ? Un survivant de conte chevaleresque, généreux et romanesque ? Un prince charmant venu sauver sa damoiselle du tourment ? Un héros anonyme apparu pour ranimer sa belle aux flots stagnants ? Elle se posa mille questions, mais finit par accepter d'embarquer dans sa fragile chaloupe. Elle en avait assez de macérer dans cette eau, assez de se battre contre les flots. Elle rêvait d'autres horizons et de fuir cette réalité. Ce prince charmeur arrivait à point nommé !"
" Soudain, sans saisir le sens de ses émois, Nymphéa sentit un élan de joie envahir tout son être. Elle avait soudain toutes les forces nécessaires pour conquérir le monde à pas de géant ! Evidemment, ces considérations n'étaient que les sentiments excessifs et arbitraires d'une adolescente de quinze ans qui s'emballait. Néanmoins, en cet instant d'euphorie hors du temps, lutte et fatigue s'évanouirent. Et l’amour, tel un vent délicieusement impétueux assécha cette vieille larme incandescente qui meurtrissait son cœur. Miraculeusement, elle se transforma en joyeuse et délirante allégresse. Que comprendre de l'amour lorsqu'il vous percute en plein cœur ? Pourtant, au premier regard, ils surent qu'ils s'aimeraient pour l’éternité ; tout en eux le criait. À cet instant, ils crurent que c'était un coup de foudre. Plus tard, ils découvrirent que cette rencontre inattendue était un instant de grâce où la destinée éternelle avait rejoint leur réalité… Ensemble, ils projetèrent leurs rêves éblouis et apprirent à se connaître dans la nuit. Ils inventèrent leur histoire, le cœur rempli de joie et d’espoir. Ils se promirent fidélité pour le meilleur et pour le pire, par un pacte effectué sous les cieux, entre deux adolescents amoureux. De tendresse en gestes d'affections, leur amour grandit très vite telle une grenadille : cette liane grimpante et vigoureuse, porteuse de fruits de la passion évoluant dans une course de lumière et de jubilation. Leur amour s'adaptait et s'accrochait solidement à leurs deux cœurs, les enrichissant de toutes leurs différences. Ils étaient absolument complémentaires au point que Nymphéa avait l'impression d'avoir été créée pour lui, pour l'aimer, le magnifier et l'assister. Près de lui, elle se sentait sécurisée, comblée d'amour, de certitudes et d'espérance. Olivier était devenu le centre de ses préoccupations, de ses projets et de ses émotions. Rien d'autre n'avait plus d'importance… Portés par la mer et ses oscillations, les murmures et les rires de ces deux jeunes amants transis résonnèrent donc dans un doux clapotis. Ballottés dans leur vulnérable embarcation, ils négligèrent le cortège des saisons et voguèrent comme des flibustiers sur l'océan, insoucieux. Mais deux ans plus tard, la tempête se leva, projetant encore la jeune fille dans la tourmente. Emportée par les flots, elle sombra à nouveau vers les fonds abyssaux. Nouvelle lutte contre l’océan, la bataille fut rude et le combat exténuant ! Découragée, Nymphéa ne pouvait s'empêcher de douter de l'avenir. Elle se demandait si cette idylle résisterait sans fin aux épreuves de la vie et du temps."
Jusqu'à maintenant, je n'avais jamais compris ce qu'impliquait réellement la fusion qui nous unissait et en quoi elle pouvait être néfaste pour chacun de nous.
Mais une relation de codépendance implique deux "demi-personnes tentant de créer une personne entière", les deux personnes sont incapables d'agir indépendamment l'une de l'autre. Fondamentalement, la codépendance fait référence à un attachement malsain à une autre personne afin de se sentir entier. La personne à charge codépendante est le type de codépendance le plus couramment identifié. On le voit le plus clairement dans une Cendrillon à la recherche d'un prince pour la sauver ou dans l'épouse sur-responsable permettant à son mari de dysfonctionner. Du point de vue des limites, c'est la personne qui permet aux autres de violer ses limites personnelles, qui veut que les autres portent son fardeau de responsabilité personnelle, et qui tente de porter le fardeau des autres afin de leur plaire.
"Avoir poursuivi le projet de former un couple "idéal" chrétien et avoir porté les fardeaux du ministère m'avait finalement épuisée."
Étapes pour surmonter la passivité dépendante codépendante au sein du mariage
1. La codépendante doit comprendre que la racine du problème est la dépendance excessive vis-à-vis de son mari plutôt que de Dieu pour répondre à ses besoins personnels.
2. La codépendante cherche désespérément l'amour et l'approbation de son mari, essayant d'être et de faire ce qu'il veut, lui permettant d'outrepasser ses propres limites afin de répondre à ses besoins à lui.
3. Elle est une "bonne fille" et fera pour son mari ce qu'il devrait faire pour lui-même et elle se blâmera si elle est abusée ou maltraitée.
4. Elle doit réaliser que sa véritable motivation est l'égoïsme et l'orgueil lorsqu'elle essaye de faire face à ses propres sentiments d'insuffisance en étant bonne, en prenant soin de son mari, et en étant agréable.
5. Elle doit se repentir de ses efforts égoïstes pour répondre à ses besoins à travers son mari et apprendre à répondre à ses propres besoins à travers une relation personnelle étroite avec Dieu.
6. Elle doit surmonter sa faible image de soi et ses sentiments d'inadéquation en acceptant sa position en Christ et l'évaluation que Dieu a d'elle.
7. Elle doit comprendre que trop dépendre de son mari est un péché d'idolâtrie et elle doit aussi apprendre à utiliser les limites personnelles pour développer des relations saines et interdépendantes avec lui.
Le type d'éducation et le modèle parental reçus ont fortement contribué à ce dysfonctionnement qui a été renforcé les premières années de mon mariage par un enseignement spirituel légaliste, au sein de l'environnement socio-culturel tsigane dans lequel nous évoluions. Dans ce cadre, ma réserve excessive, ma soumission et ma codépendance passaient pour une attitude des plus normales et même idylliques. De surcroit, la première année de mon mariage, je me lançai le défi de mettre en pratique tout le livre "Plus précieuse que les perles" de Mme de Ferrière, et j'y parvins avec beaucoup de détermination au bout d'une année. Je poursuivais alors un idéal du couple chrétien, pensant qu'à force de persévérance, je parviendrai à atteindre la perfection et à changer les dysfonctionnements de mon mari. Ce livre était légaliste et anthropocentrique, mais à l'époque je ne le savais pas. Au lieu de poursuivre Dieu et de lui donner la priorité, je me servais de lui pour atteindre mes buts : avoir une vie familiale "idéale" comme base, pour servir Dieu avec succès. Et pourtant, je croyais qu'en agissant ainsi je glorifiais Dieu ! C'était légaliste, formaliste, anthropocentrique… peu efficace et sujet à beaucoup de tensions et de pressions…
Dès 1992, vivant au milieu des tziganes, (comme un poisson exotique dans un bocal transparent) je me mettais encore plus la pression pour que ce peuple n'ait rien à redire de notre façon de vivre, afin que mon mari soit crédible et accepté en tant que pasteur. Le regard des autres (et il faut dire qu'il était impitoyable) comptait plus que celui de Dieu. Nous devions nous surpasser pour dépasser leurs préjugés et malgré tout, ils ont fini par nous rejeter. Néanmoins ce fut une belle école de la foi et du Saint Esprit, où nous avons beaucoup appris. Les années ont passé, j'ai élevé mes enfants, puis ils se sont mariés. J'ai suivi mon mari là où Dieu l'appelait, m'adaptant à chaque contexte, et m'impliquant de plus en plus dans son ministère pendant trente ans.
De 2013 à 2016, j'ai aidé mon mari dans ses études à la fac de théologie, où il a passé un master, et en même temps je me suis beaucoup impliquée dans l'église, tout en gardant ma petite fille et en aidant mon fils pour la fin de ses études d'infirmier. Je ne me rendais pas compte que j'étais surchargée, car tout ce que je faisais me passionnais et impliquais mon affection.
En
2016,
le projet missionnaire que nous visions depuis plus de quatorze ans a échoué et
la pression est redescendue d'un coup. Je suis tombée malade d'une cystite
aigue qui a duré plusieurs mois et s'est finalement transformée en vessie
colonisée. J'étais totalement épuisée et les médecins m'ont achevée à grands
renforts d'antibiotiques qui ont détruit ma flore intestinale et déclenché une
candidose chronique dans tout mon corps. Sans compter le fameux
"quinolone" qui m'a épuisée, rendue dépressive et donné de grosses
pertes de mémoire ! J'ai cru qu'il en était fini de moi. J'étais devenue
l'ombre de mon ombre ; je n'avais plus aucune force physique, psychologique et
spirituelle… Je suis devenue insomniaque et plutôt que de régler ce problème,
on a découvert que je souffrais (de façon idiomatique !) d'apnées centrales du
sommeil. Pour mon anniversaire (en 2017), on m'a offert un appareil à pression
positive avec lequel je suis censée dormir chaque nuit jusqu'à la fin de ma vie
! Mais Dieu n'a pas dit son dernier mot ! (voir ici)
Questions
Avez-vous déjà révisé votre témoignage, en constatant que ce que vous pensiez de vous-même, de Dieu ou de votre famille n'était pas la vérité ?
Avez-vous déjà pris assez de recul et de réflexion au sujet de votre passé pour en comprendre les méandres et les raisons qui vous ont amené là où vous en êtes aujourd'hui ?
Etes-vous codépendant ? Si oui pourquoi ? Et comment pourriez-vous sortir de ce dysfonctionnement ?
Pourquoi Dieu veut-il nous délivrer de toutes formes de codépendances ?
Méditez Psaumes 34.4 à 8 avec le plan de méditation biblique et de prière proposé au début de cette étude.
Pour aller plus loin
Vous pouvez lire :
"Quand les hommes ont plus d'importance que Dieu"
d'Edward T Welch.
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