Adam est placé dans le jardin des délices.
Son lit est une prairie verdoyante parsemée de fleurs fraîches aux couleurs éclatantes qui exhalent un doux parfum enveloppant.
Les solives de sa demeure sont les cèdres et les cyprès,
les arbres fruitiers en forment les parois
et le ciel dans sa pureté originelle est son haut plafond.
Tous les oiseaux, sortis de la main de Dieu volent dans les cieux
et se posent aux alentours perçant le silence de leurs chants mélodieux,
Le loup et l’agneau dorment ensemble à l’ombre des oliviers brillants de lumière,
alors que la panthère et le chevreau s’abreuvent aux eaux pures
et abondantes du fleuve aux reflets d’or et d’onyx.
Adam évolue parmi ces animaux superbes et paisibles,
profitant de tout son être de ce que Dieu lui a donné,
Tout est si neuf, si parfait !
L’herbe si douce, les fruits si succulents, l’eau si rafraîchissante…
La présence de Dieu est là, quotidienne, permanente, glorieuse et apaisante !
Pourtant, il semble qu’Adam attende quelque chose d’autre …
Ou serait quelqu’un ?
Et puis un jour, alors qu’il s’éveillait d’un profond sommeil,
il comprit que ce qu’il recherchait au plus profond de son être était là.
A ses yeux, elle était la plus belle des créatures formées par Dieu,
elle était son complément, son vis-à-vis, celle qui était os de ses os et chair de sa chair.
Dès le premier regard, son cœur d’homme l’aima.
Son lit est une prairie verdoyante parsemée de fleurs fraîches aux couleurs éclatantes qui exhalent un doux parfum enveloppant.
Les solives de sa demeure sont les cèdres et les cyprès,
les arbres fruitiers en forment les parois
et le ciel dans sa pureté originelle est son haut plafond.
Tous les oiseaux, sortis de la main de Dieu volent dans les cieux
et se posent aux alentours perçant le silence de leurs chants mélodieux,
Le loup et l’agneau dorment ensemble à l’ombre des oliviers brillants de lumière,
alors que la panthère et le chevreau s’abreuvent aux eaux pures
et abondantes du fleuve aux reflets d’or et d’onyx.
Adam évolue parmi ces animaux superbes et paisibles,
profitant de tout son être de ce que Dieu lui a donné,
Tout est si neuf, si parfait !
L’herbe si douce, les fruits si succulents, l’eau si rafraîchissante…
La présence de Dieu est là, quotidienne, permanente, glorieuse et apaisante !
Pourtant, il semble qu’Adam attende quelque chose d’autre …
Ou serait quelqu’un ?
Et puis un jour, alors qu’il s’éveillait d’un profond sommeil,
il comprit que ce qu’il recherchait au plus profond de son être était là.
A ses yeux, elle était la plus belle des créatures formées par Dieu,
elle était son complément, son vis-à-vis, celle qui était os de ses os et chair de sa chair.
Dès le premier regard, son cœur d’homme l’aima.
2. Créé corps, âme et esprit…
Genèse 1 /27 : « Elohiym créa l’homme à son image, il le créa à l’image de Dieu, il créa l’homme et la femme. » L’être humain fut crée par Elohiym c'est-à-dire les Dieux, autrement dit, la trinité divine créa l’être humain à son image.
Cette image correspond à la nature profonde de l’Etre créateur, c'est-à-dire à l’image spirituelle de la divinité, car l’Homme est aussi esprit.
L’être humain fut créé à l’image de Dieu, c'est-à-dire à l’image morale de la divinité, créatrice, raisonnée, imaginative, pourvue de volonté et de sentiments.
L’être humain fut créé mâle et femelle pour répondre à des complémentarités psychiques et à des instincts propre à la conservation et la multiplication de son espèce.
Genèse 2/7 : « L’Eternel Dieu forma l’homme de la poussière de la terre, il souffla dans ses narines un souffle de vie et l’homme devint un être vivant. »
« Il forma l’homme de la poussière » se rapporte au corps de l’homme formé et modelé à partir des 92 éléments simples qui composent la terre.
« Il souffla dans ses narines un souffle de vie » se rapporte à l’esprit de l’homme insufflé par Dieu.
« Et l’homme devint une âme vivante » se rapporte au résultat final qui caractérise l’être humain.
En effet, l’esprit donna la vie au corps et cette rencontre entre la chair et l’esprit produisit l’âme.
L’homme fut désigné comme une âme vivante et à ce titre, il est unique.
Etre spirituel et moral, il diffère de toutes les autres créatures terrestres et en tant qu’âme vivante il diffère des anges créés esprits.
L’homme naturel dépend de ce qu’est son âme. Son âme le définit et exprime son individualité.
C’est l’organe de sa libre volonté, l’organe par lequel son esprit et son corps sont amalgamés.
3. Priorité, mode et but créationnels d’Eve.
Genèse 2/23 : « Et l’homme dit: Voici cette fois celle qui est os de mes os et chair de ma chair! On l’appellera femme, parce qu’elle a été prise de l’homme. »
1 Corinthiens 11/8 : « L’homme n’a pas été tiré de la femme, mais la femme a été tirée de l’homme; et l’homme n’a pas été créé à cause de la femme, mais la femme a été créée à cause de l’homme. »
- Priorité créationnelle : L’homme fut créé le premier.
- Mode créationnel : Eve fut créée à partir d’une côte d’Adam.
- But créationnel : Eve fut créée pour Adam.
Adam ne nomma pas sa femme dès qu’il la vit mais il employa pour parler d’elle le terme "Ischa" signifiant "femme".
Ce terme est le féminin de "Isch" signifiant "homme".
Par ce fait, l’homme reconnaissait en la femme, une créature semblable à lui, ayant non seulement le même sang, mais aussi les mêmes caractéristiques humaines, créée corps, âme et esprit, à l’image de Dieu.
Certains ont vu dans le fait qu’Adam nomme la femme "Ischa", une prise d’autorité sur elle.
Il est vrai que le fait de donner un nom est un droit d’autorité sur ceux que l’on nomme, et que l’homme venait de nommer les animaux et de prendre ainsi pouvoir sur eux.
Mais on ne peut considérer qu’à ce moment précis l’homme ait nommé la femme, il l’a seulement reconnue en tant que son vis-à-vis, son complément, sa femelle…
Le nom de la femme comme celui de l’homme n’apparaissent qu’au chapitre 3 verset 20 de la Genèse, c'est-à-dire après la chute et ses conséquences.
C’est seulement à ce moment qu’Adam dont le nom signifie « tiré de la terre » prit autorité sur la femme en la nommant.
Il l’appela Eve (Chavvah) ce qui signifie « source de vie » parce qu’elle fut la mère de tous les êtres humains. Il est d’ailleurs intéressant de remarquer qu’il lui donna ce nom avant même qu’elle soit enceinte de son premier enfant. Ce nom est un acte de foi de la part d’Adam, qui crut en la parole de Dieu : « Soyez féconds, multipliez, remplissez la terre… » Genèse 1/28.
4. L’homme et la femme sont différents et complémentaires.
Sur le plan anthropologique, des recherches faites sur plus de 600 sociétés diverses démontrent que partout les hommes et les femmes ont des comportements différents.
Des spécialistes de la psychologie comportementale, de l’étude du cerveau, de l’endocrinologie et de la génétique ont à l’unanimité conclu que les deux sexes sont irrémédiablement différents ; d’une différence qui a son fondement dans la biologie et qui va bien au-delà des domaines esthétiques et des fonctions reproductives.
En fait, la différence est importante d’abord génétiquement, bien plus importante qu’entre les différentes races humaines qui n’ont pas de différences chromosomiques entre elles. Par contre, il y a une différence dans la 23e paire de chromosomes entre les hommes et les femmes. Les hommes ont un XY et les femmes un XX.
Les hormones produites par les glandes endocrines diffèrent suffisamment entre l’homme et la femme pour engendrer des dissemblances d’ordre affectif, cognitif et dans les actions relatives aux sentiments et aux pensées.
Dieu a créé l’homme et la femme pour qu’ils soient un dans tous les sens du terme (corps- âme - esprit) mais Il les a aussi créés complémentaires, avec des fonctions et des caractéristiques différentes.
Au sein d’un couple et d’une famille, chacun a des rôles et des responsabilités distinctes.
Dieu n’a pas créé l’homme supérieur à la femme, mais Il l’a créé pour conquérir, régner, protéger et pour être à la tête du foyer.
La femme, par contre, a été conçue pour aider l’homme et le seconder, pour donner naissance à des enfants et les éduquer.
Leurs rôles et responsabilités différents ont développé chez chacun d’eux des qualités nécessaires au bon fonctionnement du couple et de la famille, car chaque rôle est précieux et vital.
Conclusion :
Nier les différences entre les sexes est une utopie et une rébellion envers Dieu qui créa l’être humain mâle et femelle avec des spécificités complémentaires liées à leur sexe.
L’androgynie est une anormalité et la vie naturelle répond à des lois qui lui sont propres.
Ceux qui n’en tiennent pas compte entravent le plan de Dieu et s’engagent inconsciemment ou pas à la ruine personnelle et relationnelle.
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